Le deuxième tome d'”Espace vital” s'ouvre sur le sixième jour de cette aventure pour le moins surprenante… et sur une révélation : Garth Sneebs, avec qui commençait le premier tome, est un tueur en série qui, avant son arrivée dans la maison mystérieuse, a déjà tué huit personnes. Ayant compris qu'il n'y aurait, à la fin de cette aventure, qu'un seul survivant, il est bien décidé à mettre en oeuvre ses “talents” au détriment de ses compagnons d'infortune, et à survivre, tandis qu'apparaît un nouveau personnage, jusqu'alors resté caché et prisonnier comme eux de la maison.
Des masques tombent, des points communs se révèlent : même année de naissance, mêmes préférences sexuelles - autant d'indices préparant la vérité à venir, tandis que la tension monte entre les personnages, tous décidés à survivre, quitte à s'entre-tuer… A la fin de cet épisode, ils ne seront plus que deux.
Un second tome beaucoup moins convaincant que le premier : les éléments fantastiques et surnaturels qui faisaient l'intérêt de cette série ont totalement disparu pour laisser la place à un simple combat pour la survie, purement brutal et sans grande originalité.
Une demi-déception, donc, que le troisième et dernier épisode de cette trilogie viendra peut-être effacer...
[Challenge MULTI-DÉFIS 2019]
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Jour 6 : "à la fin il n'en restera qu'un, donc autant que ce soit moi..." voilà ce que se dit Garth Sneebs surnommé Moom Maniac, et tueur en série auteur de 8 crimes dans les années 1975/76.
Premier point commun identifié par les survivants, ils sont tous nés en 1937.
Alors qu'un troisième membre est assassiné, et cette fois nous savons par qui, apparaît un nouveau personnage, un soldat, Harlan Bassteen.
Deuxième point commun, toutes les personnes réunies sont des hommes.
Découverte plus que troublante, le contenu de la chambre 522 : chaque personne réunie est représentée en peinture à différents âges et différentes époques.
Troisième point commun, toutes les personnes ont des noms différents mais les mêmes initiales.
Dernière découverte plus que terrifiante, chaque personnage était une variation de la même personne, le but n'étant pas de découvrir qui avait le mieux vécu mais qui allait avoir le droit de vivre sa propre vie.....
Mais dans quel but, suite et fin T3
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L’album ouvre de nombreuses pistes, souvent disparates. La barre est haute pour l’auteur qui dispose dorénavant de quarante-six planches pour assurer la cohérence de l’ensemble.
Lire la critique sur le site : BDGest
Dans le 168e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Bobigny, 1972 que l'on doit au scénario de Marie Bardiaux-Vaïente, au dessin de Carole Maurel et qui est édité chez Glénat. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Deux soeurs que l’on doit au scénario d’Isabelle Sivan, au dessin de Bruno Duhamel et qui est édité chez Grand angle
- La sortie de l’album Les dinosaures du paradis que l’on doit à l’auteur Mazan ainsi qu’aux éditions Futuropolis
- La sortie de l’album Vingt décembre, chroniques de l’abolition que l’on doit au scénario d’Appollo, au dessin de Téhem et que publient les éditions Dargaud
- La sortie du cinquième et dernier tome de Saint-Elme, un titre baptisé Les thermopyles que l’on doit au scénario de Serge Lehman, au dessin de Frederik Peeters et aux éditions Delcourt
- La sortie de l’album L’expert que l’on doit à l’autrice Jennifer Daniel ainsi qu’aux éditions Casterman
- La réédition dans une version collector de La bombe que l’on doit aux cénario conjoint de Didier Alcante et Laurent-Frédéric Bollée, au dessin de Denis Rodier et qui est publié chez Glénat dans la collection 1000 feuilles
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