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Critique de tchouk-tchouk-nougat


Elle court, elle court, la maladie d'amour... L'amorostasia continue à faire des ravages dans la population amoureuse. C'est pour cela qu'il a mis en place des mesures drastiques pour limiter la contamination. Toutes formes d'art romantiques sont interdites, la mixité proscrite, et l'anamorax (une drogue annihilant tout sentiment) obligatoire. Et parfois l’inattendu se produit, Olga se réveille de cette catatonie amoureuse que le beau Kiran avait provoqué en elle. Seulement après y avoir goûté, on ne veut plus s'en défaire. Elle ne souhaite qu'une chose: se figer de nouveau. Rien à faire d'être l'espoir de traitement de toute la communauté scientifique...

Un deuxième tome un peu décevant. L'effet surprise en moins sûrement, ou un petit coté un peu plus - trop - cucul. le rythme est beaucoup moins dynamique.
Néanmoins il y a de bons cotés. de bons personnages secondaires, attachants, bien travaillés. J'ai bien aimé les résistants de l'amour!

Je pense qu'il y aura d'autres tomes après celui-là. Et j'avoue que j'appréhenderais un peu... Il faudrait trouver une bonne idée pour éviter de tourner en rond sur le sujet!
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