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EAN : 9782755652314
467 pages
Stories by fyctia (14/11/2019)
4.02/5   23 notes
Résumé :
La musique est une chose sérieuse, Monsieur Bardos. Elle permet de soulever les rochers, charmer des animaux et même remonter le temps !Au lycée de Montgimel, on ne plaisante pas avec la musique... et pour cause ! Pour qui sait la maîtriser, la musique est une forme de magie ancienne et puissante. Le jeune Stéphane Bardos rêve juste d'être une Rockstar pour séduire la belle Yseult. Avec son pote Jean, il veut monter un groupe de Rock alternatif. Le soir du concert d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Avec Animae Symphonia, Nicolas Bonin nous offre un jeu de piste musical avec un petit côté à la Jumanji avec ses cavalcades dans les couloirs du Lycée de Montgimel.
Dans ce livre, chaque chapitre est un titre de chanson, ce qui donne de suite du rythme. Chaque personnage et son animae sont liés à une note. Ils ne doivent pas se rencontrer mais le soir du concert quelqu'un a ouvert le passage reliant la forêt de Cernautes et le Lycée. Stéphane Bardos, le fils du concierge, adolescent de quatorze ans va trouver un étrange instrument de musique et être entraîné dans une formidable aventure. Stéphane est un héros très attachant qui va connaître ses premiers émois amoureux avec la belle Yseult, il va aussi tenter d'éviter le pire à ses amis. Avec l'aide de son professeur de musique Olivier Pétagaure, qui l'aidera plus ou moins en lui révélant certains secrets. Stéphane va s'atteler à la résolution de plusieurs énigmes : trouver quel morceau ouvre les portes de Cernautes, découvrir ce que signifient les signes étranges sur l'horloge, trouver quelles notes correspondent aux animae.C'est un excellent amalgame entre la musique, la magie et les animaux.
Nicolas Bonin est un auteur à l'imagination fertile qui utilise de nombreuses références que ce soit la musique, les contes, les légendes, le cinéma pour donner libre cours à un univers envoûtant et fascinant. Une histoire menée tambour dont on a hâte de connaître le dénouement.
Je remercie l'auteur pour ce SP dont je ressors la tête pleine de mélodie et émerveillée par cette histoire. Un roman qui fait du bien et que je conseille à tous : amateurs de fantastique ou de musique.
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Nicolas Bonin nous propose un trame très originale. Et du côté technique de sa trame, il maitrise son sujet jusqu'à la moindre note. On voit le connaisseur de musique qui citera 96 titres de chansons pour 96 chapitres. J'ai poussé la chansonnette dans ma tête pendant ma lecture.
Que nous propose le jeune auteur? Un roman originale dans sa structure qui semble mêler ses passions, l'ecriture et la musique.
Mes premières questions? A t'il été un Stéphane Bardos? A t'il été secrètement amoureux d'une Yseult?
J'ai un aveu sur ma lecture. J'ai vite accroché sur l'ambiance du livre mais je me suis perdue en route pendant de nombreux chapitres pour revenir dans la course et apprécier Animae symphonia dans son ensemble. Heureusement que cette petite montée en puissance a fait basculer la tendance. Si je peux m'expliquer en chiffres j'ai fait un 10/25/61. Comptez bien cela fait 96 chapitres et représente mon évolution dans ma lecture. J'ai eu une sorte de traversée du désert où j'ai l'impression de perdre le fil de l'histoire. J'ai eu des séquences qui se terminer abruptement. J'ai eu des début de scène où j'en attendais plus. Et puis dans tout cela, je cherchais à résoudre moi aussi un énigme mais surtout intégrer la connexion animae/lycéen. Mais le sujet revient en force vers le 40ème chapitre et on ne lâche plus les aventures de Stéphane Bardos. J'espère que j'ai été claire dans mon raisonnement livresque. Par contre je comprends que l'auteur devait garder un maximum de mystère pour arriver à une date butoir. Il y a de bonnes référence mythologique aussi chez Mr Bonin.
J'ai eu un petit crunch pour son héros atypique. On est loin du Badass mais j'aime beaucoup le portrait qu'il a brossé de Stéphane. Il y a de l'humour sur les conneries que pouvaient pondre nos chers lycéens populaires. A mon époque les loosers c'étaient des cabines, j'en étais une aussi. Alors je me suis prise d'affection pour ce jeune homme qui aimerait être vu tout simplement. Nicolas Bonin en a fait un héros tout a fait sympathique et attendrissant qui évoluera sous nos yeux.
Beaucoup de mystère, une trame rondement mené surtout quand on voit qu'il nous surprend vers la fin. Une bonne montée en puissance pour la scène finale. J'ai noté quelques bémols sur certaines répétions comme "c'est". J'ai trouvé la plume simple, sympa et à des moments très punchy. Ca promet à fort potentiel pour le futur.
Avec un premier roman je me dis toujours on apprend et on évolue dans le positif pour les prochains.
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Je remercie chaleureusement Nicolas Bonin pour l'envoi, en service presse, de son roman : Animae symphonia.
La musique est une chose sérieuse. Au lycée de Montgimel, on ne plaisante pas avec la musique... et pour cause ! Pour qui sait la maîtriser, la musique est une forme de magie ancienne et puissante.
Stéphane Bardos va d'ailleurs s'en rendre compte, un soir où il découvre une étrange guitare et se retrouve face à une mystérieuse forêt, peuplée d'animaux étranges. Qui a ouvert ce passage ? Quel est le lien entre ces créatures étranges et les lycéens ?
Stéphane Bardos rêvait de monter un groupe de Rock alternatif, et de devenir une Rockstar pour séduire la belle Yseult. Il va se retrouver embarqué dans une aventure qu'il ne pouvait pas imaginer...
Animae symphonia est un roman dont j'ai beaucoup aimé l'univers. 96 chapitres et.. un titre de chanson différent par chapitre ! Il faut réussir à le faire. Résultat, une envie de chanter dès le début car je connais quasiment toutes les chansons. Pour celles qui ne me disait rien, je suis allé voir sur le net et évidemment je les connaissais :)
Nicolas Bonin a eu une bonne idée d'allier sa passion pour la musique avec la magie et les animaux. J'ai apprécié que le lycée soit le théâtre d'événements étonnants. Les personnages m'ont plu même si je n'ai pas trouvé au premier abord le jeune Stéphane hyper attachant. Je me suis mise à m'attacher à lui peu à peu, au fur et à mesure que je tournais les pages :) Les autres personnages gravitant autour de lui sont intéressants, assez fouillés et il est facile de les apprécier... ou un peu moins ;)
Animae Symphonia est un roman rempli de bonnes idées, même si je l'ai trouvé un peu brouillon par moment. Je me suis perdue ici et là, certains chapitres sont un peu en dessous. Mais honnêtement, pour un premier roman c'est pas mal du tout et vraiment prometteur.
Je ne vais pas en dire plus, là encore il serait dommage de trop en dévoiler pour ne surtout pas spoiler ce roman.
J'ai apprécié l'univers crée par l'auteur, même si ce n'est pas un coup de cœur. J'ai passé un bon moment de lecture et c'est avec plaisir que je mets quatre étoiles :)
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Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=45605

J'ai mis la note de : 11/20

Mon avis : Animae Symphonia nous embarque dans une aventure palpitante, aux accords de guitare endiablés et aux sonorités variées. Pour apprécier davantage ce roman, l'idéal serait d'écouter les morceaux proposés par l'auteur, indiqués dans chacun des titres de pas moins de quatre-vingt-seize chapitres. Les musiciens ou les passionnés de musique y trouveront leur compte, notamment dans toutes les références établies le long de la lecture, dans la passion qu'éprouve le personnage principal pour les gammes ou dans l'utilisation magique des ondes sonores dans ce roman. Nicolas Bonin nous offre un univers original, lié à de la mythologie celtique, qui donne une toute autre dimension au récit.

Souvent trop courts, les différents chapitres ne possèdent pas tous le même rythme. Certains s'enchaînent directement, quand d'autres passent sous silence plusieurs heures, plusieurs secondes, plusieurs jours ou plusieurs semaines. Un peu décousu, les enchaînements perturbent quelque peu au départ, ne sont pas faciles à suivre, même si l'on finit par comprendre les volontés de l'auteur, et par s'habituer à cette manière de faire qui pourrait rappeler des suites musicales.

Toutes les références des titres ne sont pas reprises dans l'histoire, ce qui est plutôt dommage pour un roman de cet acabit, et ce qui amène à penser que les titres des chansons ont principalement été choisis pour faire davantage plaisir au lecteur que faire avancer l'aventure. Certains titres participent tout de même au thème du chapitre, qui suit parfois la sensation apportée par la chanson sélectionnée. Tous les styles se superposent pour nous abreuver de toutes les mélodies possibles.

L'auteur laisse la part belle aux dialogues et aux actions, ne nous permettant pas de nous imprégner suffisamment des pensées du personnage principal, dont les émotions profondes et complexes nous échappent la plupart du temps. Devant les mystères qu'il découvre, les énigmes à résoudre et les malédictions à découdre, Stéphane se jette à corps et coeur perdu dans l'aventure, sans que l'on comprenne véritablement ce qui le motive, et surtout pourquoi le jeune homme préfère s'abîmer la santé plutôt que de transférer son fardeau à quelqu'un d'autre de plus expérimenté. Parfois simple adolescent, ou meneur de guerre, voire adulte autoritaire dans ses propos, Stéphane passe par plusieurs paliers aux liaisons floues. Un lecteur habitué à la minutie aura peut-être du mal à le comprendre, à le suivre dans ses réflexions et ses envies, ou à le trouver cohérent le long de son évolution.

Le roman ne prend pas vraiment le temps de nous expliquer la musique en tant que telle, le solfège, ses principes ou la composition d'un morceau. le personnage principal est un musicien qui apparaît doué, passionné et dont certaines réflexions parleront davantage à ceux du milieu qu'aux néophytes, dont les termes gammes et quintes ne diront pas forcément grand-chose. de plus, suivre certains dialogues longs peut s'avérer parfois ardu car l'auteur n'utilise pas si souvent que cela les indications de tons utilisées.

Les diverses références à la mythologie celtique, et à la mythologie grecque apportent une autre dimension au roman dont l'univers riche et original se détache des atmosphères fantastiques habituelles. Animaux et musique se retrouvent intrinsèquement liés, pour le meilleur ou pour le pire. Les inventions de l'auteur à ce propos constituent des éléments fascinants. Dans les premiers chapitres, les informations ne sont données qu'au compte-goutte à Stéphane, et cela apporte un suspense bienvenu. Cependant, les mystères s'accumulent et les cachoteries finissent par devenir frustrantes à la longue.

Les passages dans la vie de Stéphane sont plutôt émouvants et agréables à lire. On le suit dans sa vie de lycéen plutôt classique, dans sa vie de tous les jours, dans sa recherche de l'amour, dans ses incompréhensions des esprits féminins, dans ses cours de musique ou dans ses déboires pour former un groupe de musique de rock alternatif digne de ce nom. Les autres étudiants qu'il côtoie restent plutôt superficiels dans le détail de leur personnalité profonde, bien que certains profils, parfois clichés, se dégagent. Certains personnages féminins apportent une touche de fraicheur plaisante. Yseult, par exemple, attachante dans sa timidité et ses questionnements sur elle-même, est une jeune fille intéressante, et Hermance, attentionnée et curieuse, est une bonne amie de Stéphane, qui n'hésitera pas à l'aider dans ses péripéties.

Animae Symphonia avance parfois trop vite, parfois trop lentement. Certains passages s'enchaînent et lassent, quand d'autres nous offrent de belles scènes et des rebondissements essentiels. Les scènes d'action, bien que géniales dans leurs réalisations avec la musique et les instruments, manquent peut-être d'une petite touche envolée, de folie, d'épique pour véritablement marquer les esprits, et pour que l'on se persuade que Stéphane n'aurait pas pu s'allier d'un bouclier sonore résistant pour aller ensuite frapper du poing les ennemis, plutôt que de jouer de la guitare-basse magique et d'espérer que cela leur fasse toujours de l'effet.

A partir d'un certain point, les aventures musicales se ressemblent, et les recherches de Stéphane pour trouver la mélodie adéquate ne passionnent pas suffisamment, s'étalent sur de trop longues périodes, comme si l'histoire souhaitait que le temps avance pour arriver plus rapidement aux dates clés des solstices ou des équinoxes.

Animae Symphonia manque d'un personnage qui parle à tous, et qui se dévoile en profondeur pour que l'on comprenne ses motivations, ses envies, ses angoisses, et ses liens avec ses différents amis. La musique englobe merveilleusement bien le tout, grâce à un univers original, dont la richesse semble à peine exploitée.
Lien : http://www.lavisqteam.fr/?p=..
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Lorsque Nicolas Bonin m'a proposé de vivre une balade musicale dans une école en compagnie d'animaux fantastiques, j'ai été intéressée immédiatement par le concept. Animae Symphonia a vu le jour grâce au concours Anima du site Fyctia en 2019. Il a atteint l'étape de la finale. Je remercie chaleureusement l'auteur pour sa confiance en me confiant ce service presse via SimPlement.pro contre une chronique honnête.

Stéphane Bardos est le fils du concierge du Lycée Saint-Saëns de Montgimel. Il y vit depuis qu'il y est né et le connaît comme sa poche. Féru de musique comme bon nombre d'élèves, il souhaite appartenir à un group de rock alternatif. Alors quand le chanteur des Jörmundgand, Dimitri, le met au défi de montrer ses capacités en guitare, il n'hésite pas et fonce chercher celle qui a été laissée sous les escaliers. A peine l'a-t-il rejointe qu'une panne de courant plonge le couloir dans la pénombre et que les serpents dessinés sur l'étui se mettent à luire. Instrument en main, il rebrousse chemin pour rejoindre les autres, mais c'est une forêt peuplée de créatures légendaires qui l'attend. Anguipèdes, ours, princesse grenouille,…Nuit après nuit, il devra jouer pour eux afin de libérer les humains possédés par les Animae et déjouer les plans de la personne qui a lancé la malédiction.

Animae Symphonia nous immerge dans un univers mi-onirique mi-fantastique baigné par la musique. Celle-ci n'est pas seulement présente dans l'histoire comme hobby préféré des protagonistes, elle inspire le nom des chapitres qui sont intitulés selon le titre d'une chanson et son interprète afin d'en donner le ton et la couleur. Les genres musicaux présents dans l'intrigue présentent une palette variée allant du rock alternatif au classique en passant par la variété française. Je n'ai pas fait l'exercice de vérifier si l'ensemble des chansons existait lors des années 1993-1994 ou si certains titres sont apparus après. Faisons confiance à l'écrivain dont on ressent la passion pour cet art. Son amour se devine par ses descriptions pointues et la manière dont la musique fait vivre l'histoire.

« — Il me faut un fusil !

— Vous avez la basse, explique la grenouille.

— Que vaut une basse contre un fusil ? C'est une blague !

— La musique est une chose sérieuse, Monsieur Bardos. Elle permet de soulever des rochers, de charmer des animaux et même de remonter le temps ! »

Outre la musique, l'écrivain puise son inspiration dans divers mythes et légendes pour orchestrer son récit. Ainsi, Orphée fait son apparition avec sa lyre et son impatience au retour des enfers. Si le héros à la basse hérite des Grecs, ce sont les légendes françaises qui ont le plus beau rôle. Nicolas Bonin joue sur les traditions pour donner de la consistance et de la pertinence à sa malédiction. Stéphane croisent de célèbres noms tels le cheval Bayard, la fée Mélusine ou encore la bête du Gévaudan. L'utilisation qu'il en fait, la manière dont il intègre les anciennes histoires à sa propre narration est excellente. J'ai adoré qu'il puise dans le folklore local avec les légendes mais également avec l'intégration du gaulois. Je croise souvent dans mes lectures qui tournent autour de codes ou d'anciens artefacts à déchiffrer, l'utilisation du latin, de l'anglais ou des runes. Vous allez me dire que les Gaulois n'écrivaient pas. Vous avez raison. C'est pourquoi la manière dont le romancier arrive à en faire une clé de compréhension est originale. Cela fait du bien de croiser une autre langue que le trio habituel.

Mon avis sur la densité psychologique des personnages est plutôt mitigé. Mis à part le protagoniste principal, j'ai eu l'impression que la majorité des acteurs n'étaient qu'esquissés. Leurs caractéristiques servent l'histoire et son déroulement au moment adéquat mais je n'ai pas ressenti la même profondeur que pour Stéphane. D'ailleurs, au début j'avais un peu de mal à savoir qui était qui dans le comité des délégués par exemple. Il m'a fallu du temps pour m'y retrouver.

Stéphane est serviable et gentil. Il a un don pour la musique et est doté d'une grande détermination. Il aime la belle Yseult mais ne sait pas comment aborder cette romance ni saisir sa chance. le fils du concierge possède un humour que je qualifierais de « au ras des pâquerettes ». Loin de moi l'idée de descendre ses blagues, car d'un, elles me font rire et de deux, je suis capable de faire bien pire dans mes délires avec mes amis. Alors oui, elles ne sont peut-être pas des plus recherchées mais elles font mouche. La princesse grenouille a une fâcheuse tendance à répondre aux questions de façon synthétique et qui soulève plus d'interrogations que de réponses. Ce côté mystérieux et franc alors qu'elle propose son aide à notre héros est juste excellentissime. J'ai adoré ce batracien dès les premiers dialogues.

La plume de Nicolas Bonin délivre la symphonie des Animae avec un bon rythme. Les phrases courtes donnent un côté léger agrémenté de passages comiques. le début m'a fait penser à l'atmosphère du bon vieux film Jumanji des années 90s. Quelle nostalgie ! Une petite pointe de romance est également présente par le poétisme métaphorique des pensées que Stéphane a pour Yseult. Toutefois, cela ne tombe jamais dans la mièvrerie des sérénades au luth. L'auteur définit et utilise du jargon musical. Cela peut paraitre très technique aux néophytes mais je crois que les explications restent accessibles à ceux qui n'ont jamais touché au solfège. Il va même plus loin dans la théorie en remontant dans le temps et en parlant de la gamme de Pythagore. J'ai beau être musicienne, je n'en avais jamais entendu parler. J'ai repéré quelques coquilles dans la deuxième partie du livre. L'auteur va y remédier.

En bref, Animae Symphonia est une aventure rock'n'roll et trépidante où la détermination d'un jeune homme et son amour pour la guitare va contrer les plans machiavéliques des ombres de la forêt légendaire. C'est un roman ado que je recommande grandement pour les fans de rock et de magie.
Lien : https://uneloupiotedanslanui..
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
_ Merci pour ce que tu as dis tout à l'heure.
Pour toute réponse, elle pose son doigt sur ma bouche, puis ferme les yeux en approchant son visage. Les lumières vacillent légèrement. Je ferme les yeux en avançant à mon tour.
Rien.
Quand j'ouvre les yeux : je suis dans la forêt de Cernautes, juste à côté du lycée. Je ne sais pas comment je me suis retrouvé là. Les lèvres d'yseult allaient toucher les miennes.
_ Si c'est une blague, elle est cruelle;
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Malgré sa transformation, il lui reste suffisamment de lucidité pour se souvenir qu’il doit attaquer en me voyant. Le violoniste maigre est surpris et reçoit le loup-garou de plein fouet. Son camarade cesse d’attaquer Jean pour se retourner contre Lulu. À moi de jouer. Je mets toute ma rage dans le morceau que je joue.

- I see a red door and I want to paint it black !

Ça marche ! Comme pour les anguipèdes, ma colère se matérialise et heurte les violonistes de plein fouet. Pour que ce morceau fonctionne, il faut que je haïsse mes cibles. L’un d’eux se redresse pour tenter de contrer mes notes en créant une bulle de silence autour de moi, mais les attaques de Lulu le gênent. Jean comprend alors la situation et charge à son tour.
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_ Qui a ouvert la porte, Professeur ?
_ Quelqu'un qui a accédé à des connaissances qu'il n'aurait pas dû avoir. Voilà pourquoi les anciens refusaient que les savoirs soient écrits.
_ Quels anciens ?
_ Écoute-moi. Cette forêt est très dangereuse pour qui n'y comprend rien. Tu as eu de la chance avec la biche.
_ Pourquoi n'est elle pas partie ?
_ Les chiens la retiennent. Leurs malédictions sont liées.
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Certains ont des pantalons tellement serrés qu'il faut un chausse-pied pour les mettre et quarante copines pour les enlever...
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Elle est là, fragile comme une fleur de printemps au milieu de l'hiver, intimidée. Jamais Yseult Wangenbourg ne m'a semblé aussi belle. J'ai un grattement sucré qui remonte le long de ma gorge et son parfum vanillé me caresse le nez.
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