Un après-midi d'été au bord de la rivière du Tarn, j'observais de grands saules pleureurs, deux précisément, espacés de cinq à six mètres.
Le vent les balançait de gauche à droite en rythme lent et coordonnait une vraie respiration, seule l'extrémité de leurs branches entrait en contact. L'eau coulait lentement à leurs racines ; dans les nuées d’insectes, en fin d’après-midi, le soleil rouge tombait.
Emporté par cette beauté, les yeux f...
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