ATTENTION : le véritable titre est "
NOUVEAUX INDIENS" et non pas "LES
NOUVEAUX INDIENS".
Aussitôt lu, presqu'aussitôt oublié, comme une certaine musique qui ne m'aurait pas touchée. Dommage.
Pourtant, parfois le rythme si particulier des phrases de
Jocelyn Bonnerave me plaisait, courtes, musicales, empreintes de liberté, de celle de l'esprit vagabondeur de la plume de l'auteur. Décousue parfois.
(la suite sur mon blog....)
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