En 1996-1997, en signalant aux autorités judiciaires des enfants subissant des agressions, filmées par un de leurs parents pour être enregistrées en cassettes et exploitées sur Internet, Catherine Bonnet n'avait pas imaginé qu'ils seraient considérés comme menteurs, puis qu'on s'acharnerait à les museler. Pouvait-elle penser qu'il en serait de même pour elle parce que ses prises de position indisposaient fortement ? Etait-elle en mesure d'anticiper qu'elle perdrait ... >Voir plus