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L'amour de la musique mérite-t-il tous les sacrifices ? Violoniste virtuose depuis son plus jeune âge, Rodolphe Meyer n'a vécu que pour son art, sous la houlette d'un père tyrannique l'empêchant de vivre sa vie d'enfant. Il a connu la gloire, l'amour et la défaite. Il a côtoyé les plus grands et s'est offert le dernier violon de son idole Yehudi Menuhin. Après avoir joué à guichets fermés, l'alcoolisme a eu raison de son succès, le public se lassant de ses excès. Vient l'heure du bilan quand ce dernier se retrouve face à lui-même, en seule compagnie de son violon et de sa dive bouteille, confronté à sa propre mortalité dans la solitude d'une ferme aveyronnaise reçue en héritage. Tutoyant la folie, l'homme fait un retour sur sa vie, se remémorant son enfance sacrifiée, ses peurs profondes noyées dans l'ivresse de la réussite, ses amours défuntes et l'extrême solitude qui embruma sa vie. Confronté à la mélancolie de grands espaces dominés par une nature âpre, Rodolphe Meyer va renouer avec sa part sauvage au risque de s'y brûler. Peut-on vraiment échapper à soi-même ?

J'ai retrouvé avec bonheur la plume délicate de l'auteur qui sait si bien nous décrire les tourments qui dévorent les hommes. Comme dans son précédent roman La vallée des ombres, Xavier-Marie Bonnot nous brosse le portrait d'un homme en rupture avec lui-même, un homme torturé par son passé qui tente de donner un sens à vie, un être laminé par des relations conflictuelles avec ses géniteurs. le narrateur, un musicien de génie à la sensibilité à fleur de peau, est dominé par sa passion chronophage pour le violon, seul exutoire à une colère rentrée qui fait barrière à ses relations avec autrui. Ce livre est également une réflexion sur le thème épineux de la mortalité, cette machine à broyer qui menace tout homme et dont la finalité est de le réduire en poussière. La célébrité peut-elle permettre d'échapper à sa condition de mortel ou n'est-elle qu'une vaine tentative de fuir l'inéluctable ? Peut-on vraiment lutter contre la grande faucheuse ? Avec beaucoup de musicalité dans ses mots, Xavier-Marie Bonnot nous livre un récit mélodieux sur lequel plane l'âme apaisée du Grand Menuhin !
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Le dernier violon de Menuhin est un joli roman découvert grâce à Net Galley et aux éditions Belfond, que je remercie chaudement.
Rodolphe Meyer a été un célèbre violoniste. C'est un homme tourmenté, qui estime que son enfance a été volée par un père ambitieux, persuadé que son fils deviendra un violoniste de génie. Suite au décès de son aïeule Emilie, il reçoit en héritage une ferme isolée, en Aveyron. Il se retrouve avec lui même, avec ses souvenirs...
Sur ce roman plane l'ombre du célèbre violoniste Yehudi Menuhin, car Rodolphe Meyer possède le prestigieux Lord Wilton, qui fut jadis le violon de Menuhin. Il a beaucoup d'admiration pour lui, et le violoniste est un peu le fil rouge de ce roman. Il est présent tout du long, mais ce n'est pas pour autant un roman sur lui, je dirais que c'est un bel hommage :)
J'ai apprécié ce livre, de la première à la dernière page. Il est rempli de poésie, est bien écrit, et m'a charmé.
Sans être un gros coup de coeur, j'ai trouvé le violon de Menuhin charmant, j'ai aimé l'ambiance, le personnage de Rodolphe, et je trouve qu'il mérite 4 étoiles :)
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Rodolphe Meyer a été un petit prodige du violon, brimé, puni par son père, s’il ne travaille pas assez son instrument, un père qui décide de tout, un voleur d’âme. Son enfance a été mise de côté, le rythme des concerts s’accèlère. Il a été en haut de l’affiche, aujourd’hui il n’est plus rien, il connait les raisons de sa chute, l’alcool, l’ami fidèle qui ne vous trahit jamais.

Dernier membre vivant de sa famille, il hérite de sa grand-mère de La Borie, une ferme abandonnée dans l’Aveyron, le pays de Victor l’enfant sauvage. En venant dans cette maison il va soulever des pans entiers d’un passé qu’il a ignoré jusqu’ici .

Histoire d’un enfant virtuose, dont l’enfance a été tronquée par un père tyrannique. Histoire d’un violoniste de talent, devenu alcoolique et qui sombre dans la folie. Il dialogue avec l’Autre, son destin, poursuit un enfant des bois, sorte de clone de lui-même.

L’auteur décrit avec brio cette lente agonie, Il nous fait partager aussi le lien fort entre le concertiste et son violon qui est bien plus qu’un instrument. Son écriture traduit parfaitement les souffrances d’un enfant et les blessures de l’adulte qu’il est devenu, tout le monde était au courant, mais personne n’en parlait car tout le monde avait honte. Un livre hommage au violon et aussi à Menuhin,un virtuose dont chaque note qui naissait sous ses doigts était unique

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Au rythme du violon de son personnage Rodolphe Meyer, Xavier-Marie Bonnot propose un roman poétique et lyrique sans toutefois quelques notes d'étranges. Plus qu'un récit sur l'envoûtement de la musique, du musicien en proie aux doutes, l'auteur nous entraîne d'abord dans la folie douce puis dans une folie sombre, de plus en plus poreuse. Avec une sensibilité toute particulière, l'écriture tantôt calme tantôt fiévreuse quant aux souvenirs abordés du protagoniste charme de par sa richesse. A sa lecture, une curieuse pensée du Horla de Maupassant m'a envahi pour mon plus grand plaisir!

Rodolphe Meyer violoniste au succès retentissant n'est plus que l'ombre de lui-même. Alcoolique, il ressasse la perte de son amour parti dans les bras d'un autre. Unique héritier de la ferme de sa grand-mère Emilie, le mélomane part donc sur la terre familiale armé de Lord Wilton le célèbre violon ayant jadis appartenu au grand Yehudi Menuhin. Alors qu'il ne devait rester qu'une journée, Rodolphe est de plus en plus tourmenté par ses souvenirs. Alors que la campagne se referme sur lui, il aperçoit à l'orée de la forêt avoisinante celui que la région nomme "l'enfant" qui n'est que le double de lui-même. Existe-il réellement? le violoniste se lance alors à sa poursuite quitte à se perdre lui-même...

Ce portrait d'un homme tourmenté est premièrement celui d'un enfant. Un enfant privé d'enfance, torturé par un père exigeant dans le seul but d'accomplir ce qu'il n'a pu faire. Cet enfant devient donc un homme sacrifié à l'art, qui lui-même l'a perdu comme le reste de sa vie. La succession de souvenirs de cette vie flamboyante s'entremêle au récit de sa fuite en campagne et tisse le fil de sa vie pour en faire le bilan désastreux.

A la solitude du protagoniste qui rend fou se mêle une nature indomptée comme une métaphore de l'esprit torturé de Meyer. Mais qui peut bien être "l'Autre" qui alimente ses conversations? Sa conscience, son imagination, l'alcool? La descente aux enfers et la mélancolie de Rodolphe s'exprime par une folie qui reconstitue sa célébrité au détriment de sa vie. Que sa vie tourne autour de la musique est un fait mais son bonheur ne réside pas dans le seul but de jouer, mais jouer de l'instrument qui puisse exprimer toutes ses émotions, son être, son âme: le Lord Wilton de Yehudi Menuhin

D'une écriture douce et rêveuse puis âpre et folle, Xavier-Marie Bonnot par de courts chapitres, apporte beaucoup de références musicales mais aussi une connaissance accrue du milieu pour une forme réussi mais un fond remarquable. Si vous aimez l'art, l'étrangeté et le vertige je ne peux que vous conseiller ce roman tout comme un café brésilien (qui contient du Grand Marnier et de la liqueur de café pour bien coller au personnage...) et un clafouti. Bonne lecture!

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Un roman fascinant, dans une veine proche du romantisme ou du fantastique à la Maupassant. La descente aux enfers d'un virtuose, un enfant prodige qui a rejeté son statut. Au bord de la folie, fragilisé par un deuil et l'alcool, il se retrouve confronté à lui-même, mais aussi à un étrange et sauvage double, qui semble incarner sa part d'ombre. Une très intéressante variation sur le thème du génie.
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Un livre introspectif où, suite au décès de sa grand-mère Émilie, Rodolphe Meyer, grand violoniste virtuose qui n'est plus que l'ombre de lui-même, retourne dans la ferme où il a passé son enfance, au coeur de l'Aveyron rurale. Commence alors une sorte de dialogue entre Rodolphe et l'Enfant Sauvage, Victor, légende ou être bien vivant..? Et Rodolphe se retrouve à se rappeler des faits de son passé, sa mère, son soutien, son frère, mort prématurément, son père, qu'il ne pouvait supporter, Émilie elle-même et son Amour. Rodolphe se bat avec Victor pour montrer qu'il n'est pas celui que l'on croit... En fil rouge, il y a Menuhin, le maître, et son violon, Lord Winston.
C'est une ode à la musique, au violon et en même temps, un roman de la terre, avec des descriptions magnifiques, qui emmènent le lecteur en Aveyron sauvage. Un roman vivant, fort, très bien écrit.
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Sur un point de départ intéressant, je n'ai aimé ni l'écriture que j ai trouvée alambiquée ni l improbable intrusion du fantastique dans une histoire de musique,, de psychologie et de terroir.
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Rodolphe Meyer était le plus grand violoniste de sa génération avant de sombrer. Lorsque sa grand-mère décède, il retourne en Ardèche et plonge au plus profond de lui-même pour comprendre ce qu'il a été et ce qu'il n'est plus.
Ce livre est une parenthèse désenchantée. La première partie est un instant suspendu dans le temps, on se laisse emporter au gré des humeurs de Rodolphe et de Lord Wilton, son Milanello, son compagnon.
L'amour d'un petit fils pour sa grand-mère délaissée car la vie est ainsi, les chemins se séparent pour se retrouver au moment du grand départ. Et ce moment fait rejaillir tous les souvenirs enfouis ....
Dans la seconde partie on découvre son double ... imaginaire .... Mais qui n'en a pas un ? Quoique celui-ci soit particulier.
L'auteur a une force d'écriture rare et il est là où on ne l'attend pas !!

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Un violon sur la couverture et l'immense Yehudi Menuhin dans le titre : ce roman était fait pour moi, il m'a littéralement appelée. Alors je remercie profondément les éditions Belfond et NetGalley pour ce beau roman que j'ai lu d'une traite.
Nous suivons donc le violoniste Rodolphe Meyer dans la douloureuse épreuve du deuil : après son père, sa mère et son frère, c'est sa grand-mère qu'il enterre aujourd'hui. Il se rend alors dans la dernière demeure d'Emilie qui lui appartient désormais, et y restera bien plus de temps qu'il ne l'avait prévu. Peu à peu, au fil de ses mots, on découvre des fragments de sa vie. La vie d'un homme qui n'a pas eu le temps d'être un enfant parce qu'il fallait s'entraîner encore et toujours. La vie d'un petit génie jeté dans le milieu impitoyable de l'Excellence. Alors oui il est doué, du moins il a été très doué, mais au moment de faire le bilan de sa vie, quelle grisaille il nous livre… Regrets, colère, rancune, rien en lui n'est tranquille et apaisé. Ça bouillonne en silence. Ça s'agite jusqu'à la douleur.
Ce qui m'a vraiment frappée dans ce roman, c'est l'extrême solitude de Meyer. Une solitude terrible, poisseuse, qui agrippe le lecteur et l'asphyxie. On sent une détresse muette, une errance infinie. On est englué dans cette solitude, on la ressent, on la respire, on l'entend même, puisque son violon – son seul véritable compagnon – lui chante douleur et nostalgie des temps qui ne reviendront plus. Mais bientôt apparaît Victor, « l'Enfant sauvage », personnage énigmatique et obscur, qui vient fêler sa solitude et le plonger dans de profondes angoisses qui le révèleront à lui-même…
Malgré cette solitude, Rodolphe Meyer n'est pas parvenu à m'émouvoir tout à fait. Trop d'arrogance, trop d'orgueil parfois, trop d'amertume vaine. Sa déroute m'a touchée, ses regrets m'ont touchée, mais l'homme en lui-même ne m'a pas émue. C'est sans doute à mes yeux le seul défaut du livre. Car l'écriture est ravissante, mêlant métaphores lyriques et phrases plus rugueuses. Les souvenirs de Meyer s'emmêlent au récit et nous font voyager dans des recoins inédits, éclairant certaines parts sombres de l'homme et en pardonnant d'autres. J'ai trouvé cette plume très sonore et mélodieuse – mais peut-être mon amour pour le violon a-t-il joué ici – et au fil des pages j'entendais les partitas de Bach s'agiter dans ma tête, j'entendais le concerto de Mendelssohn, j'entendais la fougue de Beethoven.
Ce roman est un bonheur pour les mélomanes. On évoque Paganini, Sibelius ou le célèbre Karajan, on touche un Stradivarius pour la première fois, on croise le chef d'orchestre roumain Celibidache et surtout, surtout, on parle Menuhin. le Maître. le chef inégalé. Et l'ombre de ce virtuose pèse sur tout le roman comme il pèse sur la silhouette fatiguée de Meyer. « le son de ce génie, son beau visage, fier et noble, empreint de gravité… L'Ave Maria est facile, mais le jouer comme Menuhin est impossible. » Xavier-Marie Bonnot évoque ce poids du génie de l'autre qui nous demeure inaccessible. Les efforts acharnés pour tenter d'effleurer un fragment de ce génie mais peine perdue, le dieu est trop haut et il a volé la perfection pour se l'attribuer.
Mais si Menuhin appuie beaucoup sur l'existence de Meyer, ce n'est pourtant pas un roman sur le violoniste génial. C'est plus que ça : c'est un grave et rude questionnement sur la mort, son aberration, sa cruauté. Une réflexion sur ce qu'on laisse, ce qu'on aurait dû, ce qu'on aurait pu, aussi. Un dernier regard un peu nostalgique sur toutes ces décennies passées, parfois dorées, parfois plus ombreuses. C'est surtout à mes yeux un roman sur ce lien très étroit qui enlace le génie à la folie. Et ce beau et douloureux questionnement est embrassé par la grâce du Lord Wilton, un Guarneri del Gesù, « le dernier violon de Menuhin », qui sonne comme s'il pleurait, qui pleure comme s'il priait.
C'est surprenant, c'est poétique, c'est tout simplement beau : « je disais tous les mots inexprimables en un long coup d'archet, si long qu'il semblait monter au ciel. Il faut en avoir, des paroles tues, des bribes volées, des accents brisés, pour les mettre sur le fil de votre coeur. Nous, les virtuoses, sommes tous des névrosés, des orphelins de l'enfance. » Et même s'il m'a manqué une vibration, une brillance qui aurait rendu ce livre peut-être plus fort et plus prenant, j'en garde de belles émotions en refermant la dernière page et je suivrai cet auteur que je ne connaissais pas. Sur ce, je m'en vais prendre mon violon.
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" Émilie est morte. Je quitte Paris pour la Province. Au pays de l'enfant sauvage. À bientôt. "


Rodolphe Meyer se rends dans l'Aveyron, sa grand-mère, Émilie vient de décéder.

" J'adore la route. Pour cette patience qu'elle impose. Et pour laisser l'esprit filer au bout de la perspective infinie."

Elle lui a laissé en héritage une vieille ferme, isolée et assez délabrée, hantée par Victor l'enfant sauvage. Une mort qui va réveiller ses souvenirs, les bons comme les mauvais, mais aussi les regrets et les manques.

" La mort fait ce qu'elle veut. Elle perquisitionne la pensée et rouvre les vieux dossiers. Et puis elle juge...Elle soupèse votre deuil... C'est la correctionnelle du descendant. "

Rodolphe était un célèbre violoniste adulé du public. Mais l'alcool a eu raison de son succès. C'est accompagné de son violon qu'il arrive dans la propriété ancestrale.


" - On n'achète pas un tel instrument. On se prête à lui. Rien de plus. Ce fut pour moi une obsession, je n'avais pas d'autre solution que de passer le reste de ma vie avec le dernier violon de Menuhin. Même si je ne jouais presque plus en public, il me suffisait de sentir sa présence, de vivre avec lui, pour être heureux. et je crois que je l'ai été. "

Son arrivée ne va pas passer inaperçue. Certains signes vont le perturber et précipiter son destin d'une manière plutôt étrange. Il va faire connaissance avec sa part sauvage et devra la détruire s'il ne veut pas perdre son âme.

"L'enfant devine chacune de mes intentions... Nos pensées sont reliés par je ne sais quel fil invisible. "

À travers ce roman je découvre la plume de Xavier-Marie Bonnot. Un style noir et poétique qui m'a enchanté et captivé dés les premières lignes.

Je me suis aventurée au côté de Rodolphe, dans le monde passionnant d'un violoniste. Un artiste qui dés son plus jeune âge fut subjugué par cet instrument en écoutant l'Ave Maria joué par Menuhin.



Le violon lui parlait le langage du coeur et de l'âme. Même si cette passion l'a privé des plaisirs de la jeunesse, une enfance volée par un père ambitieux. Lorsqu'il jouait pas de place pour l'amusement. de là naquit un virtuose.



Un homme qui sera constamment habité par la musique, chaque souvenir, chaque pensée le ramèneront à un morceau de choix.

Un roman magnifique, qui nous plonge dans la vie d'un violoniste, un homme tourmenté malgré sa passion. Mais aussi un regard aussi réaliste que sarcastique sur la vie et la mort. Une histoire bouleversante, brillamment contée. Un roman intimiste au coeur de la solitude des hommes après la gloire.

" - C'est drôle, vous ressemblez à ...

(...)

- Je sais. On me dit souvent que je ressemble à quelqu'un que tout le monde connaît mais dont tout le monde a oublié le nom. Et vous savez quoi ? C'est vrai que tout le monde ou presque me connaît... mais personne ne se souvient plus de mon nom."



Pour ma part, je me souviendrai longtemps de Rodolphe Meyer et du dernier violon de Menuhin, et je suivrai l'écriture de Xavier-Marie Bonnot un virtuose de la plume.



Je remercie les Éditions Belfond pour cette lecture musicale sans fausses notes.

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