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EAN : 9782864774617
150 pages
Jean Picollec (30/03/2017)
2.67/5   3 notes
Résumé :
Après avoir bâti un groupe industriel international leader, Yves Bontaz interpelle les politiciens pour leur dire que la coupe est pleine, que le bal est fini ! Il prend la parole pour dresser un bilan de la situation économique de la France et dire l'urgence à agir pour réformer. Il donne une vision et un plan en 19 mesures indispensables que devrait prendre tout responsable politique qui serait plus soucieux de l'avenir du pays que de sa réélection. Il faut rogner... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Je vais essayer de dire en quoi ce livre est intéressant etant donné la petite note que je lui ai mis. C'est le point de vue d un entrepreneur, qui a sa propre vision de ce que devrait être l economie française, qui desire la dynamiser. le livre concerne surtout cet aspect. Ce qui est un peu genant c est qu il est ecrit comme si l auteur figurait parmis les candidats a l élection alors que ce n etait pas le cas. Je dois dire aussi que j ai reçu le livre après les élections et que cela lui a retiré un peu de son attrait. L'auteur ne fait pas que donnait sa vision pour l avenir de la france il dresse d abord un bilan, d'ou le titre. En lisant ce bilan je n'etais cependant pas sur des informations que je lisais. Je pense aussi que ce bilan est une façon d amener ensuite sa vision. Sans doute que certains lecteur trouveront leur compte ds ce livre mais pour moi ce ne fut pas le cas.
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Dans cet ouvrage, l'entrepreneur Yves Bontaz développe ses idées sur l'état économique du pays et propose des solutions à mettre en œuvre pour redresser et dynamiser l'emploi en France.
Au niveau de la forme, cet ouvrage est avant tout un "livre de campagne électorale". En effet, Yves Bontaz a été candidat à deux reprises à l'élection présidentielle sans obtenir un nombre suffisant de parrainage.
Au niveau du fond, c'est quand même un peu du déjà vu. Trop de fonctionnaires, trop de politiques, trop de charges, trop d'impôts. Oui, on sait tous ça.
L'auteur prône une baisse significative des charges patronales et une augmentation de la TVA. Rien de nouveau donc.
On peut être d'accord ou non, mais en tous cas, Yves Bontaz exprime ses idées clairement et simplement, comme si cela relevait du bon sens. A vous de juger !
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Yves Bontaz a essayé d'être candidat aux élections présidentielles en 2012 et en 2017 ; il n'a jamais pas eu les parrainages nécessaires.
Grand patron, self-made man, parti de la ferme parentale en Savoie pour arriver à créer un groupe international de plus de 4 000 employés, il livre, à travers ce programme présidentiel, son constat de l'état économique de la France et ses solutions pour sortir du marasme dans lequel l'ont plongé ceux qu'il appelle les politiques professionnels ne connaissant rien au monde réel du travail et de l'entreprise.
Chacun appréciera ces analyses et solutions selon son orientation politique, mais le propos est intéressant bien que n'abordant que le volet économique et reliant toutes les autres problématiques à celui-ci.
Un petit livre très facile à lire par tous même si l'on n'a pas dirigé une usine ou une entreprise
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Quand je donne 100 euros bruts à l'un de mes salariés, ça me coûte, avec les charges patronales, 150 euros. Sur ces 100 euros bruts, ce salarié va percevoir 70 euros nets. Comme il va être imposé sur le revenu à environ 30% - soit 21 euros d'impôts - il va donc lui rester 49 euros de pouvoir d'achat. Mais, sur ces 49 euros, ce qu'il va dépenser sera soumis à une TVA de 20%. Ce qui fait, qu'au final, son pouvoir d'achat réel ne sera que de 39 euros. Moralité : sur les 150 euros que j'aurai déboursé pour lui, mon salarié ne va effectivement disposer que de 39 euros, l'État prélevant 110 euros au passage. Voilà le vrai coût du travail en France ! Voilà pourquoi on a tué notre industrie et nos emplois !
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En réalité, nous sommes dans un système qui se mord la queue : faute d'offrir des emplois, on offre des aides sociales mais cet argent que l'Etat distribue, il le reprend par le biais des prélèvements fiscaux.
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