Est-ce moi où les auteurs québécois ne savent raconter une histoire d'horreur ? Au début du livre Spectral, on mentionne une statue de 90 cm qui représente un homme barbu. Moi, j'y ai vu un cas de spiritisme classique genre fantôme familiaux tel le "crâne qui crie" du manoir de Bettiscombe. On prétend que le crâne pousse des cris si on le sort de la maison, caractéristique partagée avec d'autres crâne familiaux de Grande-Bretagne. Où bien de poltergeist pour le jeune Guillaume personnage très secondaire dans cette histoire. Ensuite, on continue le roman pour ce rendre des aptitudes particulière de Brijit Baskanegan qui rappelle beaucoup professeur X dans les X-Men. Tout comme beaucoup de roman québécois, un parent ou les parents doivent mourir quelques soient le style de livre et on y échappe pas. Dans un autre section du livre, Delphine tient une poupée et on croit que c'est la Reine des Cendres. Là, j'ai pensé au roman de
Gudule (
Ne vous disputez jamais avec un spectre). Il y a de la magie (des allusions dans le récit mais rien d'intéressant), j'ai même cru que la jeune Delphine était possédé mais là aussi fausse route. À croire que le romancier, ne savait pas quoi faire de son histoire qui amalgame tout c'est genre afin de rendre le récit plus horrifiant pourtant c'est l'inverse. Cela n'a queue ni tête, on joue encore avec les stéréotypes. La fin des banalement plate et beaucoup trop facile à mon goût possédée ou pas. le côté médiumnique de Brijit Baskanegan est inexistant alors comment le fantôme à pu sortir des limbes avec le pardon de sa fille. Et pourquoi sa mère morte dans l'incendie devient la Reine des Cendres ? On en parle pas dans le livre, la raison de l'incendie s'il est criminel ou non. Rien le vide absolu, à croire que pour l'auteur cela n'est pas important mais plutôt la surenchère de scènes d'horreur. À évité au plus au point.