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Critique de Ambages


La couleur du bon pain est un roman qui parle du racisme dans la campagne française dans les années 70. L'une des filles du fermier, partie jeune pour courir le monde (et faire quelques bêtises de jeunesse) tombe malade adulte, alors qu'elle élève seule son fils, Gregory. Elle envoie l'adolescent chez ses parents à la campagne le temps de l'opération. Descendants et ascendants se découvrent mutuellement pour la première fois puisque le grand-père avait décidé de ne plus avoir de contact avec sa fille. le petit-fils observe le monde de la ferme, mais surtout son grand-père, Valentin, un homme bourru et orgueilleux qui le rejette car il est noir. Grégory va mal vivre le rejet du grand-père, auquel s'ajoute le décès de sa mère. Pris en charge par les grands-parents et ses oncle et tante, il devra trouver une place. Mais Valentin n'est pas un homme à qui l'on dicte ses actes et refuse tout compromis. Et puis Valentin est bien âgé et doit, lui aussi, solder une vieille affaire qui n'est pas à son honneur. La communication ne sera pas facile d'autant que dans cette famille « on ne parle et on ne se dispute que pour des choses superflues ; les autres, celles qui pourraient remettre en cause l'ordre établi, sont bannies. »
J'ai moyennement apprécié ce livre car je n'arrivais pas à être surprise par l'auteur, la trame était trop convenue et j'ai regretté quelques stéréotypes.
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