Jean-Louis Bory écrivait avec une alacrité, mais aussi une rage, voire une férocité dont notre indifférence correcte a perdu le sel. Il appartenait à un temps où le papier était une mitraillette, où la liberté d'écrire était trop mal partagée pour qu'on n'en abusât pas sans réserve. Bory, malgré sa bonne humeur, pensait que le cinéma est un combat. Qu'on ne cherche pour tant pas ici ces éreintements de salon, ces assassinats au vitriol qu'ont toujours pratiqués les ... >Voir plus