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4,05

sur 78 notes
Paris à la fin du XIXe siècle. La Tour Eiffel est toute récente, les rues sont peu à peu pavées, l'électricité apporte du confort, le téléphone, le cinématographe font leur apparition… dans ce monde changeant, les rêves et les espoirs des gens restent les mêmes et nombreux sont ceux qui consultent pour connaître l'avenir.
Mme Euryale, la Dame en rouge, est la devineresse la plus en vogue dans la capitale : elle lit le passé et l'avenir dans l'eau.
Florimond, jeune journaliste, avec le commissaire et son équipe enquêtent quant à eux sur des meurtres troublants : on retrouve des cadavres à la tête sciée et privée du cerveau.
Tous deux fuient des problèmes et cachent un secret. Est-ce un hasard si les chemins des jeunes gens se croisent ?

De facture très classique, ce roman est très bien construit et savamment dosé. La seule originalité sont les chapitres à la première personne où la Dame en rouge narre ses aventures, qui alternent avec des chapitres à la troisième personne où le point de vue change régulièrement. La psychologie de la Dame en rouge et de Florimond est suffisamment développée pour que le lecteur s'attache à ces personnages et, pourquoi pas, se reconnaisse dans l'un d'eux. de belles descriptions de lieux, d'instants, de paysages naturels participent au plaisir de lecture et ménagent des moments de suspens. L'auteur utilise un vocabulaire riche, précis cependant le style reste fluide et abordable.
Les thématiques sont diverses et renforcent l'intérêt de ce roman : le modernisme, la condition des femmes, la croyance et la crédulité, la liberté, les limites de la science, la divination, le métier de journaliste. Tout cela illustré au cours d'une intrigue à rebondissements dont on ne sait le fin mot que dans les toutes dernières pages.
Un roman jeunesse certes mais plutôt pour lycéens étant donné certains sujets abordés.

Un excellent moment de lecture, à découvrir sans réserve !
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Une très belle découverte que ce roman.
Nous y suivons plusieurs personnages, la jeune Violette tout d'abord, qui possède un extraordinaire don de voyance, Florimond ensuite, journaliste adepte des balades nocturnes dans Paris, et les Collenot, deux frères pseudo-scientifiques.
Les trois univers vont sans surprise se rejoindre, mais l'auteure a su rendre le scénario crédible et les événements s'enchaînent avec pertinence.
L'époque (fin du 19ème siècle) et les univers (journalisme, voyance) sont parfaitement décrits, et riches en détails rendant le récit immersif.
Les personnages sont attachants, notamment Violette, et pleins de ressources.
Je ne connaissais pas Béatrice Bottet, mais je pense jeter un oeil à ses autres romans car j'ai beaucoup aimé son écriture, sans fioriture, et son univers, riche et cohérent.
Ce fut un vrai plaisir de lecture.
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le Secret de la Dame en Rouge, c'est celui de Violette Baudoyer, une jeune femme dotée du don de divination qui emprunte l'identité de Mme Euryale lorsqu'elle donne ses séances auprès de la bonne société parisienne. Nous sommes à Paris, à la fin du XIXe siècle, c'est la Belle Époque et l'on s'apprête à inaugurer la Tour Eiffel pendant l'Exposition universelle. le cadavre d'une femme est découvert dans les rues de Paris... amputée de son cerveau. Florimond Valence, dit Nocturnos de son nom de plume, s'empresse d'écrire à ce sujet pour Les Nouvelles du Matin, lui qui a l'habitude de déambuler la nuit pour trouver l'inspiration. le voilà mêlé contre son gré à cette affaire sordide, obligé d'aider la police à enquêter sur ce qui finira par être une série de meurtres.

Bien sûr, son chemin croisera celui de Violette. Cette dernière a fui sa famille et ses obligations matrimoniales pour finir entre les griffes de l'ambiguë Mme Bouteloup, laquelle l'a prise sous son aile voilà deux ans, mais qui profite tout de même allègrement des dons de la jeune fille pour s'enrichir sur son dos. Violette, piégée par ses dettes auprès de sa protectrice, ne peut se résoudre à s'enfuir à nouveau alors qu'elle se cache déjà de son terrible père, bien décidé à la marier de force à un homme bien plus vieux et peu attrayant. Et puis malgré tout, elle l'aime bien, Mme Bouteloup ! Après avoir vécu sous la coupe d'un père brutal et autoritaire, elle se sent tout de même mieux auprès de cette femme qui, si elle confisque tous ses revenus, lui montre tout de même de l'affection et prend en compte ses opinions. Car la jeune fille est en avance sur son temps, éprise de liberté et bien loin de s'imaginer rentrer dans le même moule que sa propre mère. Femme au foyer ? Non merci !

Enfin, et c'est là où certains pourraient émettre un léger bémol, nous rencontrons les coupables dès le début du roman. Je pense cependant que ce n'est pas forcément un point négatif, car nous suivons tout de même l'enquête à travers les yeux de Florimond, mais surtout parce qu'il était nécessaire de comprendre leurs motivations. L'intrigue reste très prenante, même une fois ce secret éventé ! Nous voilà donc projetés au milieu d'une enquête policière teintée de fantastique, parfaitement ancrée dans l'époque choisie. L'autrice prend plaisir à forcer l'immersion et fait découvrir beaucoup de choses au lecteur néophyte, lui donnant même l'envie d'aller chercher plus avant plus d'informations, voire même de redécouvrir l'Exposition universelle. Les coupables eux-mêmes sont de purs fruits de leur époque, avide d'innovation et d'avancées scientifiques, prêts à tout pour participer aux changements qui bouleversent leur temps.

Le roman s'attarde aussi sur la condition féminine à cette époque et met en évidence la place de la femme à la fois dans la société, au travail ou dans son propre foyer. Nous sommes en France à la fin des années 1880 et pourtant, la femme est toujours à peine plus considérée que du mobilier. Les filles n'ont pas leur mot à dire face à leurs pères, les ouvrières sont moins bien payées pour la simple raison qu'elles ne sont pas des ouvriers. Pire, cette norme est tellement ancrée dans les moeurs que les femmes elles-mêmes continuent à se plier à ce système, embrassant le rôle de femme au foyer et ne défendant par leurs filles qui s'apprêtent à le subir à leur tour. Pour Violette, il est temps que cela change, et cela commence doucement mais surement par son émancipation, qui reste une solution précaire : si son père la retrouve, il aura toujours le droit de la marier contre son gré. On comprend aisément qu'elle ne se rebiffe pas plus contre Mme Bouteloup qui, au final, lui offre une forme de liberté à laquelle elle n'aurait pas le droit auprès de son père.

Enfin, j'ai été conquise par la plume de Béatrice Bottet, tout aussi agréable qu'efficace. On découvre alternativement des chapitres du point de vue de Florimond à la troisième personne et de Violette à la première, entrecoupés de courts moments où l'on suit les tueurs. le rythme est dynamique, les personnages sont crédibles et attachants, l'intrigue est prenante et les sujets abordés très intéressants. J'ai passé un très bon moment de lecture et j'encourage les jeunes lecteurs à s'y intéresser, rien que pour avoir un aperçu de ce qu'était Paris à la fin du XIXè siècle. Nul doute que l'enquête saura les passionner et les personnages les attendrir, pour ne rien gâcher !
Lien : http://allison-line.blogspot..
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Mélange de jeunesse, fantastique, histoire, policier. Ça peut plaire à un jeune public. Un adulte trouvera le roman cousu de fil blanc et peu palpitant vu que le suspens fait pshit dès le premier quart du roman.
Le contexte historique, l'ambiance et la société de la belle Epoque sont bien rendus dans l'ensemble. A côté de ça, le style laisse mi-figue mi-raisin, coincé entre un effort sur le phrasé pour coller à la période et un vocabulaire pauvre pour le reste. Trop de longueurs, il ne se passe au fond pas grand-chose, on attend que l'histoire décolle au lieu de s'empêtrer dans des saynètes et des flash-back… sauf qu'une fois que les personnages et leur histoire sont bien posés, on est à dix pages de la fin et ça fait un bail qu'on n'attend plus rien.
Bilan : un roman très moyen alors qu'il aurait pu donner un genre de Jack l'Eventreur parisien avec un contexte très immersif pour le lecteur.
Lien : https://unkapart.fr/critique..
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Un scénario un peu trop léger à mon goût non pas par son contenu qui a de quoi plaire mais par la façon dont l'auteure l'a utilisé. Il nous faut presque la moitié du roman pour voir avancer les choses même si quelques petits éléments nous ont mis sur la voie très tôt. Puis tout semble se déchaîner dans les 50 dernières pages au point de donner un rythme bizarre au roman. Dommage il y avait de bonnes choses dans les idées mais cela n'a pas été suffisamment utilisé à mon goût.
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Voilà une très jolie découverte! Un policier historique "jeunesse" hyper bien ficelé. Les personnages sont très attachants et bien fouillés. L'intrigue est classique avec un très bon rythme et un univers que j'ai adoré.
Il y a du vocabulaire, de l'humour, de la fraîcheur, le tout saupoudré d'un mystère. le "Secret de la Dame en rouge" est assurément à découvrir.
J'ai hâte de lire la suite.
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Je remercie tout d'abord Babelio et les éditions Scrinéo pour avoir eu la chance de recevoir ce livre lors d'une opération Masse critique.
J'ai mis la moyenne à cette lecture mais pas plus. Si le résumé m'a énormément plu, je m'attendais à une histoire et une enquête policière... eh bien pas du tout. On suit 3 protagonistes, Violette, voyante, Florimond, journaliste et 2 frères scientifiques. Chacun vit des aventures particulières à Paris et malheureusement, ces dernières ne m'ont pas intéressées. C'est une lecture en demi teinte donc, dommage. Cela dit, ce roman plaira surement à des lecteurs plus jeunes.
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La Feuille Volante n° 1130
le secret de la dame en rougeBéatrice Bottet – Scrineo

Nous sommes à Paris à la fin du XIX° siècle et le cadavre d'une femme vient d'être découvert, amputée de ce son cerveau. On imagine l'article un peu facile de Florimond Valence journaliste de la nuit sans grand talent et indicateur de police à l'occasion… sur les femmes sans cervelle qui, pourtant bien vivantes, marchent dans les rues de la capitale!
Dans la bonne société parisienne dont elle devient la coqueluche, Mme Euryale, toujours vêtue de rouge, fait profession de prédire l'avenir dans l'eau et connaît aussi le passé. Elle est liée à sa protectrice, Mme Bouteloup dont l'amant, Ernest, la chaperonne pour ses prestations divinatoires, par des dettes qui ne cessent de croître à cause de la garde-robe somptueuse qu'elle se doit de porter dans les salons où elle officie. N'est-elle pas « La Dame en rouge » dont chacun recherche les prédictions ? Avant de porter ce nom de Gorgone elle s'appelait Violette Baudoyer, une jeune fille bien ordinaire de province qui, pour échapper à sa famille, s'est réfugiée chez Mme Bouteloup qui ainsi exploite ce don inattendu. Ses parents, des industriels de province, voulaient en effet la marier contre son gré avec un homme riche, qu'elle n'aimait pas et qui avait presque l'âge d'être son père. A l'époque, dans la société bourgeoise, le mariage des enfants était souvent l'occasion d'arrondir un patrimoine familial et de consolider les alliances commerciales… Quant à la décision des intéressés, elle ne pesait pas bien lourd ! Pour se reposer de sa vie trépidante de salons, elle redevient parfois Violette, une dualité qui lui fait rencontrer un soir un Florimond bien désespéré. Ainsi, le journaliste à la suite de cette rencontre, enquête sur la voyance et finit par approcher les frères Collenot, deux savants fous qui cherchent à mettre au point une machine à prédire l'avenir. Comme les femmes victimes de ces meurtres et de ces amputations sont des devineresses, leur projet est-il lié à la mort des malheureuses,  et Violette craint-elle quelque chose?
Bien souvent, ce livre a failli me tomber des mains à cause des nombreuses longueurs qu'il comporte. Cela commence comme un roman policier et, de temps en temps, un cadavre apparaît et avec lui des interrogations qui passent vite au second plan puis, rapidement, laissent la place à une série de (trop) longues dissertations sur la voyance, la mise en perspective du don de Violette avec les progrès de la science et de la technique, la conditions des femmes au XIX° siècle, les déboires familiaux de Violette et ses velléités d'indépendance, l'histoire de Florimond et de leurs relations communes... j'ai certes apprécié les précisions historiques (la qualité de professeur d'histoire de l'auteure y est pour quelque chose), mais je n'ai pas vraiment été entraîné dans ce roman qui pourtant commençait bien. Quant à l'arrivée de Violette à Paris et la chance qu'elle a eu d'échapper à la prostitution, de se retrouver chez Mme Bouteloup, même si c'est une manière d'échapper à un enfermement pour se retrouver dans un autre, je veux bien que nous soyons dans une fiction, mais là c'est carrément idyllique ! Quant à la force de la prière de soeur Annonciade, on n'est heureusement pas obligé d'y croire, pas plus d'ailleurs qu'aux visions de Violette. Quant au « happy end », il est à l'avenant ...  Il est vrai que c'est un roman pour la jeunesse.
© Hervé GAUTIER – Avril 2017. [http://hervegautier.e-monsite.com]
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: le 19ème siècle semble être l'époque de prédilection de l'auteure et ses aventures aller par deux.



Après Pénélope Green la journaliste et son acolyte Cyprien Bonaventure le marin,

après Rose-Aimée la danseuse de cabaret et Martial Belleroche le joueur d'accordéon,

Béatrice Bottet nous propose un nouveau duo de caractère, Violette Baudoyer la mystérieuse "Madame Euryale" et le pigiste de la nuit Florimond Valence, signant ses chroniques du monde des nuits blanches sous le pseudonyme de Nocturnus.



Il ne doit pas être aisé de ne pas proposer des personnalités aux caractères semblables en les faisant se ressembler aussi physiquement, presque redondant sur un schéma assez systématique. Pourtant, Violet, Pénélope et Rose-Aimée ne se ressemblent pas.



Pénélope était aventureuse. Elle reprenait le rôle paternel de journaliste, imposait ses compétences en tant que femme sur le poste à une époque florissante d'émancipation et menait l'enquête.

Rose-Aimée, sauvage et tourmentée, fuyait la compagnie en général, après ses heures de travail au cabaret, craignait d'être protégée et menacée d'une malédiction qui emportait dans la tombe toute personne de la gente masculine qui lui manquerait de respect. La cause féminine reste bien présente.



Violette est médium et secrète. Elle donne des séances de divination auprès d'une riche clientèle moyennant une belle rétribution sonnante et trébuchante. Très activement, elle joue le rôle que sa logeuse lui a construit, Madame Euryale, et lit l'avenir dans l'eau.

Elle semble tout aussi portée que les deux autres héroïnes par un souffle d'indépendance et d'émancipation. Toutefois, fuguer de son foyer ne lui a pas apporter l'autonomie financière et ainsi doit-elle travailler ardemment afin de rembourser la cupide et calculatrice Madame Bouteloup.

Les raisons de sa fuite vont s'éclaircir au fur et à mesure du récit et ce nouveau destin à crédit tombe de nouveau dans l'escarcelle de la cause féminine très prisée par Béatrice Bottet. Les lecteurs le comprendront par de nombreux chapitres accordés à son passé.



Le roman démarre rapidement dans le vif du sujet, avant de céder le premier plan à la découverte des personnages, dont la psychologie est à chaque fois détaillée et profonde.



Un corps est retrouvé mort,

le corps d'une femme dont le cerveau a été dérobé.

Effrayant.

Mesdames, les rues ne sont pas sûres, prenez garde.



Florimond, l'autre héros, voit là un sujet de quolibet sur les femmes sans cervelle et il est à espérer pour lui que la foule de lectrices en furie ne lui tombe pas sur le poil.

On le devinera plus taquin que mysogine grâce aux chapitres dédiés aussi à son passé et avec sa troupe de six soeurs pétillantes et complices.



Le pauvre aura bien à faire dans le présent.

Violette pourrait déclarer qu'il est né sous une mauvaise étoile.

Piégé par un inspecteur en mal d'informations, avec ses sordides affaires qui pourraient semer la panique auprès du public et afficher une mauvaise image de la police, Florimond est soumis au chantage pour travailler sur l'affaire la nuit et enquêter.

Sous le coup de la mauvaise publicité également (entièrement fabriquée par l'inspecteur), Florimond perd la main de la jeune fille de bonne famille qu'il courtisait assidûment et se retrouve à la porte de chez lui sans le sou.

Il finira néanmoins par trouver de solides informations sur les victimes sans cervelle (car il y en aura d'autres) et se verra secouru dans sa "misère" par une bonne âme qui se promène et admire l'eau reposante du canal, qui ne lui révèle rien, elle.

Ainsi se rencontre Violette et Florimond.



Le roman nous en dira plus sur ceux qui enlèvent tous ces pauvres hères et sur leurs tentatives scientifiques.

Frissonnant.

Florimond découvrira le point commun entre toutes les victimes.

Elles sont toutes médiums.

Il ne sera donc pas difficile à comprendre qu'elle sera l'intention de Florimond qui doit une belle faveur à Violette.



Mais, me diriez-vous, ces médiums qui voit l'avenir ne sont décidément pas très doués pour ne pas le voir arriver, ce danger.



Si ils étaient comme Violette, ils n'auront pas la chance de prévoir leur propre destin grâce à leur don.

Voici qui est bien injuste pour de bons services rendus et qui rendra le récit palpitant.



Les actes criminels font un décor tendu mais deviennent au fil de la lecture un peu secondaire et le fameux secret de la Dame en rouge se concentrera surtout sur les pans du passé de Violette, sur les éléments qui donneront de la crédibilité à la rencontre de ces deux inconnus. Les flashbacks des deux viennent conforter cette mystérieuse force qui les fera se voir l'un dans l'autre.



Nous retrouvons cette ambiance troublante du Paris pittoresque, sombre, insécure, bien développée dans l'aventure de Rose-Aimée, assez proche d'un Londres à la même époque, pour un roman du même registre d'aventure.

Comme à chaque fois avec Béatrice Bottet, on s'attache aux personnages et on se laisse prendre à l'alchimie qui agit. Ce titre est, contrairement à Penelope Green d'un genre policier, à ranger dans le tiroir de l'Aventure, une aventure à plusieurs titres sous le signe de l'Inconnu, à coup d'audaces vive comme la tempête, de dangers venimeux et d'amour qui foudroie.

A découvrir.
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oh quel bon roman pas que pour les jeunes pournous aussi les adultes
Une trés belle histoire sur le monde divinatoire tous les personnages sont sympa on se ballade dans le Paris fin XIX quoi dire j ai vraiment aimé jusqu'à la fin il y a du suspens
Je vais chercher pour en savoir plus sue cet auteur.
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