Mignon, mignon. A lire auprès d'enfants de 4, 5 ou 6 ans. Ce qui est intéressant dans ces livres pour enfants, c'est le sens caché. Celui pour les adultes.
Mais moi ce que je préfère, ce sont les illustrations.
Quand je lis ce tout mignon livre aux enfants de 5 ans, et que je leur montre les images, ils deviennent tout diserts, et ce livre, ce que j'en espéraiS, est devenu le déclencheur de belles discussions. Et mieux, quand un de ces enfants joyeux s'exprime un peu abruptement, nous lui rappelons avec le livre qu' il peut le dire autrement.
Bonheur, bienfait de la lecture auprès des enfants.
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Ce petit livre semble quelque peu daté - la première édition date de 1993 - et en sus des dessins un brin vieillots on croise dans l'histoire une cabine téléphonique, ce qui m'a permis d'expliquer à mes enfants la vie avant le téléphone portable !
Mais l'histoire n'en est pas moins digne d'intérêt : la grenouille Verdurette quitte sa colonie de cousines en "-ette" à la recherche d'un prince charmant daignant l'embrasser, elle se rêve secrètement princesse... mais au fait, à quoi ça ressemble, un prince charmant ? Les déconvenues successives du pauvre batracien ont beaucoup fait rire mes garçons.
Malheureusement la fin s'avère un peu plate, même si non dénuée d'humour.
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Histoire remplie d'humour d'une petite grenouille prénommée Verdurette et dont le seul souhait est de se faire embrasser par un prince charmant afin de devenir une jolie princesse. Elle s'aventure donc dans le vaste monde à la recherche de ce fameux prince charmant qui pourra réaliser son voeu mais a tôt fait de réaliser que les princes charmants n'existent que dans le contes et que, finalement, elle n'est pas si mal que cela dans sa mare. Les dessins aux couleurs pastels sont drôles et l'histoire attendrissante.
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Une grenouille tente de trouver un prince charmant qui, en l'embrassant, la ferait devenir princesse.
C'est plutôt sympathique, sur le ton de l'humour avec la rencontre d'objets et d'animaux ne correspondant pas à l'idéal du Prince Charmant.
C'est dommage que la fin est un peu moyenne avec le cliché de la grenouille qui donne la météo qui arrive comme un cheveux sur la soupe et une conclusion plutôt basique.
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Elles formaient une grande famille unie.
Il y avait Georgette, Pierrette, Cousin, Bébette, Rosette, Claudinette et bien d'autres nénettes.
Et puis, il y avait Verdurette.
Sa sixième rencontre fut un tracteur.
Il était grand, il était beau, il sentait bon le moteur chaud.
Mais il resta sourd comme un pot à ses avances.
bon appetit monsieur lapin