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C'est toujours un plaisir que de lire un roman de Jérémy Bouquin, j'aime particulièrement son style incisif, ses phrases courtes, sa manière de nous plonger dans une ambiance en a peine quelques lignes et surtout, quand il écrit du noir, sa crédibilité, ses histoires sont réalistes et nous dévoilent les travers de notre société que l'on ne veut pas voir.
Cette fois, il nous emmène au coeur d'une banlieue, celle de Saragosse à Pau, mais qui pourrait être n'importe laquelle de nos banlieues françaises, celles où l'on tasse des familles, pour les oublier. Car nos politiques ne veulent assumer cette jeunesse abandonnée, exclue du système et les laissent végéter dans des zones quasi de non-droit. Alors, pour survivre, ces jeunes se débrouillent, vivent de trafics en tous genres, souvent de drogue.
A Saragosse, c'est Joe qui est à la tête de la cité, ancien légionnaire, il dirige et répartit les quartiers à différents groupes, souvent issues de différentes communautés. Il réussit et mène bien son business, en étant même plutôt apprécié des habitants à qui il apporte un certain calme. Joe est secondé par Moktar, un ancien manouche et camarade légionnaire garant de la prospérité et d'une certaine sécurité au milieu des tours. Seulement un beau jour, des ados, des guetteurs, sont balayés par les balles d'une arme de guerre, une kalachnikov. Pour éviter un embrasement de la cité, Moktar qui a en plus de nombreux problèmes personnels devra jouer au pompier…
Un nouveau roman noir de cet auteur prolifique et à mon goût pas assez connu qu'est Jérémy Bouquin, qui ici comme dans la majorité de ses romans, nous décrit des scènes de vies, pas celles que nous vivons nous, mais celles qui se jouent, parfois pas très loin. Il a ce rare talent de nous parler des gens, souvent en marge de la société, mais qui restent des hommes et femmes envers qui nous gardons de l'empathie, comprenant leur situation. Oui même chez les plus mauvais d'entre nous, il reste du bon.

Lien : https://imaginoire.fr/2020/1..
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Moktar c'est le caïd du coin. Avec Joë " son patron " il gère un quartier de Pau, le business ? la drogue.
Moktar est un gitan, il s'est posé dans ce coin. Il est connu, respecté... craint aussi, il a aussi la stature pour. Il est marié et a 4 filles qu'il adore. Père de famille pas sans histoire il doit gérer un gros problème. Trois gamins qui revendent, guettent... dans les halls viennent de se faire tuer. Un vrai carnage. du sang partout, des bouts de cervelles.
Et pourtant ce n'était que des "gosses", même pas 15 ans.
Tout le quartier vit de ce trafic la came. le fric coule à flot, les mômes sont chargés , les filles faciles.
Moktar doit calmer le jeu. Se débarrasser des cadavres, consoler les familles et surtout prouver que ce n'est pas la bande rivale qui a tué les mômes.
Voilà un policier mené à cent à l'heure. Scénario bien mené l'action se passe en quelques jours. Des dialogues, des personnages bien campés, on est au coeur de l'action. Moktar a du sentiment. On pourrait en douter... parce que ça tape dur. Pas de cadeau,et de la baston il y en a, du sexe aussi.
C'est noir, très noir comme souvent chez cet éditeur.
J'ai été surprise par le contenu. je suis naïve sans doute mais j'espère que cela ne se passe pas comme ça en vrai..
Sans doute que si... Lorsque l'on entend les faits divers des cités.
Un roman lu très rapidement. Décidément j'aime l'écriture le Jérémy Bouquin et ces romans policiers chez Cairn. le Sud est chaud, il y a un melting-pot étonnant et riche dans ces pages. ça vit, ça vibre, ça meurt, ça craint. Rien de très honnête... Une galeries de personnages forts , même le flic véreux.
"C'est le Sud" ( pour paraphraser une phrase célèbre)
bon je crois que je vais passer à du plus léger pour quelques temps. Celui-là il m'a secouée.

Merci à masse critique et à Cairn pour cet envoi. Merci pour les marque-pages et le catalogue, un plaisir de trouver un petit plus avec le livre
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Exploiter un business au quotidien est d'autant plus complexe qu'il y a dans l'équipe des rivalités et des jalousies . Moktar , en bon manager , l'a bien compris même s'il n'a pas encore trouvé la solution miracle qui permettra de satisfaire tout le monde .

Le business de Moktar c'est celui du trafic des drogues en tout genre dans ce coin de Pau ,appelé « Saragosse » . Un quartier où les habitants sont parqués verticalement dans des barres HLM , un endroit réputé pour toute marchandise qui se fume , se sniffe , s'avale ou s'enfile en intraveineuse .
Une activité qui draine une masse salariale importante et hiérarchisée, du guetteur au dealer , de celui qui livre , celui qui encaisse à celui qui récolte la recette journalière . Moktar est le numéro 2 du business qui dépend d'un certain Jo , un ancien camarade de la Légion avec qui il a monté cette affaire florissante , après quelques années passées à Béziers .
Moktar surnommé également « Momo » ou « Gros » compte tenu de son physique lourd et imposant , est un manouche qui s'est sédentarisé , même si une caravane est posée dans le jardin de sa maison comme un rappel de ses racines .Il est père de quatre filles qu'il chérit comme la prunelle de ses yeux .
Le meurtre de deux jeunes du quartier et membre actif du trafic qui se sont fait mitrailler à la kalashnikov , va sérieusement compliquer les choses et amplifier les antagonismes entre les communautés qui dépendent de Joe et donc de Moktar . « le bancal » , celui qui gère la bande de marocains dont faisaient partie les deux jeunes assassinés est persuadé que le coup vient des « Sugar Negars » ,un groupe de blacks qui tiennent une autre zone de « Saragosse » et il veut la guerre ! Moktar sait que cette lutte fratricide n'est pas bonne pour le business et qu'il doit absolument maintenir la paix entre les différentes fratries . Mais en a-t-il vraiment les moyens alors qu'au même moment sa vie « d'avant » se rappelle à son bon souvenir?

Ma première plongée dans l'univers de Jeremy Bouquin . Des descriptions ultra -réalistes de cette planète dope du côté de ceux qui la vendent dans ce territoire parfaitement balisé .
Une histoire narrée par Moktar , sans filtres , avec un vocabulaire du cru . On le suit comme son ombre , dans ses démêlés « politiques » entre leaders de communauté , dans ses traversées de sous-sols glauques au pas de course , dans ses tractations tendues entre rivaux , dans ses virées folles à bord de sa « Merco » tunée . Moktar est un aussi un père de famille aimant qui semble avoir établi un équilibre, certes précaire, entre son « travail » et sa famille . Il est en proie aux doutes comme tout être humain et les dramatiques incidents qui vont émailler la vie chaotique du quartier , vont transformer notre personnage principal en véritable enquêteur , cherchant la bonne piste et ne se laissant pas distraire par des arguments relevant plus de la rivalité personnelle voire d'une haine latente entre individus de cultures ou de couleurs de peaux différentes .
Vous vous laisserez embarquer par le rythme et les nombreux rebondissements qui maintiendront Moktar sous pression permanente pendant tout le roman . Comme dans tout bon polar, l'auteur nous gratifie d'un beau suspense qui vous tiendra en haleine jusqu'au bout .
A aucun moment Jérémy Bouquin ne juge ces protagonistes, il en fait simplement les témoins de leur temps , des opportunistes qui ont su profiter d'une certaine ghettoïsation de certains quartiers de métropoles , des zones de non droit où la misère sociale côtoie des cultures souvent inconciliables.




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Pas une once de mot en trop dans ce livre.
C'est un univers pas toujours uni et construit sur des fidélités sonnantes et trébuchantes. C'est un marché sous tension et ce sont des personnages où la caricaturale vérité n'a rien d'un documenteur. Un vocabulaire, cru à raison, qui ne déborde pas de sentiments et un style qui colle à l'intrigue, c'est une combinaison qui ne nous donne aucune illusion, qui surprend et confirme.
Jérémy Bouquin fait parler la poudre, fait taire les soupçons sur le polar sociétal et fait que nous prenons tout de cet ouvrage, sauf la poudre d'escampette.
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A Saragosse cette banlieue de Pau, c'est Joe qui règne en maître sur tous les trafics et c'est Moktar son bras droit qui est chargé d'y faire régner l'ordre.
Joe et Moktar c'est une vieille histoire, c'est à la Légion qu'ils se sont rencontrés ces deux là et depuis ils « travaillent » ensemble.
Qui est Joe ? personne ne sait
Qui est Moktar ? les gens en savent un peu plus c'est un manouche qui s'est sédentarisé, 1m70, 170 kilos, une femme enfin une « régulière » et quelques extras de temps en temps, 4 filles qu'il adore, ses mômes c'est son point faible et des mains qu'il faut mieux éviter si on veut garantir son intégrité physique.
Alors le jour où deux gars viendront armés de kalachnikov semer la mort dans un hall d'immeuble dans lequel se trouvaient des gosses qui faisaient les guetteurs pour les trafiquants à la solde de Joe, Moktar va devoir prendre les choses en mains s'ils veulent éviter que la cité entière parte sur le pied de guerre.
Mais alors même que Moktar devra mener son enquête pour savoir qui a osé les attaquer, son passé lui revient en pleine figure.
Coco son frère de sang manouche vient de mourir.
Il avait fait une promesse à Coco lorsqu'ils étaient gosses, il a bien l'intention de la tenir, et donc se rendre à Béziers, retourner au campement duquel il a été exclu après avoir trahi les siens qui ne lui ont jamais pardonné, pour eux il est bel et bien définitivement mort.
Oui mais voilà, le suicide de Coco va poser bien plus de question qu'il n'y parait et bientôt Moktar va se rendre compte que les incidents qu'il vit à Saragosse et la mort de Coco pourraient bien avoir un lien.

Merci à Masse critique et aux Editions Cairn pour cette très belle découverte
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« Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? »
Eh bien oui, Jérémy Bouquin fait de ce polar un roman d'atmosphère, entre un quartier de Pau qui pullule comme un nid de frelons, des dialogues au cordeau et des personnages idoines.
Pour tout dire cela me convient mieux, j'y trouve une ambiance où tout a son importance.
La couv' est superbe et convient bien à Moktar.
« Moi. Moktar. Un mètre quatre-vingts et pas loin de cent soixante-dix kilos. Des mains épaisses comme des battoirs. Manouche, quoi ? »
Il règne sur le quartier Saragosse, trafic de came, il gère cela comme une multinationale. Les premières pages donnent au lecteur l'impression d'être de cette fange cosmopolite, de quoi trembler.
Mais parfois il y a des rouages qui se grippent sévèrement, là ce sont des mômes morts ou blessés. le coup d'une bande rivale ?
Le Dab Joe débarque chez Moktar et fait comme s'il était chez lui.
« le Bancal est un tordu, il est bien du genre à faire plomber ses propres gars pour lever une guerre civile dans la cité. Ce taré ne rêverait que de ça, foutre le feu à Saragosse et déstabiliser Joe. »
En dehors de son business Moktar mène une vie de famille comme monsieur tout le monde, avec des hauts et des bas dans sa vie de couple et un amour immense pour ses quatre filles.
Alors dire que ce carnage n'arrange pas ses affaires est un euphémisme.
Cette fusillade n'arrive pas au bon moment, et Joe et Moktar doivent aller présenter leurs condoléances aux familles des mômes….
Les dialogues sont comme les personnages : nerveux.
Un auteur que je découvre grâce à Masse Critique Babelio que je remercie ainsi que les éditions Cairn pour une collection Noire qui prend de belles couleurs.
Cette histoire m'a semblée une triste réalité que les chaînes d'info nous distillent lorsqu'un de ces « quartiers » explose.
©Chantal Lafon-Litteratum Amor 10 novembre 2020.

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Avant tout j'aimerais souligner que cette couverture est juste magnifique ! Ce polar n'est pas qu'une histoire de mecs à ce qu'on pourrait penser à la lecture de la quatrième couverture.

Dans ce récit, on va suivre Moktar, un homme fort de corpulence marié avec Sylvie et qui a quatre enfants. Son passé va se dévoiler au fur et à mesure de la lecture ; il y aura l'histoire de Coco et sa rencontre avec sa première femme Lilie. le parcours militaire de Mokar avec Joe est aussi souligné.


" La Légion étrangère, trois ans. Un contrat court, des opérations en Afrique. Là, j'ai rencontré Joe. A Dakar, il était sergent, on s'est pris d'amitié; "

Mais ce n'est pas que du noir, un brin d'humanité se fait sentir ; Moktar dicte quelques règles de conduite et d'éducation à certains jeunes. J'imaginais très bien au fil des pages les méandres du trafic de drogues dans le quartier de Saragosse à Pau.

" - La crise, le Bancal, les trois morts dans la cave, les Schmitt. C'est pas le bon moment, je sais, mais c'est jamais le bon moment quand il faut mourir ! "

Jérémy Bouquin s'imprègne et se met dans la peau de Moktar. Il y a de l'action de l'adrénaline à profusion ! C'est assez prenant et addictif : les dialogues collent parfaitement aux personnages. Mais j'ai un seul point négatif à dire ; la fin est trop vite arrivée car je me suis vraiment attachée aux différents aspects de cette histoire. La qualité principale justement de cet auteur est de savoir instaurer une ambiance captivante.
Lien : https://delphlabibliovore.bl..
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Le quartier Saragosse c'est le secteur de Moktar. Il y tient les barres d'immeubles, les avenues, la plaine de jeu, les commerces… Un véritable business à ciel ouvert, avec ses guetteurs, ses chefs de clans, leurs lieutenants.
Tout ce petit monde s'est allié pour le trafic de came. Les alliances sont encore fébriles et il ne faut pas grand-chose pour allumer le feu. La ville est tenue jusqu'au jour où deux gosses se font faucher sous les balles d'une kalachnikov 7.62
Lien : https://collectifpolar.wordp..
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Vous aimez les envolées lyriques? Les fresques contemplatives, les circonlocutions langoureuses et les gradations adjectives? Vous souhaitez vous évader dans de suaves rêveries aux accents de contes oniriques ? Échapper au monde dans une parenthèse ouatée de douceur et d'espoir ? Des réponses au lieu de questions ? Dans ce cas, ne lisez pas Moktar de Jérémy Bouquin.
le narrateur nous impose un récit brutal, sans filtre ni concessions, des réalités du trafic de drogue dans les cités françaises. Un récit sans remèdes, non plus, presque sans résolution, à l'image de la situation qu'il dépeint. Dans une langue dure et vivace, Moktar déroule son présent instable, revient parfois sur un passé en friche, échoue à envisager un avenir. L'écriture prenante, immersive, bouscule le lecteur happé, ballotté dans le monde de Momo, si proche, si réaliste, souvent confus, qui convulse sur un rythme saccadé, dont l'irrégularité et l'absurde n'ont hélas rien à envier au nôtre. Car c'est bien le nôtre que dépeint Jérémy Bouquin à travers cette plongée dans l'esprit d'un homme, dans les rues d'une ville. Malgré la déchéance et la violence omniprésentes, inévitables, quelques touches de tendresse et d'humanité nous lient au personnage principal dans les quartiers de Pau, jusqu'à la dernière page de ce roman captivant (même si cela dit, il est très rapide*). Une lecture terrible servie par une plume percutante dont on ne ressort pas indemne, que je ne saurais top vous recommander. Même si pour partir à Pau, ben, c'est vous qui voyez...**

* J'ai pas pu m'en empêcher.
** J'ai toujours pas pu m'en empêcher.
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Jérémy Bouquin est un habitué des quartiers abandonnés par les pouvoirs publics où la précarité et la pauvreté règnent sans aucun espoir de s'en sortir pour ceux qui y vivent, des immigrés le plus souvent. Il en connait les codes et il sait mettre en valeur avec beaucoup d'humanité et d'empathie des personnages accablés par le malheur. Il y a eu une instit ( voir "Tableau noir du malheur" , un ancien militaire ( voir "Chien de guerre" ) , cette fois-ci c'est Moktar. le lecteur s'attend à une immersion dans ce que la convenance appelle « zone de non-droit », sauf que Moktar personnifie une certaine forme de justice non défaillante.

Tout le monde connait Moktar dans le quartier Saragosse en plein coeur de Pau. Il est surnommé Momo ou Gros mais tout le monde le respecte car c'est le bras droit de Jo, le Chef. Les deux compères, anciens militaires, ont mis en place une économie qui profite à toutes et tous, sans distinction : le trafic de came. le quartier Saragosse est un supermarché de la dope ! Jérémy Bouquin grossit le trait, ou pas…

« Moktar » est un roman cinématographique qu'il faut lire tous les sens en éveil. Chaque mot est bien choisi, pas besoin de verbe quand un qualificatif suffit. Des mots d'argot pour faire vrai, le langage de la rue c'est une langue à part entière. le décor est planté, on le voit. Les gens vivent, on les entend. L'odeur du shit dans les halls d'immeubles, on la sent. Les coups qui pleuvent, ils font mal. le gout de la gnôle à Coco, de la goutte patate-prune, brûle la bouche et la gorge.

Une fusillade va-t-elle compromettre tout le travail de Jo et de Moktar ? La mort de deux gamins tués d'une rafale de Kalach cache-t-elle une déclaration de guerre ? L'équilibre est précaire entre les arabes et les Blacks. il y a même des russes qui attendent dans l'ombre et des barbus pas francs. Et si le Bancale voulait prendre la place de Moktar ? En tout cas les flics vont s'en mêler et ce n'est pas bon pour le biz-ness. Tous les téléphones vibrent, c'est l'alerte général.

Finalement la guerre des gangs n'aura pas lieu, enfin pas tout de suite. Rétablir l'ordre dans le quartier Saragosse c'est son boulot mais dans l'immédiat Moktar a le coeur qui parle. Il y a de l'humain dans ce roman, pas seulement de l'action. La mort du copain de toujours, Momo, entraine Moktar dans la communauté manouche de Béziers là où se trouvent ses origines. Nostalgie, mélancolie et colère sont au rendez-vous.

Jérémy Bouquin sait renouveler ses récits de banlieues. Mais il y a une constante dans ses histoires avec des êtres humains qui s'aiment, s'entraident et parfois se déchirent. Des êtres qui vivent ou survivent toujours avec l'espoir chevillé au corps.

Jérémy BOUQUINMoktar . Parution septembre 2020. Éditions Cairn, collection du Noir au Sud. ISBN 9-782350-689005.
Lien : http://romans-policiers-des-..
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