Quelle belle écriture. Mais alors, je ne suis pas sûre d'avoir tout compris. Il faudrait le relire. C'est d'un hermétisme !
En gros, c'est le même thème que « Guillaume et les garçons à table » : mère omniprésente, quête d'identité.
Ici, c'est en se réfugiant dans la maladie que ce jeune garçon, qui se sent si proche d'une fille, recherchera l'attention de sa mère.
Et pour ajouter à son tourment, il y a la mémoire de cette maison dont la cave servit de salle de torture pendant la guerre ; et puis ce grand-père dans son fauteuil roulant, porteur d'un horrible poids familial.
C'est dur, c'est noir, c'est compliqué…..mais quelle maîtrise de l'écriture, quelle beauté des phrases..
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