N’en déplaise aux clichés (encore un effort, nous y sommes presque !), le capitalisme n’est pas un coureur cycliste, fût-il bourré d’hormones de croissance, qui ferait du sur-place avant le sprint final avec la révolution prolétarienne. Sa fermentation, toute macabre qu’elle soit, n’a rien de statique. Crevant de ne pas crever, il réussit, ou feint la réussite, de son coup le plus audacieux, réalisant en négatif le programme communiste.