En ce qui me concerne, ce court roman de
Pierre Bourgeade (1927 - 2009) a été lu en diagonale.
D'après ce que j'ai compris,
Pierre Bourgeade possède une réputation sulfureuse sur l'ensemble de son oeuvre. En effet, l'érotisme ressort régulièrement dans ses écrits.
Venezia, le présent roman, ne fait pas exception à la règle, si l'on apprécie ce genre littéraire.
Par contre, le dénouement final est vraiment glauque, malsain. Un certain malaise s'en dégage, une fois lu. du moins, est ce mon sentiment.
Pour moi, une lecture sans plus, sans grand intérêt, qui n'apporte rien.