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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
En lisant le résumé du livre, on aurait pu aisément croire que Bras de fer traité d'un sujet sur le handicap et la difficulté à surmonter cette déficience physique, mais que nenni, c'est toute une histoire de drogue et d'addiction qui se cache derrière ce roman.

Julian est un grand jeune homme de 18 ans, il est champion de natation d'île de France. Il est en couple avec Leila, une arabe très gentille, et follement amoureuse de Julian. le père de Julian, Louis, est surnommé depuis sa plus tendre enfance "Bras de fer", dû au fait d'une histoire inventée par un médecin quand il était à l'hôpital, pour se faire recoudre le bras. Depuis ce jour, il est devenu le champion incontesté du jeu du bras d'honneur, communément appelé bras de fer. Julian essaie de battre son père depuis sa plus tendre enfance, mais en vain. Louis l'a alors mit au défi de le battre à sa majorité, et il lui paierait, en contrepartie, la moto dont il rêve depuis tout petit. Ayant perdu une nouvelle fois contre son père, Julian vole la moto d'un de ses amis, et décide de rejoindre sa copine... mais catastrophe, il attrape un accident ! A partir de ce jour, sa vie va déraper et changer du tout au tout.

Le début du roman ne laisse pas du tout présager l'histoire qui va se déroule tout à long du livre.
On démarre sur les chapeaux de roues, tous les évènements s'enchaînent à une grand vitesse, sans laisser aux lecteurs le temps de dire "ouf". J'avoue qu'avec toutes les informations que Jérôme Bourgine nous balance au début, j'avais du mal à tout enregistrer au fur et à mesure. L'entrée dans le roman est brutal, l'auteur nous met directement face aux vies et aux situations des différents personnages.

Julian représente au début du livre un garçon normal, mais qui va se transformer au fil des pages. Sa lente descente aux enfers va commencer dès son accident, pour ne faire qu'empirer tout au long de l'histoire.
Leila est réellement amoureuse de Julian. L'amour qu'elle lui voue et inconditionnel, omniprésent, et les preuves d'amour qu'elle lui montre (aussi indirectement que directement), démontre bien toute l'importance qu'elle lui accorde. Elle fait beaucoup de sacrifice pour lui. Après son accident, elle aurait pu le quitter, le laisser tout seul, mais non, elle est restée, et à continuer à vivre avec lui comme si rien ne s'était passé. Même après qu'il ait commencé à sombrer dans la drogue, elle est restée auprès de lui, et lui a voué une confiance exceptionnelle. Elle a crut en lui, en ses promesses, et même en ses mensonges.
Attachants, vulnérables mais également touchants, ces deux jeunes gens vont émouvoir le lecteur, et faire en sorte qu'il ne sorte pas indemne de sa lecture.

Un sujet fragile, un thème qui remue et percute le lecteur. Mais pour nuancer ce fort sujet, Jérôme Bourgine a ajouté des touches d'humour, de tendresse et beaucoup d'amour qui permettent d'atténuer la violence du roman.

Je tenais à féliciter l'auteur pour la dénouement de son livre. Une fin bouleversante, où j'ai failli pleurer, pour la première fois en lisant un texte. J'aurais bien lu encore quelques centaines de pages de ce livre : les pages filent toutes seules, on s'attache aux personnages, et l'histoire et fort agréable et réaliste...

Un livre qui fait prendre conscience de certaines réalités de la vie d'aujourd'hui, il est fort, très troublant. Ceux qui le liront ne ressortiront pas indemnes, et s'en souviendront longtemps.
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Julian a dix-huit ans, il a obtenu son Baccalauréat, il est champion de natation dans sa catégorie et est en couple avec la belle Leila. Que demander de plus ? Julian le sait, il désire plus que tout une moto et pour cela il devra vaincre son père au Bras de fer. Mais rien ne se déroule comme prévu, sa vie va déraper.

On entre facilement dans l'histoire et il n'y a pas de lenteurs ce qui fait qu'on est vite au coeur de l'action. Les sujets sont difficiles. le handicap et la drogue sont les plus abordés. Ce que va traverser le couple est très dur. C'est un combat.

J'ai été agréablement surprise par ce livre, malgré les thèmes, l'auteur réussit à placer des touches d'humour sous forme d'ironie. Il sait parler de choses difficiles sans jamais tomber dans le pathos ni dans la lamentation. L'espoir est présent à travers Leila. C'est un personnage remarquable, qui se sacrifie pour celui qu'elle aime.

Je l'ai lu très vite et avec plaisir Ce roman est magnifique. La détermination de Leila, le père de Julian qui a tant de mal à exprimer ses sentiments,... On ressent énormément d'émotions pour ce livre tout à fait réaliste. Cela pourrait arriver à n'importe qui d'entre nous. L'histoire nous fait réfléchir sans être moralisateur. C'est une ode à la vie et à la reconstruction, car rien n'est jamais totalement perdu !

Je ne l'oublierai pas de sitôt et vous le recommande chaudement.
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Avec ce roman, Jérôme Bourgine s'attaque à deux thèmes difficiles. En lisant le résumé, on pourrait croire que l'on a affaire à un roman sur le handicap. Et en effet, l'absence de bras de Julian est un fil rouge de l'histoire.

Mais le vrai propos, celui qui est au centre du roman, c'est l'engrenage de la drogue et du manque. L'auteur en parle avec aisance, restituant toute la dureté et l'absence de scrupules qui sévissent dans le milieu de la drogue, qui sert de point d'ancrage des pratiques mafieuses et/ou perverses. du fait de ce thème, certaines scènes du roman sont forcément assez glauques, le lecteur se trouve face à une véritable déchéance humaine. C'est donc un titre à réserver à un public averti.

Mais la réussite de ce roman réside dans le traitement de ces deux thèmes difficiles. En effet, le tour de force de l'auteur, c'est de faire en sorte que le roman ne soit jamais pesant pour le lecteur. Oppressant, oui. Pathétique, jamais. Drôle, souvent. L'humour est présent tout au long de l'histoire, avec un brin de cynisme. Il y a également dans ce roman de la sensibilité et de la tendresse, notamment au travers du couple formé par Julian et Leïla. Ainsi, le roman est très vif et se lit avec plaisir.

J'ai beaucoup aimé la manière dont l'auteur présente et fait agir ses personnages. On sent qu'il les aime, et de fait, le lecteur s'attache lui aussi aux protagonistes de l'histoire, même lorsqu'ils se montrent faillibles, même s'ils agissent mal. Ils sont en fait terriblement humains, voilà pourquoi j'ai cru, dur comme fer, à cette histoire.

Julian, éternel insatisfait, cherche par tous les moyens à oublier ses rêves qu'il juge inaccessibles. Tout ce qu'il veut, c'est se sentir bien, quitte à renoncer à sa dignité, quitte à voler ses parents, à piétiner le coeur de la femme qu'il aime. Et pourtant, on est touché par son mal être, lui qui est gouverné par le manque.

Leïla, inébranlable, porte Julian à bout de bras et se détruit pour que lui s'en sorte. Ses intentions sont si bonnes que, quoi qu'elle fasse, il est impossible de la juger.
L'histoire est racontée d'après le point de vue de ces deux personnages, cette alternance est intéressante.

Je m'attendais à ce que le père de Julian soit plus présent, que leur relation soit davantage au centre du roman. Mais finalement, il est surtout présent par son silence, et par l'importance qu'il a pour Julian. C'est un personnage intéressant lorsqu'on lève un peu le voile sur sa propre histoire, qui mériterait peut-être d'être un peu plus mis en avant.

Il y a aussi des personnages secondaires intéressants, comme Véro, l'institutrice qui ne dit pas non à un petit pétard à ses heures perdues, ou Kurt, le voisin aveugle qui espionne tout l'immeuble.

J'avais aimé l'écriture de Jérôme Bourgine dans son précédent roman, c'est toujours le cas ici. Son écriture est vivante et assez imagée. Elle recèle également beaucoup d'humour, comme je l'ai déjà mentionné. L'auteur utilise également des références cinématographiques assez nombreuses. Je ne les ai pas toutes saisies, mais j'en en tout cas apprécié le clin d'oeil à Star Wars !

Ainsi, c'est un roman qui attrape le lecteur dès les premières pages et le relâche, remué mais heureux, après le point final. Un roman dur, mais qui est aussi et surtout plein de vie, très humain. Un roman fort, qui ne vous laissera pas indifférent. Je serai bien en peine de vous expliquer pourquoi ma note ne va pas jusqu'au coup de coeur, peut-être à cause de la fin un peu abrupte, mais je vous le recommande chaudement.
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Ce qui m'a le plus marqué dans ce roman, assez dur par sa thématique, c'est la façon dont le dealer s'y est pris pour mener Julian dans la drogue. Jérôme Bourgine a parfaitement raconté la subtilité de la manipulation. À chaque fois, le dealer invite à une nouvelle drogue, comme ça, juste pour essayer et j'ai eu froid dans le dos en voyant comment il utilise les faiblesses de Julian.
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Jeune homme amoureux et lycéen insouciant, Julian est le reflet de la jeunesse d'aujourd'hui : désabusé, il est écoeuré d'une vie qu'il n'a pas encore pleinement goûté et son quotidien lui semble morne et insipide. Il est pourtant champion de natation et vit une jolie histoire d'amour avec Leila ! Mais il se plaint, parce qu'il est jeune et qu'à cet âge là une simple broutille prend des proportions gigantesques. L'âge ingrat ! Bref, son anniversaire approche, c'est le moment de s'assumer et d'annoncer à ses parents qu'il ne souhaite pas devenir dessinateur industriel, mais infographiste. On retrouve le stéréotype du père froid et distant, autoritaire, qui dirige sa petite famille sans accepter le moindre faux pas : l'affrontement est inévitable si Julian souhaite vivre la vie qu'il a choisi, et non celle qu'il lui impose. Jusqu'ici, rien d'original : le roman s'adresse à un public jeune en exploitant un thème d'actualité. Puis, c'est le rituel du bras de fer : chaque année, le soir de son anniversaire, Julian affronte le force légendaire de son père dans l'espoir de remporter la moto qu'il lui a promise en récompense de sa victoire. Il est sûr de gagner cette fois ! Il a 18 ans, il a décroché son bac', il a une copine et surtout un grand besoin de cette moto pour frimer en allant en cours et faire de longues virées en amoureux. Il ne peut pas échouer, d'ailleurs il sait qu'il va gagner, il le sent. Mais il se fait battre, une fois de plus. Une fois de trop ? Ravalant ses larmes, il court et s'enfuit, cherche sa Leila. Il décide de la rejoindre et emprunte la moto d'un de ses amis - t'inquiète mec, je te la ramène dans deux minutes - et il roule, avale les kilomètres et son chagrin avec : c'est l'euphorie. Cette sensation de liberté, le plaisir du vent glacial qui mord sa peau : il se sent invincible et prend des risques inconsidérés. La moto dérape et sa vie avec : il chute et perd un bras dans l'accident.
Ce passage est franchement triste et la détresse de son père est plus douloureuse encore. Heureusement, Julian n'est pas seul pour affronter son handicap : ses parents, et Leila surtout, sont à ses côtés pour l'aider à se relever de cette épreuve. Leila est une courageuse jeune femme, assez solide pour deux, qui n'hésite pas à tout lâcher - sa famille, ses études - pour soutenir Julian et vivre à ses côtés. C'est un roc sur lequel Julian va s'échouer. Elle se démène pour trouver un emploi et pour faire plaisir à Julian, sacrifie toutes ses économies pour payer un petit studio minable. Elle lui est entièrement dévouée, amoureuse jusqu'au bout des ongles. Julian retrouve le sourire. C'est alors que son père lui propose un voyage entre mecs, à bord d'un voilier : c'est inespéré et délicieux, Julian se sent revivre. Ils passent la nuit dans un port, en Angleterre, et c'est là qu'il commence à déconner. Une jeune femme inconnue enlève son pull devant lui pour rigoler et lui faire rater sa manoeuvre : c'est juste une blague, mais les yeux de Julian ne rigolent pas, ils s'attardent sur la chair offerte. Puis, le groupe de jeunes qui accompagne la jeune femme l'invite à passer la soirée avec eux. Julian, tout content de ne pas être mis à l'écart malgré son bras en moins, s'empresse d'accepter. C'est là qu'on lui propose de l'herbe, pour goûter, pour s'amuser. Pour se sentir bien. Il refuse bien sûr, il ne connait que trop bien les dangers de ces plaisirs là, ses parents l'ont bien éduqué. Mais tout de même, c'est tentant. Une main glisse sur sa cuisse, Julian désire la fille, il prend le joint. Son bras fantôme devient une excuse pour justifier sa bêtise, sa traîtrise et son égoïsme, et ce n'est que le début. Avouer son infidélité et l'exquis plaisir qu'il en a tiré à Leila ne le délivre pas de la délicieuse sensation que lui a procuré la drogue : alors, sans hésiter, il se procure du shit. de plus en plus souvent. Différents sources, différentes herbes. Très vite, il se laisse carrément sombrer dans la drogue et entraîne avec lui l'énergie et la force de sa Leila, pauvre petit ange, qui va lutter jusqu'à l'humiliation et le dégoût de soi pour le relever et l'aider à combattre cet autre lui, le Manque.

Bras de fer est un roman très sombre, plus sombre que ne le laisse penser la quatrième de couverture. Je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture, et pourtant j'affirme qu'il s'agit d'un très bon livre. La lente descente dans l'enfer de la drogue est très bien écrite, Jérôme Bourgine parvient à mettre des mots justes sur la dépendance qui s'installe progressivement et sur le manque obsédant qui bousille tout sur son passage. de plus, le roman est écrit dans un langage familier et jeune qui mélange les langues et s'amuse des jeux stylistiques, c'est un choix efficace qui donne une dimension très réelle au récit. Je n'ai jamais touché à la drogue de ma vie mais grâce à ce livre je suis aujourd'hui en mesure d'expliquer les symptômes de la dépendance et les manifestations du manque, je suis à présent capable de comprendre pourquoi il est si difficile pour un drogué de s'en sortir seul et de recouvrer la raison. La drogue est un poison terrible qui s'infiltre dans toutes les brèches et détruit progressivement les sentiments, puis les individus. C'est donc un livre efficace, enrichissant et percutant - car franchement, Jérôme Bourgine n'épargne pas le lecteur : la vie commune du jeune couple se transforme en véritable cauchemar et tout comme eux, on ne voit pas le bout du tunnel.

Je n'ai pas réussi à décrocher du roman de toute la soirée car je voulais absolument terminer ma lecture sur une note positive. J'avais besoin d'un passage joyeux, ou au moins qui ne soit pas déprimant - mais les pages se tournent et c'est toujours pire. C'est pourtant un roman très bien écrit et qui s'inspire de faits réels, mais si j'avais souhaitée lire un ouvrage aussi sombre, je me serais orientée vers un témoignage. En choisissant un roman, j'espérais que le récit serait certes instructif et percutant, mais qu'il balancerait également la morosité par l'amour ou tout autre sentiment positif. Malheureusement, même les dernières pages n'apportent pas la joie nécessaire pour délivrer le lecteur de cet univers mélancolique : j'ai refermé ce livre totalement démoralisée et abattu.

Par ailleurs, je n'ai pas apprécié l'humiliation de Leila, contrainte de poser nue puis de subir les pulsions sexuelles tout à fait écoeurantes d'immondes pervers sans scrupule - tout ça pour quatre milles euros, une somme bien dérisoire en comparaison de ce qu'elle accepte de subir. C'est un livre qui est conseillé dès 14 ans et cela me perturbe énormément : la société a-t-elle à ce point changé que les jeunes adolescents ne soient même plus choqués de lire la prostitution forcée d'une jeune femme ? L'auteur a souhaité coller à la réalité, le langage est donc constamment familier et bien souvent grossier ; le pire étant ces passages sexuels assez choquants, qui sont très crus et vulgaires. Personnellement, je ne mettrai pas cet ouvrage dans les mains de mon petit garçon lorsqu'il aura 14 ans, je pense qu'il faut essayer de préserver l'innocence de nos enfants - bien que notre société de consommation érotise les enfants de plus en plus jeune et sans complexe ! C'est un marché très porteur auquel je suis fermement opposée. Dans ce roman, il est également question d'homosexualité lorsqu'un sexagénaire manipulateur et pervers abuse à multiples reprises de Julian en paiement de la drogue qu'il lui fournit. Ces passages sont moins précis et certaines scènes sont sous-entendues, mais l'auteur reste tout de même assez explicite - d'autant plus que Julian finit par avouer très vulgairement jusqu'où il est allé pour se procurer sa dose. C'est donc un livre que je déconseille aux enfants et adolescents, il faut selon moi une vraie maturité pour aborder cet ouvrage et en ressortir indemne.

"-Grouille-toi, on va rater le bus.
Il referme la porte-fenêtre et chope son blouson au passage. Sur les murs nus de l'appartement, un groupe de dauphins ricane en silence.
Ils s'installent tout au fond du bus. Julian laisse ses yeux glisser sur la ville où l'or des feuilles se mêle depuis quelques jours à la boue.
Une feuille de platane fait des pointes sur une flaque, un pied rabat ses prétentions de ballerine. Leila ne dit rien. Les premiers temps, elle pensait pouvoir échapper à la torpeur du flot humain charrié par la ville. Rien ne doit m'entamer, se répétait-elle, ni la médiocrité de notre existence actuelle, ni les humeurs de Julian, ni les tuiles. On marche sur un fil et il est forcément relié à quelque chose, de l'autre côté.
-Il suffit de tenir, Julian. Comme en compète.
-Pourquoi tu dis ça ?
-Parce que j'y pense. Parce que c'est toi qui me l'as dit, une fois. Parce que c'est vrai. Tu ne vas pas bien et c'est normal, l'appart est triste mais on va le rendre beau, mon boulot est moche mais ça ne durera pas éternellement. Il suffit qu'on tienne, Julian.
-Oui, ma puce.
Il était en train de penser à l'autre, à Jeanne."

Une sélection de titres musicaux est proposée en début de roman, afin d'accompagner agréablement la lecture : c'est une jolie attention que j'ai beaucoup appréciée.

Retrouvez cette chronique ainsi que de nombreuses autres découvertes sur mon site internet : Rêveries Littéraires.

Je remercie sincèrement les éditions Sarbacane pour la confiance dont elles m'honorent.
Lien : http://reverieslitteraires.fr/
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