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Chroniques de l'armageddon tome 4 sur 4
EAN : 9782809459654
400 pages
Panini France (02/11/2016)
3.86/5   11 notes
Résumé :
Les États-Unis sont ravagés par des hordes de morts-vivants assoiffés de sang. Dans une tentative désespérée pour survivre, un officier de la Navy découvre un incroyable secret sur la pandémie…
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
On retrouve Kilroy dans ce tome IV, qui après avoir passé 3 jours en explorations en dehors de son paradis, a entendu un morceau d'un signal en morse qui laisserait supposer une sorte de remède qui permettrait d'éteindre cette flamme de vie dans les zombies, le tout envoyé par le commando phoenix au sud d'Atlanta. Kilroy décide d'y aller seul pour gagner plus de temps, plutôt que de faire demi-tour et appeler du renfort. Seul il est plus rapide, mais surtout il a plus de chance comme l'ont montré les tomes précédents.

Son but principal est de se rapprocher du signal en allant vers les hauteurs d'Atlanta pour y capter la totalité du signal et pouvoir savoir si le commando phoenix y est toujours en vie avec ou sans remède. Ce qui permettrait de savoir si cela vaut le coup ou pas. Durant tout son chemin il va être amené à y trouver des compagnons d'aventures, des nouvelles armes laissées par Remote 6. Mais aussi des pillards de plus en plus nombreux et équipés, ainsi que des milliers de zombies à différents stades de décompositions et des confrontations avec ces deux méchants qui le mettront dans de sales draps. Sans oublier la faune et la flore toujours présente qui reprend leur place dans cet océan de béton que l'humain avait façonné il y a encore pas si longtemps.

Je dois avouer que même si notre héros est bourré de nouilles à son arrière-train, ce genre de mission solo de récupération d'un potentiel remède un an après apocalypse ça sent le foutu pourri d'avance. Et arrivé devant ce boss final qui est le Wachovia Plaza, au coeur d'Atlanta, une ville bourrée de zombies, après que notre héros est parcourus des centaines de kilomètres au bout de 27 jours et 334 pages du livre qui m'ont fait voyager avec lui par ses nombreux détails et péripéties ; j'ai trouvé que cette fin manquait de pages, même s'il n'y aurait pas eu grand-chose à ce dire, vu que les retours sont toujours fatigants et nous paraissent plus rapides que les allers.

Mis à part cela, j'ai trouvé ça captivant les moments où Kilroy traverse d'anciennes zones de combat ou des maisons de citoyens qui eux aussi ont laissé des traces de leurs souvenirs que ça soit par les traces de combats acharnés, leurs moyens de survivre ou leurs derniers mots laissés sur papier qui eux n'ont pas eu autant de chances que Kilroy. Sans oublier tous ces objets vitaux, importants au quotidien que nous trouvons banals, mais que nous ne savons pas comment recréer alors que c'est possible mais hélas nous avons été habitués à n'être que consommateur.
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Nous retrouvons dans ce tome IV des Chroniques de l'Armageddon, le commandant de navy Kilroy que nous avions quitté après sa mission en Chine à la tête du commando Hourglass dans le tome précédent : Opération zombie, pour une nouvelle expédition en territoire hostile, solitaire cette fois.
Suite à un message en provenance d'une balise de détresse où un surprenant compagnon à quatre pattes lui sera associé, Kil espère pouvoir rejoindre Atlanta pour y porter secours à des membres du commando Phoenix et permettre la récupération d'un remède qui pourrait sauver l'humanité.
Nous voyageons sans reprendre notre souffle à travers son journal de bord, depuis son départ en bateau de l'ile refuge des Keys où il vit avec sa femme et sa fille, puis racontant son courageux parcours à travers les terres infestées par les morts-vivants, sa lutte pour survivre, trouver de quoi manger et boire, se déplacer, se défendre, se soigner...

L'écriture est de qualité et le côté technique des détails de l'armement, loin d'être rébarbatif pour un profane donne un petit plus très légitime dans son côté militaire. Notre héros est un talentueux combattant d'expérience mais aussi un véritable humain, respectueux de la vie, sensible mais aussi faillible, enfin un mec bien quoi !
Ces chroniques sont un plaisir, on a vraiment très envie de suivre Kilroy dans ses missions, découvrir avec lui les petites merveilles oubliées, se réjouir de ses trouvailles et bonnes fortunes et apprécier ses décisions en mode survie dans un monde ou la moindre erreur peut être fatale. Vraiment un des meilleurs auteurs en post-apocalyptique d'action, impossible de reposer le livre avant la fin, tout ce qu'on attend d'une bonne histoire en fait !
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Quatrième et surprenant tome de J.L Bourne, nous sommes repartis avec notre protagoniste en mission solo pour peut-être trouver une solution au problème zombie !
Un vrai plaisir de retrouver une suite à cette histoire, bien que je n'y trouve plus la même "pate" que dans le 1er tome qui m'avait énormément plu.
Ecris dans un style de journal intime on pouvait suivre à mesure qu'il progressait dans sa propre retranscription de ses péripéties.

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babelio_id:Bourne-Chroniques-de-lArmageddon-tome-4--Mission-fantom/899743
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
En m’agenouillant près du robot, je me suis senti moins seul, d’une certaine manière. Même si cet assemblage de fibres de carbone, de titane et de silicone n’était pas vivant, il remplissait sa fonction d’étrange copie du meilleur ami de l’homme. Je me demandais ce qu’Annabelle, la chienne de John, penserait de la machine. Je ne me suis pas rendu compte que je tapotais le dos du robot avant de sentir la chaleur dégagée par le GTR contre ma main.
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Je m’appelle Dudley. J’ai eu une vie bien remplie et heureuse.
J’ai arpenté cette terre soixante-treize ans avant les morts.
Je vous souhaite bien du courage pour atteindre cet âge-là, bande de pauvres bougres.
Bien cordialement.
D. Wildes

J’ai été frappé par un éclair de jalousie quand j’ai compris que le pauvre bougre, c’était moi.
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J’ai fait volte-face, fusil levé, et j’ai failli dégommer un chat. Il avait bien morflé ; sa queue avait été presque entièrement arrachée, et il lui manquait l’oreille gauche. Des morts-vivants l’avaient probablement acculé. J’ai envisagé de nourrir la pauvre bête, mais il a détalé rapidement quand je me suis dirigé vers lui. J’espère qu’il s’en tirera.
Etre sauvage ou mourir, comme tout le monde ici-bas.
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Assis sur l’immense lit deux places, j’ai failli délacer mes chaussures, mais je me suis arrêté. C’était une mauvaise habitude que j’avais attrapée à force de vivre dans la sécurité relative des Keys. Retirer mes pompes serait le moyen le plus sûr de voir une centaine de macchabées fracasser la porte de devant. Loi de Murphy, tout ça...
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J’ai ajusté mon amplificateur et j’ai progressé vers les terres, rassuré par le fait que, pour le moment, rien ne pouvait m’atteindre par les côtés. Quand mes chaussures ont foulé les herbes folles, les règles ont changé ; à eux l’avantage, désormais. Si je ne me pliais pas à leurs règles, je risquais de devenir l’un d’eux ; j’étais la seule particule positive dans une galaxie de particules négatives.
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