Je fais le choix de ne commenter que la dernière nouvelle, longue de plus de 50 pages : Une voisine presque parfaite, par
Marie Wilhelm. Ce texte est très évocateur lorsqu'il décrit un jardin situé au bord de la voie ferrée du "Paris-Toulouse". C'est encore mieux si l'on connaît ce type de jardin ! La propriétaire des lieux est sympathique, sa vie paisible et rassurante. Mais, peu à peu, l'ambiance se détériore, des choses (je n'en dis pas plus) sont lancées dans son potager, en même temps que des tombes sont profanées au cimetière de Limoges... On saura bien sûr le fin mot de l'histoire, mais on aurait préféré que l'ambiance ne se détériore pas ! Mais évidemment, comme on est dans une nouvelle ferroviaire-policière....