AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Assassin's Creed tome 9 sur 11
EAN : 9782811225490
480 pages
Milady (27/10/2017)
3.78/5   29 notes
Résumé :
"Le Serment du désert" : la préquelle officielle du dernier opus à succès de la série Assassin’s Creed.
Avant Assassin’s Creed : Origins, un Serment fut conclu.

Égypte, en l’an 70 avant notre ère. Un impitoyable assassin sévit. Sa mission : trouver et tuer les derniers membres d’un ordre ancien, les Medjaÿ, et mettre un terme définitif à la lignée.

Dans la paisible Siwa, le départ précipité du protecteur local laisse son jeune fi... >Voir plus
Que lire après Assassin's Creed Origins: Le serment du désertVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
3,78

sur 29 notes
5
1 avis
4
4 avis
3
3 avis
2
0 avis
1
0 avis
Nous sommes en face d'une novélisation de l'excellent jeu vidéo éponyme, qui ici prend la forme d'un préquel : dans un roman d'apprentissage, nous suivons les destins de Bayek et Aya avant les événements qui vont les conduire sur la voie de la vengeance contre les puissants qui leur ont pris leur enfant...

Dans ce récit, Bayek n'est pas encore le dernier des Jedis, euh pardon le dernier des Medjaÿ. Il est encore en formation sous la surveillance de son père Sabu dans l'Oasis de Siwa, mais pour ce dernier c'est pour son propre bien qu'il ne le trouve jamais assez bon et assez prêt pour prendre sa suite au sein de sa confrérie… Très vite la gentille différence entre Bayek l'Égyptien rural et traditionaliste et Aya la Grecque citadine et moderniste va prendre un tour beaucoup crucial et beaucoup plus sinistre. Car nous allons assister à une lutte sans merci entre ceux qui se réclament du Nouvel Ordre Mondial basés à Alexandrie et les Jedis, euh pardons les Medjaÿ qui se réclament de l'Égypte éternelle et qui sont répartis dans tous le pays : les premiers étendent leur influence sur toute la Vallée du Nil tandis que les seconds veulent recruter en masse pour s'opposer à eux, donc nous assistons à une course de vitesse entre les deux camps. Mais qu'est-ce qui les opposent ? On dépasse l'opposition entre les Anciens et les Modernes, entre les réformateurs et les conservateurs : l'auteur Olivier Bowden, habitué des novélisations de la série, comme la plupart des auteurs anglais ne cachent pas sa haine de cette folle de Margaret Thatcher alias la plus grosse imposture du XXe siècle avec ce fou d'Adolf Hitler. Les grandes tirades sur le despotisme éclairé ou à défaut sur une démocratie devant être fortement guidée et fortement encadrée du Nouvel Ordre Mondial sont beaucoup trop semblables aux discours aussi hypocrites que dégueulasses des ultralibéraux et des hypercapitalistes reagano-thathéro-macroniens pour être fortuites. Les mêmes causes produisent les mêmes effets : Raia le comploteur carriériste et Bion le tueur flegmatique auraient presque de faux airs des sinistres Benjamin Griveaux et Christophe Castaner… Tous ces gens-là sont attendus de pieds fermes aux enfers s'ils n'y sont pas déjà !

L'idée de mettre en introduction Emsal qui échoue dans sa mission et dans la sauvegarde de sa famille pour maintenir le suspens quant à l'avenir de Sabu, sa mission, et sa famille avec Bayek et Aya qui tentent de le rejoindre pour lui prêter main forte. On a la fausse piste du pilleur de tombes Menna pourchassé par les Nubiens de Kensha, puis la fausse piste du Medjaÿ prisonnier à l'Île Éléphantine. Dans leur enthousiasme les rookies sabotent le piège du vétéran et tout est refaire… Sauf que l'adversaire est de taille, aussi puissant que retors, donc que rien n'indique qu'on a peut-être pas manqué la seule et unique occasion d'en finir avec lui ! Force est de constater que nous sommes face à un nouvel avatar du Héros aux mille et un visages (vous savez ce mythe aussi vieux que l'humanité conspué par les élites autoproclamées du monde entier comme connerie pour les teubés, parce qu'elles s'estiment largement au-dessus de l'humanité : on ne va pas se mentir, avec une telle mentalité elles en sont exclues !), et pour devenir adulte ce dernier va forcément devoir faire face à la perte de son mentor. Vous pouvez sortir vos mouchoirs, d'autant plus que normalement vous avez déjà vu Luke Skywalker assister à l'ultime destin d'Obi-Wan Kenobi...

D'habitude je n'attends jamais rien des novélisations qui sont des produits complètement marketisés, mais ici cela n'est finalement pas mal du tout. Toutefois il y a deux gros soucis qui tirent l'ensemble vers le bas :
- le récit est très haché avec 67 chapitres pour 337 pages donc difficile de développer univers et personnages
- on alterne constamment narration à la 1ère personne pour les chapitres consacrés à Bayek et narration omnisciente à la 3e personne pour tous les chapitres qui ne lui sont pas consacrés
Claire Jouanneau a réalisé un joli travail de traduction en utilisant des mots comme térébinthe, antienne, himation et talweg (sans parler du vocabulaire antique spécialisé genre « machairophoraï »), mais j'ai repéré deux erreurs qui ne sont peut-être pas de son fait mais plutôt de celui de l'auteur :
- à un moment les personnages prennent le thé, ce qui est parfaitement normal pour des personnages anglais du XXIe siècle après Jésus Christ, mais ce se révèle complètement anachronique pour des Égyptiens du Ier siècle avant Jésus Christ… Est-ce trop difficile pour les auteurs et les traducteurs que de parler de tisanes ou d'infusions plutôt que de tricher avec les réalité par pure flemmardise ?
- le tueur grec Bion utilise à plusieurs reprises le mot et la notion de « credo »… D'abord un Grec parle grec et non latin, à fortiori dans la partie orientale de la Mer Méditerranée où tout le monde parle grec et presque personne le latin ! Mais en plus cette notion est étroitement associée au christianisme et il faudra attendre plusieurs siècles avant qu'elle ne soit usitée par les conciles et les synode chrétiens du Bas-Empire romain…


PS: pour des raisons que la raison ignore cette oeuvre tombe le coup de la loi n°49-956 d 16 juillet 1949, rédigée par d'anciens pétainistes pour se faire oublier des nouveaux communistes qui voulaient faire barrage à la culture américaine avant que celle-ci ne soit complètement castrée par les suppôts de Fredric Wertham le Savonarole yankee…
- soit les censeurs sont des analphabètes pour être passés à côté de toutes les scènes de violence du récit alternant meurtres et tortures
- soit les censeurs sont des abrutis finis pour ne pas avoir compris que cette oeuvre n'est pas « jeunesse » (mais dans leur raisonnement c'est une novélisation de jeu vidéo, et dans « jeu vidéo » il y a le mot « jeu » associé à « jeunesse » par des raccourcis qui feraient honte à n'importe quel être humain)
Dans tous les cas cette loi scélérate d'un autre temps qui est appliquée à géométrie variable (censure de "Gil Jourdan", "Lucky Luke" ou "Boule et Bill" par exemple : heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon dans les preneurs de décisions seraient en danger mortel !), et qui peut servir de prétexte à tous les apprentis inquisiteurs en mal de puissance et de reconnaissance pour faire tout et n'importe quoi doit être révisée de toute urgence ! Mais les gouvernements successifs sont trop occupés à obéir aux donneurs d'ordres milliardaires adorateurs du Veau d'Or pour prendre la moindre décision relevant du bon sens le plus élémentaire !!!
Commenter  J’apprécie          532
C'est toujours avec une certaine impatience que j'attends les sorties Assassin's Creed rédigées par Oliver Bowden. Si les premiers reprenaient chaque jeu de la firme, les deux derniers opus apportaient un véritable complément aux joueurs : ils permettaient de mettre en avant un personnage secondaire ou d'apporter des informations nouvelles sur l'univers. C'est la première fois que je lis un AC sans avoir joué au jeu (pourtant cet univers égyptien et les nouvelles fonctionnalités me bottent bien !), je ne peux donc pas dire quel supplément cela apporte réellement. J'avais donc quelques appréhensions au moment de ma lecture… Finalement, si j'en crois le résumé, il s'agit d'un préquel au jeu qui permet de comprendre la création de la confrérie des Assassins. Je ne sais pas si je le résumerais ainsi, car les victimes Medjaÿ (guerriers d'élite) sont nombreuses ! C'est carrément une hécatombe au lieu d'une explication sur l'origine de la confrérie… En tout cas, il n'est donc pas nécessaire d'être joueur ou d'avoir lu les autres opus… Il est vrai que l'on n'est pas perdu et que, comme tous les autres livres, on rentre facilement dans l'histoire. Celle-ci va mettre en scène le passé de Bayek. On va découvrir sa jeunesse, sa romance avec Aya, sa relation avec certains membres de la ville de Siwa, son rapport avec son père Sabu, sa formation et ses premières expériences dans la voie des Medjaÿ. C'est plutôt intéressant de voir Bayek progresser, apprendre de ses erreurs, se battre et tisser des liens. le rythme est correct : il y a de l'action ainsi que diverses phases de dialogues… Je n'ai pas forcément réussi à me représenter certains lieux, mais cela n'enlève pas le charme de l'époque égyptienne.

Lorsque la narration n'est pas à la première personne avec Bayek, elle passe à la troisième personne en se plaçant du côté des personnages secondaires, notamment Aya, Raia et Bion. J'ai beaucoup aimé les passages mettant en scène Aya : c'est une demoiselle intelligente, avisée, observatrice, autoritaire et sûre d'elle. Elle forme un joli tandem avec Bayek et ne fait pas office de plante verte. Aya se bat contre ses ennemis, s'oppose à son aimé lorsqu'elle n'est pas d'accord et va au bout de ses envies. C'est vraiment une femme qui agit selon ses convictions et qui n'a pas nécessairement besoin d'autrui pour exister. Autant dire que j'ai fini par avoir un coup de coeur pour elle, notamment à partir des deux tiers du livre, puisqu'elle prend enfin une certaine place dans le récit. Bion, un assassin puissant, adroit et entêté va également avoir un grand rôle. On le découvre dès le début, puisque le roman commence sur un meurtre. Ponctuellement, on va suivre l'avancée de Bion, ses nombreux crimes et son nouvel objectif : éradiquer la lignée des Medjaÿ. Évidemment, on se doute que sa route croisera tôt ou tard la route de Bayek et sa famille, mais la confrontation est plutôt bien menée…

J'ai mis du temps à m'attacher aux personnages néanmoins, j'ai fini par apprécier certains d'entre eux comme Aya et surtout Tuta, un garçon qui va rencontrer Bayek et qui va jouer un rôle capital dans sa destinée… La plume de l'auteur est toujours simple et facile à suivre. Comme dit plus haut, cela manquait parfois de descriptions… de plus, j'ai trouvé certains rebondissements prévisibles cependant, j'ai tout de même passé un bon moment. J'ai pris plaisir à découvrir le passé de chaque personnage. Ce n'est pas le meilleur roman de la firme toutefois, mon ressenti est un peu différent des autres, dans le sens où je n'ai pas encore joué au jeu et ne peux pas dire si je trouve les personnages fidèles ou non… Autant vous dire qu'à présent, je n'ai qu'une hâte : acquérir et découvrir bientôt le jeu… Mais ça, c'est une autre histoire !
Commenter  J’apprécie          120
J'aime beaucoup les romans de la licence Assassin's creed. Ce dernier opus, lu avant certains autres pour un item du challenge Harry Potter de facebook, ne déroge pas à la règle. Bien que l'histoire soit relativement répétitive puisqu'on assiste encore à la formation d'un jeune assassin, j'ai quand même bien apprécié.

De ce que j'ai compris il se passe avant le jeu, c'est donc toute la formation avec un père mystérieux, de Bayek et Aya, sa compagne. Ce père qui disparaît dès le début du livre, et que nos deux compères retrouvent après quelques aventures avec des Nubiens attachants, Khensa et sa bande, et le jeune Tuta, très bon personnage secondaire. On assiste aussi aux débuts très difficiles de la confrérie des assassins, les Medjaÿs, face à un Ordre bien plus puissant niveau moyens à ce moment-là.
Bion, méchant qu'on adore détester (mais moins que Raya, la tête pensante de tout le binze...) machine à tuer, est aussi un personnage très intéressant, dans sa sociopathie totalement assumée.

Enfin, début des assassins, c'est un bien grand mot parce qu'on comprend quand même que les Medjaÿs se déclinent en "lignées" et qu'elles viennent d'aussi loin que l'être humain lui-même...

C'est écrit dans un style simple et direct, sans fioritures, droit au but. Cela se laisse lire sans difficulté, sans accroc, et c'est avec surprise que je suis arrivée à la fin, en me disant "déjà ?" !

Bref, c'était bien cool comme lecture.

Commenter  J’apprécie          180
Assassin's Creed est ma saga de jeux vidéos favorites, in détrônée jusqu'alors tellement elle a une place toute particulière dans mon coeur! Je suis fan des romans adaptés des différents jeux de la licence et ce qui est bien, c'est qu'ils peuvent se lire indépendamment, qu'ils sont soit des adaptations fidèles aux jeux, soit sont des histoires complétement inédites. Et on peut les lire dans n'importe quel ordre. J'ai d'ailleurs lu le tome 9 (Origins, le serment du désert) avant le tome 8 (Syndicate, Underworld). Il m'en reste donc deux de la licence officielle à lire (Underworld et Odyssey).

Les événements du Serment du désert se passent avant ceux connus dans le jeu vidéo Assassin's Creed Origins, donc bien avant la naissance de Khemou, fils du couple d'Assassins. Nous découvrons ainsi les origines de Bayek à Siwa, son héritage de Medjaÿ, sa relation avec Aya, son premier voyage hors de Siwa sur les traces de son père, ses rapports avec son père, ses premières erreurs, les premiers agissements de l'Ordre des Anciens (les premiers "Templiers"), la lutte entre les Medjaÿs et les membres de l'Ordre.

J'ai aimé retrouver ici des personnages rencontrés au cours du jeu. A chaque fois, je tiltais en me disant que je connaissais ce personnage, que ce nom me disait quelque chose. On retrouve par exemple Hepzefah le meilleur ami de Bayek, Rabiah la femme-médecine de Siwa, Khensa qui sera elle aussi une future Assassin, Senefer ancien ami/rival de Bayek. J'ai aimé le voyage en Égypte même si j'aurais voulu plus, plus de descriptions pour être vraiment dépaysée comme je le suis à chaque fois que je joue au jeu. On voyage en compagnie des personnages de Siwa, en passant par Thèbes et Karnak, à travers le désert égyptien.

C'est écrit à la première personne donc c'était parfait puisque c'est ce que je préfère dans les romans, pour être au plus proche du personnage principal, dans sa tête. C'était fluide et bien écrit. J'ai apprécié le fait qu'on ait différents points de vue et pas que celui de Bayek. Certains chapitres étaient consacrés à Aya, à Sabu le père Medjaÿ de Bayek, à Bion et Raia des membres de l'Ordre des Anciens. Trois points de vue différents: un protecteur, deux apprentis protecteurs, deux ennemis de l'Ancien Monde. C'est judicieux car ça nous permet bien de comprendre tous les enjeux, de faire le lien entre les personnages et de mieux les cerner.

Assassin's Creed Origins n'est pas un tome indispensable. C'est une histoire bonus pour tous les fans du jeu pour encore mieux comprendre les origines de Bayek et Aya et de découvrir ce qu'implique d'être un Medjaÿ!
Commenter  J’apprécie          62
L'Ordre, une société dont les membres sont désireux de voir naître une Égypte moderne, envoie un tueur éradiquer les derniers Medjaÿ les protecteurs et garants d'une Égypte traditionaliste.
Alors que son père part précipitamment, après la visite d'un messager, Bayek, encore en formation sous la férule de son père protecteur de l'oasis de Siwa, part sur ses traces bientôt rejoint par son amie Aya.
Dans ce roman nous assistons à une course de vitesse entre les deux partis.

Au vu de la quatrième de couverture ce tome doit permettre de comprendre les origines de la confrérie des assassins mais aucun indice ne le permet pour le lecteur qui ne pratique pas le jeu vidéo.

Même si l'on peut se faire une idée de l'Égypte de l'époque, l'univers est peu développé, les descriptions étant sporadiques l'on a beaucoup de mal à se représenter les lieux traversés par les différents protagonistes.

Les chapitres alternent entre Bayek et les siens, Bion le tueur et Raia le commanditaire ce qui permet au lecteur de bien appréhender les enjeux et de mieux cerner les idéologies des personnages. Toutefois le récit à l'instar du postulat de départ s'avère plutôt simple.

Les personnages sont intéressants à suivre mais ils auraient mérités d'être plus explorés en profondeur.

La plume de l'auteur est fluide et facile à suivre, avec un style simple, avec de l'action et de nombreux dialogues donc la dynamique de lecture est très bonne.

Avec des rebondissements prévisibles, et un dénouement qui arrive un peu tôt, cet opus de licence se révèle un ton en-dessous de la Croisade Secrète à l'instar de l'opus Renaissance.

Lien : http://imaginaire-chronique...
Commenter  J’apprécie          40

Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Elle comprendrait. Nous attendions l'un et l'autre : moi que mon destin commence, elle d'être rappelée à Alexandrie pour étudier auprès de ses parents. Elle saurait que je ne faisais que suivre ma voie. Quant à partir sans la prévenir... c'était pour me préserver. L'affronter m'était tout simplement impossible.
- Pardonne-moi, murmurai-je à la nuit.
Commenter  J’apprécie          70
"Être Medjaÿ dépasse notre simple personne. Il est question d’intérêt général; de voir plus loin qu'aujourd'hui, demain, la semaine ou même le mois prochain. De s'interroger sur ce qui se produira dans dix ans, dans cinquante ans. Être Medjaÿ, c'est un art de vivre. C'est une façon d'être, de proclamer qu'on rejette les valeurs qu'une société qu'on ne supporte plus nous a imposées de force. C'est une meilleure façon de ne faire qu'un avec la planète et ses occupants. C'est accepter de tout donner, de tout sacrifier en cas de nécessité."
Commenter  J’apprécie          40
- Il y aura des meurtres, d’autres meurtres. Un jour, tu seras aussi fatigué que je le suis maintenant. Un jour, tu seras aussi dégoûté de ton propre reflet.
- La différence, c’est que tu tues pour tuer, lui répondis-je. Je veux aider à construire une meilleure Égypte.
Commenter  J’apprécie          70
- Est-ce à cela que se résume la voie du Medjaÿ alors ? à tuer ? C'est ça, le pré-requis pour intégrer vos rangs ?
Elle s'était faite acerbe sans rien céder à la colère : c'était une vrai question, sincère, sans sous-entendu.
- Non, riposta Khensa d'un ton sans réplique, bien que je la sente attentive aux propos d'Aya. Simplement, quand un Medjaÿ n'a pas d'autre choix que de tuer, il doit être capable de s'exécuter sans tressaillir, sans la moindre hésitation et convaincu du bien fondé de son action. T'en sens-tu capable, Bayek ? (Elle s'approcha de moi et me posa une main sur le torse.) As-tu en toi la force de tuer sans frémir ?
Commenter  J’apprécie          20
Trouve ton point fort et fais-en bon usage. Laisse planer le doute chez tes amis comme chez tes ennemis, car la loyauté est chose volage.
(L'Ancien)
Commenter  J’apprécie          80

Videos de Oliver Bowden (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Oliver Bowden
Découvrez le premier extrait de Assassin's Creed Renaissance de Oliver Bowden en livre audio chez Hardigan.
Et n'oubliez pas, vous pouvez télécharger GRATUITEMENT votre premier livre audio sur audible.fr ! ? http://bit.ly/2gVryr7
Sortie en NOVEMBRE 2016 !
--------------------------------------------------------- ? de quoi ça parle : ?
"Je me vengerai de ceux qui ont trahi ma famille. Ezio est ma nouvelle identité. Assassin est ma destinée."
Trahi par les familles dirigeantes d'Italie, un jeune homme se lance dans une épique quête de vengeance. Afin d'éliminer la corruption et de rétablir l'honneur des siens, il deviendra un assassin. Il fera appel à la sagesse de grands esprits comme Léonard de Vinci ou Nicolas Machiavel, car il sait que sa survie dépend des dons qu'il doit développer. Aux yeux de ses alliés, il représente le changement car il combat pour la liberté et la justice. Mais ses ennemis le considèrent comme la pire des menaces car il a voué son existence à la destruction des tyrans qui oppriment le peuple d'Italie. Ainsi commence une histoire de pouvoir, de vengeance et de conspiration. La vérité s'écrit dans le sang.
D'après le jeu vidéo à succès d'Ubisoft.
---------------------------------------------------------
Pour retrouver tous nos ouvrages chez Audible c'est par là : ? http://bit.ly/AudibleHardigan
---------------------------------------------------------
Passez nous dire bonjour sur Facebook : http://facebook.com/playhardigan Suivez nous sur Twitter : http://twitter.com/playhardigan Rejoignez le cercle sur Google+ : http://google.com/+HardiganFrance
---------------------------------------------------------
Les musiques utilisées, le contenu des livres audio est copyright Hardigan et nécessité une autorisation pour diffusion. Hardigan est une marque protégée.
+ Lire la suite
autres livres classés : fantasyVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (157) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2487 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}