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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Toujours un gros kif avec ces lectures, il n'y a pas à tortiller.
Remettons un peu les choses dans l'ordre. Ce tome-ci est numéroté 3 dans la série de livres, mais reprend en fait l'histoire du tout premier assassin's creed...

Si le début est vraiment très linéaire et assez ennuyeux, les choses deviennent plus intéressantes dès qu'Altaïr croise Maria, qui ne manque pas de caractère. C'est sympathique d'avoir fait un Assassin amoureux. J'ai d'ailleurs commencé le jeu. Bon il est moins cool que le II, c'est clair. Je ne sais pas si j'irai au bout, du coup, à suivre... Je suis encore en train de batailler dans le jeu n° II, en armure d'Altaïr et avec son épée aussi, qu'est ce que je suis beau ! Mdrrrrr !

Juste je trouve qu'Altaïr est plutôt naïf pour un Assassin, et ce jusqu'à la fin. Il dit qu'il ne fait confiance à personne mais dans les faits, ce n'est pas vrai... le personnage est bien moins cohérent qu'Ezio Auditore, et je pense que c'est là une des raisons qui ont fait que le jeu a beaucoup moins marqué.
La seconde raison c'est que l'histoire est un peu trop répétitive (et donc le jeu aussi). 9 assassinats pour se racheter, deux mêmes trames narratives au début et à la fin, c'est vraiment moins bon niveau scénario que les Assassin's creed II et Brotherhood.

L'avantage par contre c'est que ça m'a permis de mieux comprendre la genèse de l'aventure d'Ezio. Bon, le curieux de l'aventure c'est qu'il en manque un bout entre Constantinople et Rome, puisque les reliques sont, à la fin de "la croisade secrète", cachées un peu partout dans Constantinople... Enfin bref, faut pas trop se poser de questions... Arfeu !
L'autre avantage c'est que ça fait bien réviser L Histoire, je trouve ça génial de ce point de vue, j'adore ça ! J'ai déjà vu les croisades du point de vue des cathares et des templiers avec l'excellentissime série "Damné" de Gagnon récemment, contemporaine de la période de cette croisade en "terre sainte", j'étais un peu plus éclairée sur cette période que sur celle des aventures d'Ezio...

Bref, malgré les défauts du jeu (responsables de ceux du bouquin), je me suis bien régalé une fois de plus !
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Revivre la 3ème croisade sous son penchant le plus secret, tel est le défi de ce premier roman de la franchise Assassin's Creed ! Grâce à cette adaptation du célèbre jeu vidéo éponyme (le premier opus ici) dont on revit la trame uniquement médiévale (exit donc Desmond Miles et les épisodes du récit se déroulant en 2012), Oliver Bowden réussit à mettre en scène la trame complexe de l'histoire millénaire qui senjoue entre Assassins et Templiers. Comme dans le jeu, nombre de détails fourmillent devant nos yeux ébahis : la vivacité des mots, des paysages grandioses, la vie quotidienne des rues proche-orientales. Toutefois, ce roman, ce n'est pas simplement revivre la jeu vidéo ; de nombreuses données instructives, anecdotes croustillantes, réflexions captivantes viennent enrichir le tableau. Quant à l'intrigue en elle-même, en plus de préciser ce que l'on sait déjà (les deux premiers tiers du livre), on voit l'univers s'étendre en développant les notions de Credo, de Codex, etc. de plus, la mise en abîme se fait plurielle et astucieuse, notamment par l'introduction de deux nouveaux personnages dans la saga des Assassins, issus de personnages historiques reconnus (famille Polo, père et oncle de Marco), marque de fabrique de la franchise Assassin's Creed. Tout cela faisant magnifiquement le lien entre les deux premiers jeux Assassin's Creed, allant même jusqu'à donner des indices sur le dernier en date, Assassin's Creed Revelations. Bref, pour un "simple roman", nous avons là une mine d'informations !
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Du marketing ? Cela ne me dérange pas... Si c'est pour me faire revivre certains instants du jeu et m'apporter des informations supplémentaires, alors je me jette dessus avec grand plaisir ! Ma foi, c'est le cas avec ce troisième roman qui est l'adaptation du premier Assassin's Creed avec Altaïr. Tout en restant fidèle au scénario, l'auteur a su retracer l'ambiance de la firme. Ahlala... Replonger au coeur de Masyaf, de Damas, d'Acre et de Jérusalem fut un régal... J'avais vraiment la sensation de me retrouver dans le jeu, arpentant ces cités où les sarrasins et les croisés se battent. Quel bonheur de retrouver Altaïr et ses questionnements sur son credo, sur l'avenir ou sur la guerre qui oppose les Assassins aux Templiers. Ses réflexions étaient intéressantes et assez bien développées. On sent qu'Altaïr est préoccupé par ce qui l'entoure. Il doute de sa confrérie et de lui-même. de plus, il sera réellement touché lorsque ses convictions seront remises en cause... Contrairement à d'autres protagonistes de la saga, il est moins égoïste (et sans doute plus utopiste), ses pensées sont davantage tournées vers le peuple et vers le futur.

J'ai été ravie de découvrir la jeunesse du héros qui, contrairement au reste du récit, est narré par Niccolo et Mattéo (la famille du célèbre Marco Polo). C'était une découverte intéressante. Par ailleurs, les trois quarts du livre retracent fidèlement le jeu, cependant l'histoire ne s'arrête pas après la trahison d'al Mualim. En effet, dans la dernière partie, notre jeune héros va rencontrer Maria. Je ne sais pas si c'est de l'invention ou si cela retrace un seconde jeu comme "Altaïr's Chronicles" mais, quoi qu'il en soit, ce fut une découverte très plaisante. Leur rencontre et leur relation m'a grandement plu. J'étais surtout satisfaite de ne pas tout connaître du récit.

La plume de l'auteur m'a séduite : les scènes de combat sont prenantes et dynamiques. Comme dans le jeu, les batailles et les rebondissements s'enchaînent. Certes, certains passages sont répétitifs, cependant c'était aussi le cas dans le jeu lorsque l'on est sans cesse envoyé dans les cités pour faire la même chose : espionner/s'informer, tuer un templier puis faire son rapport de mission afin d'espérer retrouver son rang. Honnêtement, cela reste fidèle au jeu car j'avais ressenti cette impression de répétition, mais qu'importe puisque le reste me plaisait... Par contre, peut-être aurait-il fallu quelques descriptions supplémentaires ? Même si l'on imagine aisément les places du marché bondées par la foule, j'ai parfois ressenti un manque "visuel" que j'ai comblé en allant rallumer mon ordinateur/ma console. Malgré cela, j'ai trouvé la lecture simple, fluide et bourrée d'action. Cela se lit bien et c'est ce que je recherchais. J'ai également été ravie de cette dernière partie qui, à mes yeux, offre un "plus" par rapport à une simple adaptation. Si vous avez pris plaisir à jouer à AC, que vous aimez la fiction dans L Histoire, alors ce roman devrait vous plaire. E. C.
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Dans ce volume de la saga Assassin's Creed, nous suivrons l'assassin Altaïr, l'un des assassins les plus connues. A travers le récit que Niccolo fait à son frère Maffeo, nous allons apprendre comment Altaïr a perdu son rend, puis de quelle manière il l'a retrouvé. Nous allons le suivre entre Masyaf, Damas, Jérusalem et Acre en pleine croisade, les sarrasins et les croisés se battant pour obtenir le contrôle des citées... mais pas seulement !

Les deux premières parties de tome sont très fidèles au jeu de la même saga pour ceux qui connaissent. Pour ceux qui ne connaîtrait pas, vous ne serez absolument pas perdu, vous aurez même le plaisir d'avoir le suspens de savoir comment Altaïr va se dépêtrer de toutes les situations dans lequel il se trouve. Je n'ai pas joué au jeu, mais j'ai suivi assidument l'écran quand mon chéri jouait, donc je connaissais l'histoire. J'ai pris beaucoup de plaisir à la redécouvrir en récit. Je trouve les scènes de combat très bien écrites et l'action est présent tout le long des pages, pas de point mort, on est happé par les combats d'Altaïr.

Le plus du livre par rapport au jeu et la troisième et dernière partie du livre. On retrouve Altaïr après l'épisode al Mualim à Chypre et découvrir un personnage qui a son importance dans l'histoire de l'Assassin : Maria. J'ai été ravie d'apprendre la façon dont ses deux personnages se sont rencontrés... Puis on retrouve Maria et Altaïr quand ils ont tous les deux soixante dix-ans, chose qu'on voit dans le jeu mais qui est plus approfondi ici je trouve.

J'ai vraiment beaucoup aimé lire ce livre, des scènes de combats bien écrits, pour ma part je les aie trouvées réaliste, et les actions s'enchaînent bien. Je trouve qu'il apporte un plus au jeu et qu'il peut permettre de faire découvrir cette superbe saga à ceux qui joue pas.
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La croisade secrète est le troisième roman tiré de la célèbre franchise de jeu vidéo Assassin's Creed. Alors qu'Ezio Auditore et la Renaissance italienne étaient au centre des deux premiers tomes, on suit cette fois-ci le Maître Assassin Altaïr à l'époque des croisades. D'abord déchu de son titre qu'il doit reconquérir, il va peu à peu devenir une légende au sein même de son ordre, et la terreur de ses ennemis.

Tout d'abord, sachez qu'il n'est absolument pas nécessaire d'avoir lu les deux premiers livres (ni même d'avoir joué aux jeux) pour suivre cette histoire, puisqu'elle met en scène un nouveau protagoniste dans un passé plus lointain, indépendamment du reste (hormis une brève référence dans les dernières pages, mais rien qui nuit à la compréhension de l'oeuvre).

Le début m'a quelque peu laissée perplexe. N'ayant pas été séduite par Assassin's Creed : Renaissance, j'ai retrouvé dans les premiers chapitres ce que je reprochais à ce tome. Ils sont très répétitifs, car trop fidèles au concept du jeu. Altaïr reçoit l'ordre de tuer quelqu'un, il se renseigne sur son compte, reçoit une plume et passe à l'action… Et ainsi de suite !

Il faut néanmoins s'accrocher, car une fois cette série d'assassinats destinée à lui permettre de regagner son titre de Maître, l'histoire devient beaucoup plus intéressante. Comme Niccolò Polo en est le narrateur, elle est moins linéaire que celle d'Ezio dans Renaissance et le passage du temps est mieux perceptible (ce que je reprochais au premier tome).

Les personnages sont eux-mêmes assez intéressants, et pas aussi manichéens qu'on pourrait le redouter de prime abord, puisqu'il y a des changements de camp, des coups bas et des trahisons qui font qu'on ne s'ennuie pas une fois la très longue introduction passée. Si Altaïr peut d'abord paraître arrogant et inconscient, il devient plus appréciable à mesure qu'il gagne en sagesse. Les personnages plus secondaires, comme Maria ou Malik, ne sont pas en reste non plus.

On pourrait tout de même reprocher au roman deux longues ellipses : celle pendant laquelle Altaïr fonde une famille, qu'on ne voit finalement presque pas, et surtout ses deux décennies d'errance, après que l'ordre des Assassins eut connu de grands bouleversements à sa tête.

Dans l'ensemble, ce livre n'en demeure cependant pas moins sympathique, et surtout bien plus plaisant que Renaissance. Je le recommande, ne serait-ce que pour ceux qui voudraient découvrir un peu l'univers d'Assassin's Creed, ou pour les joueurs qui souhaiteraient prolonger l'aventure.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Avec cette novélisation débute le deuxième cycle à s'inscrire dans la série des romans dédiés au jeu Assassin''s Creed. Troisième volet de la série, l'histoire se focalise ici sur Altaïr, héros du premier épisode de la série du jeu vidéo, un Maître Assassin de la secte des Nizârites, secte qui a vu naître les premiers assassins durant la période des croisades. le nom des membres dérivant du haschisch en arabe que fumaient ses membres.

L'histoire, divisée en quatre parties, s'étale sur plusieurs dizaines d'années, allant de la petite enfance du héros jusqu'à la proche fin de sa vie. le récit nous est conté par un narrateur extérieur, en l'occurrence par Niccolo à son frère Mattéo père du célèbre Marco Polo.


Troisième croisade oblige, après la Renaissance l'auteur nous plonge dans un univers médiéviste oriental puisque l'on se retrouve en Terre Sainte. En compagnie du protagoniste principal le lecteur découvre les rues de Jérusalem, Damas, Acre et dans une moindre mesure Masyaf et Alamut. Une carte de ces villes aurait été appréciable et aurait permis au lecteur de mieux s'immerger dans le récit, car les descriptions de ces villes ne sont pas assez poussées et on a un peu de mal à s'y situer. On regrette également que l'auteur n'ait pas plus insister sur Alamut, l'historique de la secte et du Vieux sur la montagne , son créateur.

Outre le Vieux de la montagne et la famille Polo, on retrouve dans ce récit des personnages historiques de l'époque Richard Coeur de Lion, Robert IV de Sablé onzième maître de l'Ordre du Temple, Garnier de Naplouse dixième maître de l'Ordre des Hospitaliers, Saladin...

Comme dans Renaissance le récit est surtout axé sur l'action qui a tendance a être trop répétitive par moments prenant le pas sur les lieux où se situent les événements et même sur les personnages que l'on aurait aimé plus caractérisés, avec une psychologie plus fouillée. le synopsis est identique au premier tome, la cible désignée l'assassin assure une prise de contact, exécute sa cible et effectue son rapport de Mission. Un schéma qui colle de très prêt au jeu.

Si comme dans le premier tome l'auteur s'attache à broder sa propre mythologie et à nous gratifier d'un récit épique, l'action se fait au détriment de l'ambiance générale. En effet si pour certains lecteurs la période historique et le lieux dans lesquels se déroulent le récit sont connus, il n'en est pas de même pour tout le monde et ces points ne sont malheureusement pas assez décrits. Les personnages, bien qu'un peu trop calqué jeu de rôle s'avérant attachants, ou pas, mais ils ne laissent pas indifférents.

Le style d'écriture reste, comme dans Renaissance fluide, simple, sans encombrements d'éléments non essentiels au récit épique bourré quand à lui de rebondissements.

Au final cet opus, à l'ambiance orientale, se révèle plaisant à lire malgré un arrière plan pas assez fouillé. Une bonne novélisation plus agréable à lire que la première consacrée à la vie d'Ezio avec un dernier quart de récit moins saccadé.
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Avant toute chose, je tiens à préciser que j'ai lu ce tome 3 et pas encore les autres volumes pour la simple et bonne raison que ce roman relate des faits du jeu Assassin's Creed premier du nom. J'ai terminé ce jeu il y a quelques mois et je souhaitais replonger dans cette belle histoire du XIIIe siècle : celle du merveilleux et courageux Altaïr.
En lisant ce livre, j'avais les images du premier jeu en tête et j'ai donc adoré cette novélisation superbement réussite ! Je viens de finir le bouquin et franchement j'ai presque eu une petite larme aux yeux quand je le refermé, avec un petit pincement au coeur.
Je met la note de 4/5 car je ne suis pas vraiment un FAN de la saga AC, en même temps, je suis encore novice (je n'ai joué qu'au premier jeu) mais après avoir fermé ce livre, je compte bien entendu continuer cette saga en jouant au 2ème titre sur PS3 avec grand plaisir. Et ensuite... me refaire l'histoire du II à travers le roman " Renaissance "
Bref : Cette série ma conquis et j'ai hâte de voir la suite.
Oliver Bowden est un auteur vraiment talentueux.
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