Un magnifique dernier tome !!
Comme toujours, une très belle histoire mais celle-ci se demarque encore plus que les autres ! Il sort des codes, ne vous attendez pas aux romances habituelles ce n'est pas du tout ça !
Dans ce tome on parle asexualité, libertinage et aromantisme, c'est si peu abordé dans la littérature mais aussi de manière générale, qu'il est important de le mettre en avant ! ♡
On découvre les deux personnages Amelia et Harry dans le tome précédent étant donné que Adel est le frère d'Amelia. On entrevoit un peu leur personnalité et ils m'avaient grandement intriguée.
Amélia et Harry sont aussi différents que similaires ils se complètent bref ils ont une très belle amitié. Car oui, ils ont acheté une maison ensemble, ils font énormément de choses ensemble, mais ils sont meilleurs amis. Beaucoup ne comprennent pas et c'est bien dommage car c'est LEUR relation et tant qu'elle est consentie, tant qu'ils sont heureux, personne ne devrait juger.
Amélia est un personnage plein de bienveillance, qui véhicule énormément de positivité ! Elle tient énormément à ses proches mais surtout son frère et Harry pour qui elle a une totale dévotion.
Harry est si drôle, si amusant, il assume totalement qui il est. J'ai aimé son personnage pour le fait qu'il soit "hors normes" celles que tout le monde nous inculque.
L'un comme l'autre sont adorables et touchants. On voit qu'ils sont bien importants et ça a son importance !
Énormément d'attachement pour cette série qui montre l'amour sous toutes ses formes : amical, familial ou encore romantique. Et, à choisir, je pense que c'est mon tome favori car il sort de ce qu'on peut lire habituellement !
En bref, une très belle histoire qui m'a énormément plu et surtout embarquée dès les premières pages ! Et qui montre que l'amour a une multitude de formes.
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Liberté.
Voilà ce que m'inspire ce roman. Pas juste la liberté de penser et vivre comme on veut. Non non. La liberté d'exister, d'aimer, de croire, de réfléchir, de construire.. Toutes les libertés.
Cette tranche de vie, pour moi, est celui où je me suis le plus identifier. Quand j'étais jeune, je voulais absolument savoir qui j'étais, comme d'autre, je suppose. Mais savoir qui j'étais impliqué de ressembler à quelqu'un, être dans un groupe. Un groupe qui se qualifie. J'étais à la recherche d'une étiquette. D'une appartenance.
Et la vie à continuer, j'ai évolué. Je n'ai pas osé changer puisque j'avais mon étiquette durement trouvée. Un affront que ce changement d'étiquette !
Alors là que de réflexions, de remise en question, de bouleversement. de solitude.
Et finalement, avais je besoin d'une étiquette ou de vivre ? J'ai fait le choix de ne plus y penser. de vivre sans chercher à me qualifier. Juste d'être.
Et je peux confirmer que la société ne laisse pas faire facilement. Une fois qu'on revendique une étiquette, il faut la tenir. Et tant qu'on n'a pas d'étiquette, on est mis de côté. Puisque sans "classification" qui peut bien nous comprendre ?
Attention, certaines personnes ont besoin de repères et quand cela déterminé leur bonheur alors oui cette recherche est bénéfique. Mais si ça n'est pas le cas ? Et bien la société, sans forcément le vouloir, nous exclut et peut nous détruire. C'est un besoin humain que de communiquer. Et les mots sont indispensables. Mais quand ils ne suffisent pas ou qu'on ne veut pas les utiliser alors laissons faire. Si chacun veut être heureux, il faut se respecter et respecter les autres. Laisser les autres s'exprimer ou non est une façon de le faire.
Soyez libre à votre façon.
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