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3,8

sur 987 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Les nombreuses critiques très positives voire dithyrambiques m'ont donné l'envie de lire ce livre mais hélas, il n'a pas fonctionné pour moi.
Je reconnais que l'histoire est originale même si elle m'a fait beaucoup pensé au livre de Jean Hengland "Dans la forêt".
Le résumé de l'histoire : Tracy Petrikoff, 17 ans, habite près de la forêt avec ses parents. Elle est très douée pour la chasse et les pièges. Elle est comme en dit le titre "Sauvage". Elle s'est fait virée de l'école et vit avec son frère et son père, sa mère est décédée brutalement. Elle a une certaine violence en elle qu'elle assouvie en courant très vite et en chassant d'une manière particulière.
Malheureusement je l'ai abandonné, car quand "je me force à finir" ce n'est pas bon signe. J'ai quand même été assez loin dans le roman (j'en ai lu les trois-quarts), à certains moments j'ai éprouvé beaucoup d'intérêt et à d'autres moments (plus nombreux) je trouvais qu'il y avait beaucoup de longueurs et de répétitions.

Ce qui m'a plu : l'histoire est originale avec un mélange de roman d'aventures, une pointe de fantastique (même si je ne suis pas fan).

Ce qui m'a moins plu : L'écriture n'est pas très élaborée ce qui donne une certaine lourdeur au récit, beaucoup de longueurs et de répétitions qui m'ont fait ressentir cette pénibilité de lecture. La cruauté envers certains animaux m'ont pesé également.
Voilà mon ressenti sur cette lecture pas comme les autres.

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Sauvage, Tracy l'est assurément. Cette jeune fille de 17 ans est passionnée par les courses de chiens de traîneaux et les forêts enneigées autour de sa maison en Alaska. Déscolarisée très tôt en raison de comportements violents, elle passe l'essentiel de son temps à s'occuper des tâches domestiques et à s'échapper dès qu'elle le peut, dans les bois environnants. Car Tracy a un secret. Elle aime goûter le sang des animaux. Mais pas des humains. Ca non jamais, sa mère aujourd'hui décédée lui a fait promettre qu'elle ne goûterait jamais le sang d'un humain. A 17 ans Tracy a su conserver sa promesse. Jusqu'à ce que Jesse, un garçon de son âge en quête de petits boulots vienne frapper à la porte de leur maison.
Un roman sauvage on peut le dire. le récit est très rythmé, on ne s'ennuie pas.
La touche de fantastique est subtile et sert uniquement l'histoire. J'ai beaucoup apprécié la description des conditions de vie de ce peuple qui habite l'Alaska. le climat est rude. La terre et les hommes aussi.
C'est un peu une existence en mode survie qui marque le quotidien des habitants, surtout lorsque l'hiver est là.
Je ne suis donc pas étonnée de leur passion pour les courses de traîneaux qui sont un bon moyen d'échapper à leur dure réalité. Dans le cas de Tracy, cela tourne à l'obsession et c'est très bien rendu par l'auteure.
Celle-ci nous dépeint les règles du jeu et de la meute de chiens. On sent presque le vent glacial fouetter notre visage lorsque les chiens s'élancent sur la piste.
La psychologie des personnages est très fouillée. le récit offre des rebondissements intéressants.
Un bon moment de lecture.
Un roman à mi-chemin entre le fantastique et le nature-writing.
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Tracy Petrikoff, la narratrice de Sauvage, est une jeune fille de dix-sept ans, passionnée par la chasse et les courses de traîneaux à chiens, cette dernière activité se trouvant cependant empêchée suite au décès de sa mère, du fait des difficultés financières avec lesquelles doit composer la famille. Rebelle, impétueuse et quelque peu immature, elle ressent fortement l'appel de la forêt, passant la porte de la maison dès qu'elle le peut pour aller y courir et relever ses pièges, lorsqu'elle n'est pas punie par son père qui tente de lui imposer un cadre. Elle porte en elle une sauvagerie, un don qu'elle partageait avec sa mère, auquel elle ne peut véritablement laisser libre cours ailleurs que dans les bois. Mais on peut y faire toutes sortes de rencontres et lorsqu'un homme soudainement la percute, alors qu'elle est distraite, c'est tout le cours de son existence qui va s'en trouver dramatiquement changé… C'est avec un sentiment partagé que je ressors de cette lecture qui explore le deuil, la différence et l'identité: autant j'ai apprécié le style de narration et la façon naturelle et fluide avec laquelle l'auteure arrive à fusionner les genres - roman d'apprentissage, nature writing, thriller et fantastique -, autant j'ai trouvé qu'il y avait des longueurs, au point d'avoir failli l'abandonner à plusieurs reprises. Au-delà de l'ennui que j'ai par moment ressenti, c'est la curiosité de savoir comment tout cela allait se terminer qui m'a motivée à le poursuivre et je ne l'ai pas regretté, la fin étant poétique et à l'image du roman qui porte en lui toute la tristesse du deuil. Comment vivre en société avec ses différences, tout en restant fidèle à sa nature profonde, voilà toute la question…
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Tombée dessus par hasard à la médiathèque, j'ai d'abord été attirée par sa couverture que je trouve magnifique. Puis une dame, me voyant me tâter, me dit l'avoir emprunté et lu récemment, me l'a fortement conseillé, ne serait-ce que pour découvrir l'Alaska et ses paysages. Elle me prévient quand même qu'il faut avoir l'estomac bien accroché (mais ça, visiblement je l'ai, puisqu'encore aucun roman n'a réussi à me le retourner).

Je n'aime pas ce genre de mise en page : les dialogues ne sont pas différenciés du reste du texte, les mots s'enchaînent les uns à la suite des autres sans transition entre les souvenirs de Tracy et le présent et/ou entre les événements. Aucune structure, ça fait vraiment brouillon ou ébauche de texte. Difficile donc de "mettre le ton" dans la lecture et impossible pour moi de rentrer réellement dans l'histoire. le temps que je m'y habitue, j'en avais déjà lu les trois-quarts...

C'est bien dommage car les paysages ont pourtant l'air somptueux, et j'aurais aimé être totalement embarquée dans ce décor. L'histoire, bien qu'étrange, est originale, et il y a un petit côté fantastique et glauque qui n'est pas pour déplaire.

Mais voilà, je le trouve mal organisé et je suis donc déçue. C'est le même ressenti qu'avec "My absolute darling" de Gabriel Tallent ou "Ce qu'elles disent" de Miriam Toews : un goût d'inachevé dans la rédaction et ici, surtout, dans la mise en forme (car la plume de l'autrice est agréable), alors que l'histoire dans son contexte et son environnement avait tout pour me plaire.

L'autrice s'est quand même rattrapée à la fin qui est complètement inattendue, j'aime ce genre de surprise.

[Lu en février 2020]
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« Sauvage » me rappelle l'expérience de « Dans la forêt » : déception et légère incompréhension face à l'engouement suscité par le livre. « Dans la forêt » m'avait surtout mis en colère parce que son idéologie sous-jacente, l'homme est mauvais, la nature elle ne ment pas etc…choquait ma conviction que l'humain a la faculté de progresser et d'apprendre de ses erreurs. Reconnaissons que « Sauvage » est moins pessimiste que « Dans la forêt ». Peut-être parce que le recours au fantastique, procédé plus « ouvert » que la dystopie, laisse davantage d'espoir ?
Cependant, à la manière d'un Jack dans Shining, j'ai quelques difficultés à ne pas considérer que l'héroïne de Sauvage a avant tout « un pète au casque » sans envisager une cause surnaturelle à sa déviance. Je suis soulagé de vivre dans un pays où les services de PMI auraient sans doute permis la prise en charge des difficultés de Tracy. Son orientation vers un établissement compétent ou une thérapie appropriée, fut-elle chimique, auraient évité bien des désagréments à la communauté. le libéralisme américain qui limite les politiques sociales publiques, tout comme il encourage la possession d'armes, a donc de quoi nous faire réfléchir. Point à mettre au crédit du livre, « Sauvage » a donc conforté mon opinion positive sur le modèle français. Toute allusion à l'actualité récente n'est bien sûr que fortuite.
Je n'ai donc éprouvé ni empathie, ni rejet, ni émotion notable à l'encontre de cette héroïne riche comme rhésus : la lecture de la quatrième de couverture permettant de comprendre que l'hémoglobine a une importance fondamentale. Il est vrai que le contraste entre le rouge et le blanc permet une variation glamour de " Plus Beyle la vie".
« Sauvage » ne m'a pas mis en colère mais m'a plutôt frustré. Jamey Bradbury excelle dans les descriptions du Wilderness et du milieu des mushers. Son écriture est précise et agréable, et l'intrigue, hormis les digressions fantastiques, est parfaitement menée. Tous ces éléments permettent, malgré mes propos ironiques, d'atteindre la fin du roman sans trop de soupirs. Dans ce cadre géographique somptueux, la construction de l'identité sexuelle de Tracy, notamment ses relations avec l'attachant Jesse, tout comme le traumatisme du deuil de sa mère étaient deux problématiques suffisamment intéressantes pour ne pas l'alourdir de cette dimension Stephenkingienne inutile.
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Je ne sais toujours pas trop quoi penser de ce roman très étrange. L'intrigue est tendue, captivante, et les personnages sont uniques. D'un autre côté, certaines parties sont très sanglantes et nauséabondes. J'ai adoré une partie de la narration. Je détestais que ça n'ait pas de sens parfois. J'ai adoré certains personnages. J'ai détesté d'autres. Clairement un ovni dans son genre.
Sauvage de Jamey Bradbury m'a parlé avant même que je sache de quoi parlait le livre. Peut-être la couverture, petit être le titre, surement les deux. Cela ressemblait à un mélange de plusieurs genres différents, donc je ne savais vraiment pas dans quoi je m'embarquais. Appeler cela un thriller est un peu trompeur. Il y a des secrets et des mystères à découvrir, mais ce n'est pas dans le sens d'un thriller. Ce n'est pas de l'horreur non plus...pas du surnaturel...un peu de tout a vrai dire. C'est plus une expérience qu'une histoire, ce qui est à la fois un atout pour ce livre et un inconvénient.
le personnage principal, Tracy, est à l'aube de l'âge de 18 ans, mais aussi au milieu d'un vaste changement dans sa dynamique familiale et sa propre vie. Elle a été expulsée de l'école, sa mère est décédée il y a 2 ans ; son père a perdu sa motivation et son gagne-pain, bref, tout ne va pas bien pour elle.
le quotidien de la jeune fille sera bientôt bouleversé par un étrange événement. Elle nous délivrera petit à petit ses secrets, même s'il y aura toujours une partie de mystère autour d'elle.
Justement, je trouve que les personnages sont étonnamment compliqués et nuancés et pour une fois je n'aimais pas trop ça.
Je reconnais que je m'attendais à autre chose de la part de ce livre. J'aurais voulu que la nature soit encore plus présente, comme personnage à part entiere. Bref, je suis restée sur ma faim, un peu deçue, car j'attendais beaucoup de ce livre.

Si vous aimez les histoires de nature sauvage, les drames familiaux et les intrigues sinueuses, vous apprécierez cette lecture. Mais n'attendez rien, voyez-le comme une expérience littéraire.
D'un autre côté, je suis tellement intriguée que j'aimerais lire autre chose de cette autrice mais je n'ai pas connaissance d'un autre livre qu'elle aurait écrit...à suivre!
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Tracy Petrikoff vit au fin fond de l'Alaska avec son père Bill : un ancien musher et son jeune frère Scott. Sa mère qui éduquait les chiots de traineau s'est faite renverser une nuit par une auto.
Trace : petite soeur de " Turtle " ( Là ou chantent les écrevisses ) , de " Kya " ( My absolute darling" ) est une fille rebelle qui a "appris à lire la forêt avant de lire les livres ". Elle a été virée de l'école car elle a mordu un de ses camarades et pourtant sa maman lui a imposé 3 règles : 1/ne jamais perdre de vue la maison 2/ne jamais rentrer avec les mains sales mais surtout en 3/ ne jamais faire saigner un être humain..Mais elle adore courir dans la forêt, piéger les petits animaux, s'occuper des chiens de traineau de son père et, un jour : elle se fait attaquer par un homme et quand elle reprend connaissance : elle se rend compte que son couteau est taché de sang ! Puis elle découvre par hasard un sac rempli de billets de banque et d'un petit livre de Kleinhaus : elle décide de se servir de cet argent pour s'inscrire à la fameuse course de traineaux d' Iditarod ! Et, même si son père lui interdit de sortir la nuit dans la forêt, de courir avec les chiens : après les taches ménagères qu'il lui impose , elle sort avec eux en traineau, va relever ses pièges et boire le sang des petites victimes car elle en a besoin pour canaliser son énergie. " Il suffit de boire du sang et, Je suis un autre ". Entre temps un jeune homme : Jesse vient habiter un cabanon loué par son père et il va être embauché pour s'occuper des chiens, des niches, du bois. ...Elle est troublée car il connait Tom Hatch, celui qu'elle croit avoir tué mais, Jesse est un androgyne trouble, rusé, fureteur et menteur elle est cependant attirée par lui, par ses secrets et ses liens avec Tom..
Un roman initiatique inquiétant, un thriller teinté de fantastique avec un cadre sauvage et beau, avec une approche intéressante du milieu des mushers, des courses de traineaux dans l'immensité de l'Alaska, enfin un hymne à cette nature que défend Jamey Bradbury depuis 15 ans !
L.C thématique d'Avril 2022 : la nature dans tous ses états.
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"Mes dents n'étaient était pas assez tranchantes pour percer une peau de bête, mais la peau des humains, c'est moins épais."

Sauvage de Jamey Bradbury version livre audio lu par Karl-Line Heller . Titre original : The Wild inside.

Je me suis laissée séduire par la jolie couverture des éditions Gallmeister et reprise par les éditions Lizzie. le bandeau "Pensez Soeur Bronté et Stephen King" signé John Irving n'était pas non plus pour me déplaire.
Un roman ado en Alaska sur fond d'aurores boréales et de passion. Chic ! Chic ! Hé non !!! D'aurores boréales, il n'est point question... ou si peu... et pour la passion façon Heathcliff on repassera.
Sauvage est un récit inclassable et noir, une histoire qui réserve quelques surprises de taille en mélangeant les genres : roman psychologique, Thriller, nature writing, YA, Horreur, ?
Nous cheminons dans la neige et le sang à travers les yeux de Tracy, une jeune femme de 17 ans passionnée par la survie en forêt et le mushing ( le monde des courses en chien de traîneau ). Tracy a un pouvoir fantastique qui la coupe petit à petit du monde civilisé. Inutile de le divulgâcher ... mais ne vous attendez pas à un truc très glamour. Son rêve : participer à l'Iditarod , la plus célèbre des courses de chien de traîneau en Alaska.
J'ai eu parfois envie de décrocher à cause du rythme lent, et de ces blocs d' analyses psychologiques qui ralentissent l'issue de la course. Enfin parce que l'itinéraire de Tracy ne fut pas une seule fois celui que j'imaginais. ... Sauf à la toute fin.
Et puis l'espoir dans cette histoire se fait si rare... quelle déprime par moment. L'ambiance oppressante monte au fur et à mesure de la lecture . Les accents mélancoliques de la lectrice Karl-Line Heller n'arrangent rien à l'affaire. Mais je me suis sentie aussi tirée / tractée ? par le style de Jamey Bradbury. C'est un premier roman et le style est déjà tellement abouti. Tellement incroyable. Un mélange de lyrisme et d'épure. de précision et de je ne sais quoi. Bref la naissance d'une grande écrivaine.
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Tout d'abord, quelle couverture de roman, la paysage est magnifique.
Concernant le roman lui-même, on se jette à corps perdu dans cette nature enneigée, avec ces bois, ces pistes, ces pièges.
La première partie du roman est un peu longue, puis cela se dégèle !!
La chasse est en l'héroïne, elle ne peut vivre sans.
L'histoire de la mère avec sa fille est troublante, attachante, mystérieuse, voire inquiétante.
Les secrets déboulent au fur et à mesure.
On flirte avec le fantastique dans cet état de l'Alaska.
Petit bémol, parfois je ne savais plus qui était le narrateur, peut-être ce qui a rendu ma lecture un peu longue.
Néanmoins, j'ai adoré toutes les notions sur les musher : les courses, les chiens, l'attelage, tout ce qu'il y a à faire... J'ai même eu ma larme qui a coulé (plusieurs en fait !!) quand un des chiens quitte le monde terrestre...
Un bon premier roman prometteur pour un deuxième.

Lien : https://lacabanedemeslivres...
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Il semblerait que dans le roman américain d'aujourd'hui, le passage à l'âge adulte de la jeune adolescente soit devenu un sujet récurrent. Après Absolute darling, Dans la forêt, Lucy in the sky et d'autres dont j'ai oublié le titre, nous nous retrouvons ici dans les vallées enneigées de l'Alaska face à une personnalité complexe et troublante, jeune femme approchant les dix-huit ans, sauvageonne meneuse de chiens, buveuse de sang s'imprégnant des émotions et sensations quand elle "boit" ces êtres vivants, animaux où accidentellement humains. Attention, ce n'est pas un vampire, elle ne tue pas pour survivre, elle chasse, son instinct s'affute au fur et à mesure qu'elle boit, elle devient "nature". Dans sa quête, elle côtoie les chiens de traîneau, proximité quasi physiologique, pressent leurs réactions, redoutable fusion avec le monde animal.
Elle sur-réagit, en connexion permanente avec l'être qu'elle a aspiré. Personnage que l'on pourrait voir dans un roman de S.King mais dont le côté horrifique laisse place trop souvent à la fille sage, qui ne sait quoi faire de ce pouvoir étrange. L'auteure semble par moments faire marche arrière, retrouvant le cocon douillet d'un milieu qu'elle connaît bien, le monde des mushers, les grands espaces sauvages, avec ses règles, ses personnages archétypaux, l'inconnu en fuite, l'infirmière empathique et le père, embarrassé par cette fille dont il ne sait par quel bout la prendre. La mère, dont l'étrange mort donne quelques clés revient de temps à autre, apparition post-mortem, dialogues et questionnement restent en suspend, le lecteur se dit : mais encore...?
Cette valse-hésitation rythme l'histoire, comme un non-choix entre un énième roman de "Nature writing" et une variante plus fantastique de ce genre littéraire aux chemins aujourd'hui très empruntés.
C'est un premier roman, des portes se sont entr'ouvertes, à la romancière de les ouvrir complètement.
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