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Très moyen, voire faible.
Premier tome du sous-cycle : L'âge de Damon Ridenow de la phase l'empire terrien.
Chronologiquement, ce tome se situe entre la chaîne brisée et la maison des amazones (sous-cycle des amazones libres).

Andrew Carr, Terrien pur jus, a le coup de foudre pour une Ténébrane (terme que je préfère de loin à tous les Ténébrosiens et toutes les Ténébrosiennes (à chanter sur l'air de tous les acadiens...), terme utilisé dans cette traduction) qu'il n'a vue que grâce à son Laran latent. Il s'engage alors dans le service Cartographie et Exploration pour la retrouver. Mais cette charmante Callista, belle demoiselle en détresse, s'est faite enlever par les hommes-chats, dans la contrée des Ténèbres. Carr aidé de Damon Ridenow, le cousin seigneur Comyn des sept domaines, vont, à l'aide de leurs Laran combinés, sauver l'élue de son coeur et faire ménage à quatre avec la jumelle...

Je me moque, je me moque. Oui car en dehors du fait qu'il s'agit d'un épisode d'un cycle d'anthologie, ce court roman n'a rien d'intéressant et vaut surtout pour l'utilisation du Laran.
Les hommes-chats, dont je ne me souviens pas avoir eu à faire dans les épisodes précédents, sont à peine abordés si ce n'est pour faire les méchants.
La mièvrerie (Walktapus, pour le coups, tu en veux de la fantasy mièvre?) des amours est à son comble.
Les combats sont fades et enfin, on n'apprend rien sur la société de Ténébreuse.

Bref, espérons que la tour interdite, le tome suivant, sera plus avenant.
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Le vaisseau d'Andrew Carr, Terrien sans attaches, s'écrase dans les Heller, montagnes gelées et hostiles de Ténébreuse. Ses compagnons de voyage sont morts dans l'accident, il se retrouve seul dans une zone isolée traversée par les violentes tempêtes de neige. Pourtant, il revoit le spectre d'une inconnue, Callista, qui essaie de le guider.

L'inconnue, qu'au départ il croit irréelle, va le mener vers Ellimir Alton — la soeur jumelle de Callista — et leur cousin Damon Ridenow, Comyn qui ne cesse de douter de lui. Les deux Ténébrans sont surpris de découvrir un Terrien qui possède le laran, mais sont obligés de s'allier avec lui pour retrouver Callista, future gardienne d'une Tour, mais enlevée par des êtres mystérieux… qui s'avèrent être des hommes-chats.

Ce roman est l'un des rares qui mettent en avant une des espèces non-humaines de Ténébreuse. À titre personnel, j'ai peu d'appétence pour les aventures de SF avec des extraterrestres, surtout quand ceux-ci sont un brin caricaturaux. Ce sont les vrais « méchants sanguinaires » des histoires de Fantasy basiques. Malgré tout, le récit se laisse lire, car l'auteure sait tisser des liens complexes entre les personnages qui évoluent avec les événements, et le lecteur se demande ce qui arrive dans le surmonde. C'est l'occasion d'en apprendre davantage sur le laran, ce don si particulier et qui reste en partie non exploré dans certains romans du cycle.

Il est donc dommage que les relations amoureuses soient si simplistes voire mièvres dans ce roman. Je regrette aussi une fin un peu facile, même j'ai eu du plaisir à relire ce livre relativement court.
Lien : https://feygirl.home.blog/20..
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Je gardais un assez bon souvenir de ce tome, qui doit faire partie de ceux que j'ai le plus relus. Quinze ans plus tard, je suis forcée d'admettre que mes goûts de l'époque n'étaient pas forcément des plus raffinés...

Andrew Carr, un terrien, reçoit les appels télépathiques de la belle Callista, prisonnière dans un endroit inconnu. Alors que son avion s'écrase dans les Hellers, il rencontre Ellemir, la soeur jumelle de Callista, et leur cousin Damon Ridenow. Tous trois vont se mettre à la recherche de la jeune fille.

L'un des problèmes majeurs de ce tome, ce sont les hommes-chats, ennemis qui sortent complètement de nulle part. Il ne sont jamais cités dans les tomes précédents, et, si mes souvenirs sont bons, ils ne réapparaissent pas non plus dans les suivants. de plus, l'auteur ne se donne même pas la peine de nous expliquer leur histoire ou leurs motivations. Ils existent uniquement pour être méchants, mais n'ont aucune autre raison d'être.

L'autre problème vient de l'aspect romance, qui est au coeur de l'histoire. Je conçois tout à fait que dans ce monde, le laran permette d'établir rapidement des connexions très intimes avec les gens, mais là c'est quand même beaucoup trop rapide. Quand on voit la subtilité avec laquelle l'auteur amène les histoires d'amour lesbiennes dans la Trilogie des Amazones Libres, c'est un peu surprenant de voir deux personnes qui ne se connaissent pas tomber amoureux en deux pages, et préparer leur mariage au chapitre suivant ! le tout sans aucun obstacle majeur...

Heureusement, je trouve que les personnages aident à se sentir investis. J'aime beaucoup Damon notamment. le fait qu'il regrette de ne pas pouvoir faire un travail "de femme" est une sympathique inversion de l'histoire classique de la jeune fille qui veut faire un métier d'homme en dépit des coutumes.

Enfin, l'utilisation du laran dans ce tome est assez différente de ce qu'on a pu voir depuis le début de la saga. Même si l'épée enchantée du titre est somme toute assez anecdotique, c'est intéressant de voir le laran utilisé autrement que comme un simple moyen de communication.

Bien que ce roman ne soit définitivement pas le meilleur de la saga, j'ai quand même passé un agréable moment de lecture. C'est une histoire mignonne, mais si l'ado romantique que j'étais a pu se focaliser sur les histoires d'amour en occultant les grosses facilités scénaristiques, c'est effectivement beaucoup trop simpliste quand on est habitué à des romans plus complexes et travaillés.
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Marion Zimmer Bradley est surtout connue en France pour le cycle d'Avalon, d'inspiration arthurienne, avec les Dames du Lac notamment. Mais aux Etats-unis, elle s'est fait connaître par son cycle de Ténébreuse, dont l'Epée Enchantée est le 1er volume. L'originalité réside d'une part dans le mélange de science-fiction et de fantasy, d'autre part dans la personnalité atypique des héroïnes, au coeur de ses romans.
Dans l'Epée Enchantée, très centré sur les dialogues, plus que sur l'action pure, l'intrigue se met en place pour la suite du Cycle. La gardienne Callista, prisonnière des mystérieux hommes-chats sur la planète Ténébreuse, parvient à contacter un terrien, qu'elle sauve d'un accident, et qui va se porter à son secours. Au-delà des préjugés, les deux sociétés étrangères vont progressivement s'interpénétrer, et s'apprivoiser, au travers des personnages.
Malgré le côté baroque un peu original, du mélange SF-fantasy, cet univers ne m'a pas réellement passionné. M. Z. Bradley écrit bien, mais comparer le cycle de Ténébreuse à Dune ou au Seigneur des Anneaux me semble nettement exagéré. Lecture agréable, sans plus.
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Comme d'habitude, lorsque j'ouvre un roman du cycle de Ténébreuse, je ne peux le refermer avant la fin. Une soirée m'a suffit pour engloutir ce court roman qui ne vaut dans le cycle que par sa brièveté. Marion Z Bradley nous emmène sur les traces d'Andrew Carr, un terrien attiré par Callista, retenue prisonnière quelque part, et dont il tombe éperdument amoureux dès les premières visions ( celle ci ne lui apparaît que par instant grâce, on l'apprendra plus tard, à ses pouvoirs psy latents). Celui ci se lance à corps perdu à la recherche de sa future bien aimée, en comptant au passage sur l'aide de sa soeur jumelle à elle, et de son amant. Voilà...
C'est un peu léger comme intrigue, si tant est qu'il y en ait une, mais on sent derrière cette romance fade et gentillette qui frise avec la mièvrerie, que Marion Z Bradley prépare quelque chose. le Laran est mis en lumière, et même si le thème n'est que peu développé, et ne sert que d'ancrage à ce récit plus que limité, on sent une histoire plus complexe à venir. Sans doute maladroitement, on voit ce court récit comme l'introduction à l'intrigue qui va concerner les quatre personnages principaux, ainsi qu'une réflexion sur les possibilités relationnelles entre eux, compte tenu des us et coutumes maintenant bien connues de Ténébreuse et de sa société.
J'y ai tout de même apprécié la facilité avec laquelle l'auteure, encore une fois, réussit à nous plonger au coeur de son récit, même si la direction choisie laisse à désirer. le traitement de cette romance aurait mérité un peu plus de sérieux...
Cette petite faiblesse dans le cycle ne m'empêchera pas d'aller plus loin...
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Salut les Babelionautes
Voila un tome de la Saga Ténébreuse que je n'ai pas lu dans l'ordre chronologique, mais tant pis.
Cette fois Marion Zimmer Bradley nous raconte comment un terrien lors d'un crash aérien va se retrouver dans un affrontement entre des Ténébrans et des Hommes Chat, une des espèces propre a la planète.
La dessus vient se greffer deux Histoires d'Amour, et c'est un peu barbant.
Par contre c'est des Hommes qui en sont les principaux personnages, avec le patriarche blessé et devenu paraplégique, qui grâce a une Pierre Étoile, va combattre en prenant le contrôle du corps de Damon Ridenow.
Merci a Vivian Potts pour la trduction, une nouvelle traductrice dans la Saga.
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Situé dans le vaste univers de Ténébreuse (qui compte des dizaines de romans), cette intrigue suit Andrew Carr, terrien échoué et perdu sur cette planète qui possède le « laran », un don de télépathie “brut” lui permettant de communiquer avec Callista, prisonnière des Hommes Chats. Immédiatement amoureux de la captive, notre héros se lance à la recherche de la jeune fille en compagnie de Damon Ridenow.
Voici un court roman objectivement assez faible mais cependant de lecture plaisante. Ramassée sur 220 pages, l'histoire convoque tous les ingrédients de la (science) Fantasy avec son épée enchantée, sa princesse captive, son héros amoureux,… On y trouve aussi beaucoup de mièvrerie pseudo romantique (ah ce héros qui tombe immédiatement en pamoison devant une inconnue vue en « rêve »), quelques bonnes idées (un bretteur paralysé utilise un homme valide comme « marionnette » afin de guider son bras durant les combats), d'autres intéressantes mais inexploitées (les Hommes Chats se contentent d'apparaitre pour contrarier le héros mais ne possèdent aucun background),…
L'EPEE ENCHANTEE a aujourd'hui vieilli mais s'est également recouvert d'une patine sympathique qui en rend la lecture agréable en dépit de ses nombreux défauts. Tout cela est assez bavard et plutôt mou (très peu d'action et les rares combats sont rapidement expédiés) mais l'ensemble fonctionne toutefois pour les lecteurs indulgents et donne envie de poursuivre l'exploration de cette immense saga. C'est le principal.

Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Ceci n'est pas le volume le plus abouti de la collection, et pourtant ! Si l'on ne devait choisir que deux ouvrages de la collection, celui-ci ferait partie de ma sélection.
L'Epée Enchantée (à lire avec sa suite immédiate, la Tour Interdite) détonne par rapport au reste de la série, car on semble ici trouver un ton tout autre. C'est une aventure magique du point de vue même des autochtones.

A lire presque comme un conte, tant elle emprunte des éléments fantastiques (d'où le titre, d'ailleurs) : l'épée, le guide fantomatique, la prisonnière éplorée... Mais aussi quelques rapidités (voir facilités) dans la narration.

Le roman n'en reste pas moins soutenu par une galerie de personnages attachants et se dévore tout simplement d'une traite.
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Le terrien Andrew Carr, attiré sur Ténébreuse par les appels télépathiques de la mystérieuse Callista, s'écrase dans les Hellers et ne doit sa survie qu'à ce spectre qui se manifeste pour le guider.
Mais le retour à la civilisation est plus difficile qu'il n'y parait, car les échanges entre Tenebrans et Terriens sont limités et Andrew ne connait rien à la population qui le recueille. Mais son arrivée ne semble pas être un hasard quand c'est la soeur jumelle de Callista et son cousin qui lui font découvrir que Callista n'est pas un spectre, mais qu'elle existe véritablement, captive des redoutables Hommes-Chats...
Plus étonnant encore, alors que les experts Tenebrans ne peuvent contacter Callista, il semblerait qu'un embryon de Laran présent chez Andrew en soit capable...

Autant être honnête, le début de ce roman m'a semblé insipide. J'ai pensé que Marion Zimmer Bradley se servait de l'univers de Ténébreuse pour nous pondre une énième histoire de héros-messie venu de nulle part, avec des super-pouvoirs plein les poches, pour sauver la jeune et jolie princesse d'un méchant dragon.
Mais non ! (Honte à moi !) L'Epée Enchantée ne fait pas la part belle à un élu mais nous explique une mission de sauvetage à la mode Tenebrane, à grand renfort de Pierre-Etoile et de Laran.
Evidemment, tout seul, ce roman ne serait pas forcément très intéressant, mais c'est sa place dans la toile Ténébreuse qui le rend attractif, car tout est bien concret, bien mis en place.

Malheureusement, pour nous autres francophones, voire même pour tous les non-anglophones, l'ennemi principal de ce genre de saga c'est la traduction, ou plutôt le changement de traducteurs. Les noms changent, sont parfois traduits, parfois non, parfois extrapolés : les monts Hellers deviennent les Montagnes Infernales, les Tenebrans deviennent les Tenebrosiens, bref c'est déjà assez compliqué de s'y retrouver alors de grâce, ne changez pas incessamment tous les noms !!!
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74. Contrairement aux listes que l'on peut trouver sur le net , je placerais ce tome en n°7 après redécouverte car le cycle des amazones se déroule après ce tome et la tour interdite.
Andrew carr, employé de l'empire terrien est « touché », « appelé » par une jeune demoiselle en détresse. Ce lien télématique va sauver Andrew après un accident dans les kilgard. Et va lui permettre de se rapprocher le la famille de la jeune femme et permettre de la sauver.
Je retrouve cette série après 15 ans sans la relire. J'y prend beaucoup de plaisir, cependant est ce du à l'évolution de mon sens critique ou pas mais je note quelques détails qui me chiffonnent. Erreur de traduction ou non, je ne saurais le dire. Pourquoi ici les habitants de la planète sont-ils appelés tenebrosiens et non tenebrans comme dans les autres tomes ? Et puis parfois j'ai eu du mal à suivre le récit.
Mais bon cette série reste pour moi comme une madeleine qui me permet de m'évader. Ce tome est comme une introduction au prochain dans lequel il me tarde de me plonger.
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Fille de Ygerne et de Gorlois, Duc de Cornouailles, je suis l'enseignement des prêtresses de l'Ile Sacrée d'Avalon pour succéder à ma tante Viviane, la Dame du Lac, je suis (la Fée):

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