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EAN : 9782266065818
159 pages
Pocket (02/12/1998)
3.74/5   29 notes
Résumé :
Des éclairs dans la tête. Des rêves... ou des visions. Une torpeur éternelle. Elle est prisonnière-et entravée. On la transporte à travers le désert. Au terme du voyage, elle est vendue comme esclave, et, arrivée sur son lieu de travail, elle comprend qu’on s’apprête à faire d’elle une prostituée. Dans un réflexe, elle saisit une épée... Mais son lieu de travail est un camp de gladiateurs, et le commandant voit bien qu’elle est entraînée au maniement des armes. C’es... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2015-2016.

Curieux bouquin que celui-ci qui se révèle, après une semaine de lecture pour 160p, être une petite pépite à découvrir d'urgence pour les amateurs de cette auteur. Comme je l'avais expliqué dans une de mes précédentes critiques de cette auteur, je préfère me familiariser avec son style et son univers en lisant différents one-shot ou mini-séries d'elle avant de m'attaquer sérieusement à la Ténébreuse. Par ailleurs, petit plus de ce livre, j'ai enfin la liste complète de tous les romans issus de cette vaste série, avec l'ordre dans lequel on peut les lire.

Concernant ce roman, j'ai bien fait de me forcer à continuer ma lecture malgré ma lenteur car Mme Zimmer Bradley a encore une fois imaginé un monde bien particulier. Qui plus est, son personnage principal, la femme guerrière Zadieyek à la mémoire effilochée, m'intriguait très fortement. Elle est le narrateur de cette histoire et en même temps, elle n'a aucun souvenir de son passé et désespère de le retrouver un jour. Au fil des aventures et/ou évènements qu'elle vivra dans sa vie de gladiatrice et d'esclave, quelques bribes lui reviendront ou des paroles sans qu'elle arrive à les rattacher à des éléments tangibles. Je pense que ce qui a réellement ralenti ma vitesse de lecture a été les sévisses faits aux femmes quand elles sont esclaves. Pour certains passages, j'étais obligée de m'y reprendre à deux fois pour arriver à les lire tellement ils étaient durs. Il s'agissait souvent de situations que Zadieyek elle-même rebutait, ressentiments venus sans doute de son passé oublié. Il faut s'accrocher à la lecture de ce roman pour un résultat qui m'a laissée pantoise car je n'aurais su imaginer une fin pareille à cette histoire me parlant d'arènes, d'esclaves, de gladiateurs et de désert.

Comme vous l'aurez compris, malgré une lecture laborieuse à cause de certains passages, j'ai grandement apprécié la compagnie de Zadieyek ainsi que de suivre ses différentes aventures pour sa survie et à la recherche de sa mémoire. Je dirais, au vu de la fin, que ce roman est proche du coup de coeur tellement il est particulier. Comme le dit si bien la 4ème de couverture, « 'La gladiatrice' nous donne une image encore plus forte de la femme qui s'engage, parce qu'elle est douée, dans un métier ancestralement masculin ». Il s'agit donc d'un roman fort en émotions servi par un personnage charismatique malgré sa mémoire en lambeaux et par une écriture de la main d'un « maître » en la matière pour ce type d'univers, Mme Zimmer Bradley. Je vous conseille donc plus que fortement de découvrir ce petit roman hors du commun, qui ne paye pas de mine et qui, pourtant, mériterait d'être plus connu. Pour ma part, j'ai encore 2 mini-séries de cette dame dans ma PAL et je compte bien continuer à découvrir son oeuvre.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Je ne m'interdis absolument pas la lecture d'oeuvres écrites par des auteurs considérés comme problématiques. Par exemple, j'aime Lovecraft. Son racisme ne m'empêche nullement de prendre plaisir à lire ses textes. Tout d'abord, parce si on recontextualise, son racisme est plutôt ordinaire pour l'époque et est partagé par la plupart des gens. Je n'irai pas lui reprocher de ne pas être une meilleure personne que le commun des mortels. Ensuite, le type avait un talent incroyable. Alors, même lorsque ses textes sont émaillés de propos limites, j'avoue que ça ne me pose pas de problème moral. J'en fais abstraction et je prends plaisir à savourer ses récits de maître de l'angoisse sans même chercher à les lire sous un prisme analytique et critique à la lumière de ses opinions. le cas de Marion Zimmer Bradley est un peu différent. La célèbre auteure a été accusée par sa propre fille de pédophilie à son encontre mais également à l'encontre d'autres jeunes filles. Même si ces accusations sont intervenues après la mort de l'auteure, qui n'a donc pas pu s'en défendre, on peut légitimement penser que ces accusations sont justifiées. En effet, indice fort, Zimmer Bradley a tout de même épousé un pédophile notoire et revendiqué (il a écrit des bouquins sur le sujet). Là où le cas Zimmer Bradley est un peu différent du cas Lovecraft, c'est que là où le racisme de Lovecraft était commun à l'époque, la pédophilie était déjà considérée comme un crime par le grand public à l'époque de Zimmer Bradley. La recontextualisation est donc rendue impossible. Mais comme je l'ai dit, je ne m'interdis jamais de lire des oeuvres d'auteurs problématiques. Alors, me voici à lire mon 1er livre de Zimmer Bradley. Ne sachant pas si j'adhèrerai au style de l'auteur, plutôt que de me lancer dans une de ses sagas au long cours, j'ai opté pour un petit one-shot, « la gladiatrice ». Je ressors de cette lecture avec des sentiments contradictoires.

Il faut reconnaitre que le récit est efficace. C'est très bien mené de bout en bout. Pas de temps mort, un rythme soutenu sans être frénétique, Marion Zimmer Bradley sait incontestablement raconter une histoire. J'ai été happée du début à la fin. En revanche, les personnages manquent un peu d'épaisseur et me sont apparus comme caractérisés de façon un peu grossière. Si ça n'empêche pas le plaisir de lecture, ça nuit à l'identification ou même simplement à l'implication du lecteur. J'avais envie de connaitre la suite, de savoir ce qui allait arriver aux personnages mais sans que cela ne me procure d'émotions.
Mais mon plus gros bémol ne vient pas de là mais bien de la personnalité problématique de l'auteure. Dans « la gladiatrice », Zimmer Bradley propose un propos très féministe. Tout à fait le genre de propos qui pourraient me séduire… venant de quelqu'un d'autre. Car, je n'ai pas pu m'empêcher, tout au long de ma lecture, de repenser aux accusations terribles dont elle est l'objet. Une personne ayant abusé de jeunes filles prônant un discours féministe émancipateur, cette contradiction n'a cessé de me venir à l'esprit. Son propos féministe m'apparaissait alors comme une posture hypocrite. A titre de comparaison, Lovecraft ne s'est jamais prétendu humaniste ou progressiste.

Alors que je rejette l'idée de censurer les auteurs idéologiquement contestables, j'avoue que j'ai été gênée dans ma lecture par le côté problématique de l'auteure. Sans doute que si l'oeuvre en elle-même m'avait plus emballée, j'aurais été moins dérangée. du coup, avant de me lancer dans une saga au long cours, je pense que j'essaierai d'abord d'autres one-shot de l'auteure, histoire de me faire une idée plus définitive.
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Le ton est donné avec ce livre qui se lit très vite car très court. MZB affiche très clairement son engagement féministe dans ce récit qui en explore les voies, les causes, les conséquences. L'histoire est très courte et un peu à la manière de Julia Verlanger, MZB ne s'embarasse pas des détails, elle va tout de suite à l'essentiel, elle pose le décor, présente son personnage pricnipal ainsi que les bases de l'intrigue, laquelle repose essentiellement sur la perte de mémoire de son héroïne. Elle interroge directement son propos féministe, en tentant non pas de s'intéresser à la manière dont son héroïne Zadieyek va retrouver ses souvenirs, mais bien à cette valeur qui lui tiraille les boyaux sans qu'elle n'en comprenne ni le sens ni l'origine. Pour appuyer son propos, l'auteure place son héroïne dans un univers purement masculin ( le monde des gladiateurs), et la présente, par son premier acte instinctif ( pratiquement de l'ordre de la survie), face aux hommes, comme rebelle. En usant du même langage que les hommes ( la violence, les armes...), elle se voit gratifier d'une place d'honneur dans ce panthéon de guerrier testostéronnés. Zadieyek est une guerrière qui a oublié comment elle sait se battre et rivaliser aussi bien, au point de les surpasser tous, avec les hommes.
MZB a l'intelligence de ne pas tomber dans l'eccueil du féminisme qui se rduirait à la simple revendication de reconnaissance et d'existence de la femme. Elle ne tombe pas dans les pièges habituels qui hisseraient du coup sa vision du féminisme au rang de sexisme extrême. Elle en explore toutes les dimensions à travers les différents personnages qui croisent la route de son héroïne. On pourra croiser la femme "féministe" qui lutte contre la gente masculine par la violence, la domination et les armes, qui sont finalement les mêmes moyens tant dénoncés. On croisera la femme soumise qui accepte son rôle sans en comprendre les tenants et les aboutissants, ou encore la femme qui cherche à se hisser au même rang que les guerriers à des fins de reconnaissance et de respect.
De la même manière, elle ne présente pas non plus la totalité de la gente masculine comme violent, dominateur, à l'image de Hassim, le maître d'arme de l'héroïne qu'elle retrouvera dans l'arène, et qui faisait preuve de respect envers elle. À l'image également de ce souverain dont j'ai oublié le nom, qui se soumet face à sa soeur venue revendiqué le trône qui lui revenait de droit, et qui accepte son sort. C'est d'autant plus marquant que cette femme reconquiert son trône uniquement par la parole, sans violence, sans armes, sans guerre.
Il s'agit d'une histoire de gladiatrices mais l'auteure choisit plutôt ( c'est bien logique!) de nous la raconter d'un point de vue de femme. Ne vous attendez pas à voir des effusions de sang, des tripes à l'air, des combats épiques à n'en plus finir. Ici tout se règle dans la douceur, dans ce monde brute. MZB choisit de nous raconter l'histoire de cette jeune femme qui, à la recherche de sa mémoire, cherche à retrouver son identité, son intimité et donc sa légitimité. Les thèmes de la liberté, du choix et du respect sont traités ici en profondeur. Je regrette seulement les prises de position un peu trop formels ( radicales) par rapport à ces personnages. Les hommes veulent la guerre, les femmes veulent la paix. Les hommes n'ont pas d'excuses ni de bonnes motivations, les femmes si, sans exceptions. L'homme ne réfléchit pas, la femme au contraire se remet sans cesse en question. Bon d'accord ce n'est pas si loin de la réalité que cela......!
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« MZB » reste un écrivain agréable à lire quoi qu'il en soit, c'est plutôt poétique et délicat, et effectivement assez sensuel sans tomber ni dans le cru ni dans le vulgaire malgré de nombreuses scènes qui pourraient le présager. Cependant, et pendant que j'y suis je vais embrayer sur un premier point qui m'a dérangée : j'ai trouvé qu'il y en avait un peu beaucoup, de ces scènes. Je veux dire, et d'une on a l'impression que nous relater les coucheries des uns avec les autres constitue en soi un but au récit (alors que le résumé et l'amorce de l'intrigue nous annoncent tout autre chose) ; et de deux quasiment toutes les femmes que l'on croise vont avoir à une page ou une autre envie de se sauter dessus – je suis désolée mais défendre le bouquin en parlant de féminisme, à ce niveau je trouve ça un peu tiré par les cheveux – et en plus l'héroïne fait preuve de la même libido (exclusivement, ou presque) homosexuelle que les autres, à se demande d'ailleurs comment font les humains pour se reproduire dans ce monde, sauf qu'elle s'est fait violer au début de l'histoire, et l'auteure nous explique longuement que la pauvre est désormais traumatisée par tout ce qui porte la culotte (jusque là je veux bien admettre), et va donc se réfugier dans les bras des douces femelles… –‘ mais genre toutes celles qui vont croiser son chemin et avoir envie de la toucher, hein. Là encore on part avec des prises de position que j'aurais pu tout à fait accepter et apprécier, mais on tombe tellement dans l'excès et le manque de rationalité qu'au bout d'un moment se pose la question : pourquoi ? et malheureusement rien n'apporte vraiment de réponse, car cela ne sert même pas vraiment l'intrigue. Heureusement que c'est bien écrit et que l'auteure alterne avec quelques péripéties et autres fils narratifs.

De plus le fait que les rares hommes présents soient présentés uniquement comme des reproducteurs et/ou des guerriers m'a plus mise mal à l'aise qu'autre chose. Je pense que le concept aurait pu être exploité, mais différemment. D'ailleurs les hommes sont rares, tout court, dans ce monde où on nous montre principalement des personnages féminins forts, sauf qu'on apprend tout de même qu'ils ont des positions fortes dans la société, et qu'un certain patriarcat existe tout de même, même si pas partout, mais il se voit plus ou moins selon les chapitres. Pas toujours très cohérent alors que le monde et le nombre de pages sont assez limités, ce qui est franchement dommage. J'ai bien senti que l'auteure souhaitait nous montrer des femmes badass, des qui en ont et qui savent ce qu'elles veulent, mais on tombe très vite dans des stéréotypes et des extrêmes (par exemple des hommes qui eux sont quasiment réifiés, ou des héroïnes à qui tout réussit, sans parler des caractères et descriptions des demoiselles), et du coup le soufflé retombe.

Dans le même esprit l'héroïne, Zadiyek, entame son récit en expliquant au lecteur qu'elle ne se souvient plus de sa vie d'avant et qu'elle souhaite récupérer ses souvenirs et sa cohérence du monde… mais là encore selon les pages cela est plus ou moins prégnant ; parfois on a l'impression qu'elle a oublié qu'elle recherchait son identité, de manière plus ou moins soudaine. La seule chose que j'ai trouvée vraiment sympa dans l'intrigue c'est de comprendre petit à petit où l'auteur nous amène, au fil de ses aventures, découvertes, et rencontres… mais là encore j'ai trouvé la fin trop excessive dans sa position, un poil trop brutale, et trop « nette » : bon, bah voilà, et puis c'est tout. Pas de remise en question de rien, pas de réelle conclusion qui pourrait justifier la bonne centaine de pages écoulées, elle va juste pouvoir reprendre sa vie et tout oublier.

Un récit de Fantasy de plutôt bonne qualité littéraire, mais qui souffre d'idées certes originales mais traitées de manière maladroite et pas toujours cohérente. Peut-être suis-je passée à côté de quelque chose… A vous de voir, au moins c'est rapide à lire.
Lien : https://croiseedeschemins.wo..
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La gladiatrice de Marion Zimmer-Bradley

Cela m'étonne un peu que ce beau roman de science-fantasy n'a pas encore de commentaire. Cela commence comme fantasy historique qui joue dans l'antiquité romaine. Une jeune femme se fait prisonnière et esclave et l'on amène dans une arène de gladiateurs - pour servir de prostituée. Elle n'a pas d'idée comment elle vient dans ce monde et dans cette situation. Elle a oublié tout de son passé.
Mais elle sait lutter. Elle prend une épée et tue le premier gladiateur qui s'approche d'elle.
Ce roman en dehors de la série Darkover (Ténébreuse) m'a bien fasciné. Une lecture qui fait plaisir.
Titre original: Warrior Woman.
Lien en anglais: Warrior Woman by Marion Zimmer Bradley with an overview.
Lien : http://www.barnesandnoble.co..
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Je suis contente de ne pas être morte, c’est vrai, mais pas fière. Je ne m’enorgueillis pas d’un tel massacre. Je suis prête à déployer mon art devant un être intelligent décidé à me tuer ; mais, tout à l’heure, il s’agissait simplement de ne pas me faire piétiner jusqu’à ce que j’aie trouvé les points vulnérables de ce gros éléphant. Si j’avais eu à tuer cette créature pour nourrir ma famille affamée, je serais peut-être fière. Ou peut-être encore si j’avais dû la traquer et la chasser dans sa jungle natale. Mais là, je n’avais qu’à enfoncer mon épée et ma lance dans le corps de ce gros animal poussé dans un lieu inconnu, sans aucun endroit où se cacher. Non, il ne s’agissait pas de l’art du gladiateur ou du chasseur, mais celui de l’abattoir. Si j’avais voulu apprendre la boucherie, je serais devenue apprentie bouchère !
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- Certains hommes ne veulent pas entraîner les femmes.
- Pourquoi ?
- Pour la même raison que la plupart des maîtres ne prennent pas le risque d'apprendre à lire et à écrire aux esclaves ; trop d'hommes savent que leurs femmes ont tant de raisons de les haïr que, si elles savaient se battre ou tuer, elles tourneraient leur nouvelle science contre leurs maîtres.
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Ayant le statut de gladiatrice, des lois me protègent. Je ne peux pas être utilisée comme putain, ni être vendue comme telle. Je ne peux être tuée que dans l'arène; tuer un gladiateur entraîne des pénalités terribles, excepté dans l'arène et avec les armes autorisées. SI je n'avais pas été prête à mourir, je n'aurais jamais osé combattre l'homme qui m'a touché le premier jour; seul le hasard m'a poussé à saisir l'épée et à lui fendre le crâne. Parce que j'ai pris, instinctivement, l'épée, j'ai gagné le droit d'un essai dans l'arène. SI, par exemple, je lui avais fendu le crâne avec mes menottes, j'aurais été torturée, ou brûlée, ou livrée aux hommes jusqu'à ce que mort s'ensuive, puis mon corps aurait été jeté dans la pâtée des cochons pour qu'ils me dévorent.
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(…) un règlement par la violence ne fait que provoquer d'autres violences pour la contrer. Et rien n'est jamais réglé définitivement jusqu'à ce que ce soit bien réglé.
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- En évitant un coup, me conseilla-t-elle, ne donne jamais, au grand jamais, l'impression d'avoir peur ; ces manœuvres te donnent l'apparence de chercher à plaire et amuser, au lieu d'esquiver un coup. Et si tu amuses toujours la foule, tu peux tromper la mort beaucoup plus longtemps.
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Fille de Ygerne et de Gorlois, Duc de Cornouailles, je suis l'enseignement des prêtresses de l'Ile Sacrée d'Avalon pour succéder à ma tante Viviane, la Dame du Lac, je suis (la Fée):

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