Les deux premières années [à Science Po] n'ont qu'un but, vous donner les codes et la maîtrise de l'habitus des classes dominantes, ça ne sert qu'à ça.
Ce peuple qui, à force de nourir ceux-là même qui, censés les défendre, les tenaient éloignés, se montrent prêt aujourd'hui, au Fenwick, à défoncer la porte de ministères pour rappeler à ses serviteurs que ces lieux n'ont été construits, sur leurs deniers, que pour les protéger des aristocrates, et non reconstruire une aristocratie qui pourrait se permettre des les mépriser.
L'auteur explique son livre "treize pillards" qui raconte treize vies privées/publiques de personnages d'état actuels.