Il aimait répéter, après Flaubert, que la vie ne fournit que l'accidentel et que la tâche de l'artiste est de transformer cet accidentel en immuable. Il disait aussi qu'il fallait partir de la réalité la plus quotidienne pour arriver au surréel. Que la recherche humble et sincère de cette réalité conduit insensiblement au fantastique.
(extrait de l'introduction de Roger Grenier)
Présentation de l'exposition " Brassaï, pour l'amour de Paris " qui s'est déroulée du 8 novembre 2013 au 29 mars 2014 à l'Hôtel de ville de la capitale.