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3,08

sur 26 notes
Tout d'abord, encore merci aux PUF et à Babélio de m'avoir permis cette lecture dans le cadre d'une masse critique particulière…
« Miscellanées de culture générale »… Faut-il rappeler le mot d'Edouard Herriot : « la culture (qui plus est générale) est ce qui reste quand on a tout oublié ? »
Bien sûr qu'il faut le rappeler, et en même temps se rendre compte, en ouvrant ce recueil, qu'on a même oublié des choses qu'on ignorait… Je passe sur le vocabulaire ancien et maintenant inusité, mais qui se souvient à part les spécialistes que Crépitus était le dieu romain du pet, que Pyroïs, Eoos, Aéthon et Phlégon étaient les quatre chevaux blancs qui tiraient le char d'Hélios, le soleil… Et les douze travaux d'Hercule ? Qui sait que l'@ était déjà utilisé pour indiquer le « ad » latin (à, vers) par les moines copistes ?
On dit souvent que « l'écriture est la science des ânes »… et le culte de l'âne, pratiqué dans l'antiquité ? L'onolâtrie ; mais comme moi, vous l'aviez sans doute oublié…
Je sais, ce genre de connaissances est absolument inutile… mais comme le disait Cyrano : « c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !».
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Aujourd'hui j'ai pas envie d'être méchante. D'ailleurs je n'ai jamais vraiment envie de l'être, même si j'ai un peu trop souvent tendance à aimer m'amuser au détriment d'autrui, mes paroles (et mes écrits) dépassant de loin ma pensée.


Je sais, c'est un mauvais présage d'introduire ainsi une note de lecture. Venons-en au fait. Un jour que je devais faire 8 heures de trajet en voiture (en tant que passagère, quoiqu'il m'arrive parfois aussi de lire en conduisant), je me suis dit que ça pourrait être bien de feuilleter ce truc pour poser les devinettes et faire passer le temps, parce que soutenir 8 heures de conversation de suite, même un homme politique n'y parvient pas. Vient toujours un moment où l'on préfère regarder le paysage que d'essayer en vain d'aligner deux mots à la suite. L'homme n'est pas né pour parler. A peine davantage pour écrire.


Clairement, ce livre ne permet pas ce genre d'activité. Pourquoi ?
1) Les questions demandent un peu trop de réflexion. Il faut nécessairement être bien assis chez toi avec du silence, du calme et de quoi écrire.
2) Les questions ne sont pas forcément très drôles ou étonnantes. Vous risquez vite de passer pour le gros relou.
3) Si vous n'avez pas une connexion internet sous la main, les réponses sont frustrantes parce qu'elles vous balancent des noms dans ta gueule mais genre, les peintres, t'aurais aimé voir leurs peintures, les dieux, t'aurais aimé en savoir un peu plus sur leurs pouvoirs magiques, les livres, t'aurais aimé en lire quelques lignes, etc. Les listes de noms, c'est bien bon mais ça ne suffit pas.
4) Putain, ils se sont encore crus obligés de mettre des recettes de cuisine, c'est'y pô possible, nous n'échapperons pas au lessivage de cervelle alimentaire.


Le seul truc vraiment marrant dans ce livre c'est d'apprendre que certaines rues de Paris ont été renommées pour qu'on oublie qu'avant, leur commerce principal, c'étaient les putes. Moi, je connais pas trop Paris mais certains y habitent. Lorsque vous passerez dans la rue Marie-Stuart, faites hommage à feu la rue Tire-vit ; Rue Dussoubs = Rue Gratte-cul ; Rue Taillepain = Rue Donne-Joie ; Rue du Pélican = Rue du Poil-au-Con ; Rue Beaubourg = Rue Trace-Putain ; Rue du Petit-Musc = Rue Pute-y-Muse.


A part ça, avec une connexion internet et du temps à perdre, on peut apprendre des trucs parfois utiles sur l'histoire, la littérature, la mythologie, la peinture, donc c'est pas trop mal fait.
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Le livre le plus difficile du monde.
Sans doute pas le plus difficile du monde, mais en tout cas, pour moi, il est difficile.
C'est un livre dont les questions de culture générale, difficiles donc, nous apprennent des choses.
Le problème sera de les retenir... Au moins une ou deux...ou plus, selon votre motivation, votre culture générale, votre intérêt.
Je pense qu'il faut prendre ces petits tests comme un jeu. Si on ne sait rien, ou presque, tant mieux, cela veut dire qu'on a encore plein de choses à découvrir, et donc, plein de livres à lire. ...Si vous avez toutes les réponses, alors bravo !
Pour ma part, je préfère apprendre, mine de rien, en me plongeant dans un roman passionnant.


Je remercie Babelio et les Éditions Puf pour ce Miscellanées de culture générale, que je feuilletterai de temps en temps.
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Je tiens à remercier chaleureusement l'équipe Babelio ainsi que les éditions PUF pour l'envoi de ce superbe livre.
Dire que je l'ai aimé serait un doux euphémisme. de nature curieuse et assez fana de culture en général, il n'était pas très dur de m'appâter avec ce beau livre sur des détails de culture générale peu connus et assez pointus. Je l'ai dévoré en à peine quelques heures de lecture.

La présentation sous forme de questions / réponses est très ludique. J'avoue que sur certains points, où j'avais quelques idées de la réponse, je me suis prise au jeu de tester mes talents mais sur d'autres, où la réponse m'était clairement obscure, j'ai d'emblée savouré les réponses vraiment détaillées.
Je ne peux pas dire que j'aurai retenu l'intégralité des savoirs contenus dans cet opus mais certaines choses que j'avais apprises sont revenues à la surface grâce à ce rappel et le caractère insolite, drôle, déroutant de quelques énigmes resteront présentes désormais. Allez, un tout petit bémol et encore je chipote, les carrés magiques et les chiffres romains c'est vraiment pas mon truc !

Je sais que je ne sais rien mais désormais j'en sais peut-être un peu plus d'autant que j'ai toujours été intéressée par les mythologies du monde, les arts, la littérature et l'histoire (thèmes qui sont largement traités ici). La langue des auteurs est technique tout en restant claire, facétieuse et ludique tout en gardant à l'esprit le côté didactique.

Le petit plus de l'ouvrage, sur le bord extérieur des pages impaires, une petite surprise graphique mignonne comme tout au feuilletage rapide.

Une somme de connaissances insolites et nouvelles qui viennent doucement éveiller votre curiosité et solliciter mémoire, concentration et logique.
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Merci à Babelio et aux éditions Puf pour l'envoi de ce livre , tout d'abord.

Les" Miscellanées de Mr Schott" ont connu un vif succès en 2005.Beaucoup y ont vu une nouvelle approche originale. Mais Oscar Wilde, le facétieux, écrivait déjà :" C'est une bien triste chose qu'il y ait de nos jours si peu d'informations inutiles."Comment définir ce genre , si genre il y a ?" Fragments littéraires et culturels" , " particularités en tous genres", " bric à brac de mots"? En tout cas, c'est l'idée de mélange qui prime ( du latin " miscellanea":mélanges, moi aussi, je peux faire ma " savante", hum ! Je plaisante, bien sûr !)

Bon, maintenant que dire de ce livre, qui a le mérite de se concentrer sur un domaine donné( mais qu'il est vaste !) celui de la culture générale? Il faut y chercher avant tout une forme de distraction plaisante, une façon désinvolte de se cultiver.On picore ici un grain de mythologie ( les Muses et leurs attributs, par exemple), là un ingrédient d'une recette d'"une fricassée à la manière d'Apicius"...Les informations données sont très disparates, et fort anecdotiques.
Mais justement, c'est à double tranchant, car elles peuvent aussi être perçues comme sans grand intérêt, ne cherchant qu' à éblouir,de façon clinquante.

Je pense qu'il faut lire ce recueil à petites doses, en piochant au hasard.La difficulté des questions posées ne doit pas rebuter.Ce n'est pas l'essentiel.Le but est plutôt de découvrir avec curiosité et plaisir ce que nous apprennent les réponses.En dehors des questions purement littéraires, comme l'incipit et l'excipit des romans, auxquelles j'ai su répondre, l'ensemble n'est pas évident du tout !Et effectivement, comme le sous-titre l'indique, il peut se targuer d'être difficile.Le plus difficile du monde, c'est un tantinet exagéré ! Voyons-y avant tout le côté ludique et insolite, décalé.Les jeux de mots des titres et les dessins accentuent d'ailleurs cet aspect .

Justement, c'est pour moi le problème posé par ce type de livre: il ne laisse pas beaucoup de trace dans notre esprit.On papillonne d'une page à l'autre , on survole...et il n'en reste rien ou si peu ! Un froissement d'ailes tout au plus .

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Le sous-titre du livre est « le livre le plus difficile du monde »

1 - Pour la motivation, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..
Si votre aspiration était de vous enrichir intellectuellement, ce n'est pas gagné. Les sujets abordés sont si peu conventionnels et anecdotiques que même s'ils ont un intérêt, vous aurez un mal de chien à les retenir. Sauf si vous possédez une mémoire phénoménale capable de tout avaler et restituer…mais, dans ce cas je ne suis pas convaincu que cet ouvrage vous apprenne quoi que ce soit.

2 - Pour briller en société, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..

Car si votre motivation était d'étoffer vos conversations, c'est franchement raté ; comment citer le nom des neuf muses, comment parler le louchébem, l'argot des bouchers, sans donner aussitôt l'impression de trop étaler sa « culture » faute d'en avoir suffisamment, si vous voyez ce que je veux dire.

3 - Pour susciter la curiosité, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..

Car qui peut avoir envie d'approfondir les astuces de beauté de l'époque médiévale parce que ce bouquin lui en a parlé ? Seules les questions véritables rencontrées pragmatiquement nous poussent à creuser un sujet, c'est là le véritable signe d'un éveil suffisant pour se construire une culture générale apte à nous aider à élaborer les bons raisonnements, apte à faire de nous des personnes intelligentes. Non, non, je ne mélange pas ; je déduis l'une de l'autre.
Mais bon, effectivement un hasard peut mener un lecteur vers une future passion.
« Les avances des prostituées en Grèce ou à Rome », par exemple. Pourquoi pas ?

4 - Pour tenir ses promesses, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..

Les auteurs nous promettent d'étoffer leurs réponses ne se limitant pas à de simples mots. En voici un exemple :
Question :
Classez du plus petit au plus grand les nombres romains suivants, puis donnez leur équivalent en chiffres arabes :
XCI, XCVII, MMMMC, MXCIX, XCIX, LXXII, MMMM, LXII, VIII, XI, MCMLXXXIX, DCC, CM, MMMCMXCIX, MDCCCLXV
Réponse :
8, 11, 40, 62, 72, 91, 97, 99, 700, 900, 1099, 1865, 1989, 3999, 4000, 4100
Effectivement, il n'y a pas que de simples mots ; il n'y en a pas du tout !
Dommage ce sujet avait des applications presque quotidienne.

5 - Pour nous dérider, voici effectivement le livre le plus difficile du monde…..

Car, annoncé comme un guide parfois humoristique, les plaisanteries éparses sont d'un niveau presque insultant tant elles sont puériles
Mais peut-être les auteurs souhaitaient-ils nous faire croire que nous n'étions pas si nuls que cela.

6 - Pour offrir, voici enfin le livre le plus difficile du monde…..

Honnêtement, quelle idée vous ferez vous, au mieux de vous-même, au pire de la personne qui vous offrirait ces miscellanées de culture générales ?

Cela m'a rappelé, la rubrique que je lisais, enfant, dans le journal de Mickey : « le saviez-vous ? »
Sauf que dans ce cas, nombre des sujets abordés ont germés en moi grâce à leur utilité, leur pétillance, leur croustillance.

Bon je ne veux pas être totalement négatif, j'avoue que je ne connaissais pas le mot « miscellanées » avant d'avoir lu ce livre.
Quant au reste, même si j'en retiens quelque chose, je doute qu'il me serve un jour, pas même pour édifier mes raisonnements.

Aussi est-ce tout penaud que je tiens tout de même à remercier Babelio et les Presses universitaires de France pour m'avoir fait participer à l'élaboration d'une appréciation collective.

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Que Masse critique et les Presses Universitaires de France soient remerciées pour l'envoi de cet amusant volume, qui doit être critiqué par les lecteurs de Babelio. Si la culture générale est la conscience aiguë que l'on ne sait rien, l'objectif formateur du livre est atteint : en effet, il administre au lecteur une belle leçon de modestie, tout en le consolant de ne rien savoir en lui ouvrant mille perspectives d'enquêtes et de curiosités. Leçon de modestie, mais aussi d'optimisme et alléchantes ouvertures vers d'autres livres. Mais la culture générale est-elle une somme de connaissances anecdotiques, une sorte de cabinet de curiosités hétéroclites et sans prise sur le monde ? C'est un peu ce que le livre a l'air de dire, en déconnectant la culture du déchiffrement du monde comme il va. On y fait une grande place au "ludique", en pleine conformité avec la mode d'aujourd'hui, affolée de "second degré" et d'humour, mais je ne voudrais pas que l'on s'imagine que les jeux érudits, si amusants soient-ils, résument à eux seuls la culture, qui est un instrument de contestation, de critique et de lucidité. J'aurais bien voulu citer à l'appui de ce reproche l'entrée sur l'art contemporain, remarquable par sa "mollesse de genou", mais il n'y a aucune table des matières ni des noms propres en fin de volume. Merci donc à Babelio de m'avoir offert ce petit amusement sans conséquence.
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Je remercie Babelio et les éditions PUF pour l'envoi de ce livre. Un livre de culture générale ne peut que m'intéresser, me suis-je dit. Première recherche avec le titre miscellanées : genre littéraire composé de textes divers, "mélangés", avec une unité plus ou moins manifeste. Et voilà, un peu moins bête, juste avec le titre !
Ce livre se présente sous forme de questions/réponses, tout bêtement. Mais attention, c'est tout de même le livre le plus difficile du monde mais aussi le plus ludique,
soi-disant en passant. Dès le départ, je joue le jeu, en essayant de répondre aux questions. Mais très vite, j'abandonne car quand je ne sais pas, je ne sais pas et répondre au hasard, pas d'intérêt pour moi. Alors, j'ai lu les questions et je suis passé directement aux réponses.
Quelques pages lues sur plusieurs journées car j'avoue que je n'étais pas très passionnée par cette culture. Pour moi, perso, j'ai trouvé ce livre complètement "déjanté".
Il m'a parfois fait sourire, parfois intéressée et parfois ennuyée. Vous dire ce que j'en ai retenu : pas grand chose, hélas. Trop d'infos tue l'info, du moins pour moi.
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Merci à l'équipe Babelio et aux Presses Universitaires de France, l'éditeur, de m'avoir permis de découvrir ce livre, un premier du genre pour moi.
Cependant me voici bien embarrassée ! Il est en effet toujours difficile de manquer d'enthousiasme lorsqu'on vous fait un cadeau. Aussi, et n'aimant pas beaucoup ondoyer, je me contenterais de dire que, sans me laisser totalement de glace, cet ouvrage ne m'a pas vraiment enthousiasmée.
En vérité, c'est surtout sa promesse de « livre le plus difficile du monde » qui m'a laissée perplexe. « le plus difficile » pour moi pouvait signifier qu'il allait me donner du fil à retordre, m'étonner, m'embarrasser, me mettre à mal, me bousculer, m'extirper les toiles d'araignées, me nettoyer les yeux… que sais-je ? me décrasser quoi, m'illuminer en quelque lieu ou en quelque chose .… ce ne fut pas le cas. Je n'y ai trouvé qu'une suite de quiz non pas sans intérêt bien évidemment, mais qui n'ont pas su captiver le mien. Peut-être parce qu'il se peut que l'intérêt comme l'appétit vient en mangeant, celui des curiosités vient en s'interrogeant….
Intriguée, je suis allée voir ce qu'avait publié jusqu'ici l'auteur : La Culture générale pour les Nuls, Un kilo de culture générale, La Boîte à culture pour les nuls, Culture pour tous, Notions de culture générale pour lycée, Guide de culture générale, etc… était-il encore besoin de ce miscellanées de culture générale…. ? Nul doute qu'il convenait de baptiser ce petit dernier « le plus difficile du monde » pour en soutenir la promotion…
Allez, pour finir sur une note gentille, j'ai bien aimé la petite animation des pages qui au feuilletage passe du livre à la petite chouette, comme nous le faisions lorsque nous étions enfant en animant de petits dessins les pages de nos cahiers ..
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Le titre exact du livre est MISCELLANÉES DE CULTURE GÉNÉRALE - LE LIVRE LE PLUS DIFFICILE DU MONDE. C'est un peu pompeux car ce bouquin n'est probablement pas le plus difficile du monde. Il est simplement difficile, du moins pour celui qui n'a pas cette culture ce qui est mon cas.

Le sujet de ce livre : la culture générale. Autrement dit un puits sans fond. La culture générale, on en a tous une définition. Pour moi, c'est ce qui sert à briller au Trivial Pursuit. Cela tombe bien parce que la forme de ce livre permet de jouer seul ou à plusieurs. En effet les auteurs nous posent une question et la réponse est sur la page suivante. C'est assez ludique même si c'est aussi la limite de cet ouvrage car, si l'on est seul, cela devient un peu lassant au bout d'un moment. Il vaut mieux venir picorer de temps à autre dans le bouquin que de le lire d'une traite comme un roman.

L'autre limite à mes yeux, c'est le thème choisit. Il est tellement vaste qu'il n'y a aucun lien entre les différentes questions posées dans l'ouvrage. On nous parle de Louis XIV puis de techniques artistiques puis de l'Homme de Néandertal puis des filles de Zeus... J'ai eu l'impression de passer du coq à l'âne.

Il n'en demeure pas moins que le livre est très bien fait et que les auteurs se sont cassés la tête pour nous poser des questions complexes et détailler les réponses.
Je me suis rendue compte que ma culture générale était loin d'être générale et que j'étais incapable de répondre à la majorité des questions. Il faut dire que de nombreux sujets abordés dans le livre ne me passionnent pas et, ayant quitté les bancs de l'école depuis longtemps, je ne m'oblige plus à m'intéresser à ce qui ne m'intéresse pas du tout.

J'ajoute que l'ouvrage en lui-même est beau, j'aime beaucoup la couverture. En plus sur la page de droite, il y a un petit dessin et si vous feuilletez rapidement le livre, le dessin s'anime et le petite chouette s'envole. Ça ne sert à rien mais c'est mignon et j'adore ce qui ne sert à rien.

Je remercie chaleureusement Babelio ainsi que les éditions PUF de m'avoir offert ce livre dans le cadre de Masse Critique.
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