AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Alfaric


Ce deuxième et dernier tome est placé sous le double signe de la quête initiatique et de la quête onirique : dans les deux cas le temps et l'espace n'ont pas d'importance, seuls importent les symboles ! Brindille ce n'est pas qui est elle ni ce qu'elle est, et elle toujours pourchassée pour des raisons qu'elle ignore par la Horde Sauvage des Nornes qui détruit tout sur son passage… Brindille continue sa route guidé par Loup qui a réponses à ses questions mais qui fait de la rétention d'information, et elle est hanté par le souvenir d'un chevalier et de son chien. Elle doit obtenir son épée et son armure avant de s'entraîner, et avant d'affronter les dangers extérieurs elle doit vaincre ses peurs intérieures… Car au bout du bout elle va découvrir son identité, pour trouver la damnation ou la rédemption !

La forme est fantasmagorique, le fond est métaphysique : c'est la plus belle histoire que j'ai jamais lue sur la mort et son acceptation, et j'applaudis des deux mains ces deux grands artistes que sont Frédéric Brémaud et Federico Bertolucci. Ça pourrait faire l'objet d'une adaptation en film d'animation, et cela ferait une oeuvre d'ampleur universelle : oui mais non, ne rêvons pas trop car le manque d'ambition des preneurs de décisions est un puits sans fond !
Commenter  J’apprécie          501



Ont apprécié cette critique (48)voir plus




{* *}