Effets secondaires

Suite de la critique de " effets secondaires la mort " :

pourquoi m'interdisez vous d'aller mieux ?

Tomber dans cette galère fut un supplice , mais je m'en sors quand même , j'ai des amis proches , des activités sociales importantes , je suis dans la vie active , j'ai fait du bénévolat et je cherche du travail et toutes ces choses arrivent à se faire malgré mon autisme/asperger ; j'ai guéri de ma paranoïa et malgré les effets secondaires affreux je fais tout pour aller mieux.

J e suis venu vous dire – et à l'heure ou j'écris ces lignes j'espère être accompagné de ma mère – que je vais arrêter progressivement les traitements , et pour moi votre accord est secondaire.

Vous ne m'avez jamais parlé des effets scondaires , vous avez dédoublé l'acharnement thérapeutique par le refus du consentement éclairé , pourquoi ne m'avez-vous pas dit que ces effets secondaires horribles existaient ?

Mon sentiment imprescriptible et profond est que vous avez utilisé des mécanismes de chantage de menace et d'intimidation , notamment l'enfermement psychiatrique…

Vous m'avez moqué , brimé , humilié sur mes maladies ; vous êtes apparue à mes yeux comme hautaine , dédaigneuse et méprisante et m'avez systématiquement coupé la parole quand c'était important.

Plus grâve encore , mon ressenti profond est que vous avez profité des faiblesses inhérentes liées à mon autisme …

Je m'explique :

J'ai subi durant ma scolarité un harcèlement scolaire grâve et des abus sexuels. Quand quelqu'un est agessif et directif avec moi je hoche la tête par peur et par mimétisme , je me fige d'angoisse et acquiesce à tout par peur , d'autant plus que parfois avec mon autisme , il me faut un temps de compréhension plus important que la moyenne , et que par manque de recul , je n'ai pas le temps de dire non.

Vous avez parlé vite , agressivement et brutalement et je me sentais agressé et désorienté : vous avez , quand j'ai répondu en miroir , sauté à des conclusions hâtives qui sur le plan professionnel et médical font que TOUTES vos conclusions médicales – y compris dans le dossier – me semblent abusives , nuls et non avenus , à cause de vos méthodes mêmes.

Ces abus ont d'ailleurs été transmis et documentés auprès de mon médecin traitant et du X , c'est pour que vous ne les commettiez plus , et avanciez désormais masquée , que je souhaite que ma mère soit présente. le lien de confiance que j'ai en vous est complètement rompu.

Je suis venu vous voir , je l'espère en présence de ma mère , pour vous demander comment arrêter progressivement et sans danger ces traitements lourds , dangereux et addictifs aux effets secondaires affreuses qui sont répertoriés dans mon dossier médical et dont les dates correspondent chronologiquement à chaque nouveau médicament psychotrope.

CEST MON CORPS , MA VIE , JE SUIS SAIN D'ESPRIT , et je ne souhaite pas devoir contacter des juges et des avocats , je souhaite un compromis à l'amiable , on diminue et j'arrête.

Sinon auprès de la justice – aussi bien isolé gravement car sans l'aide mes parents ou accompagné par eux dans mon combat pour la justice médicale peu importe - , pour ma santé qui prime sur toute autre considération , y compris familial , je vais devoir prendre des mesures en conséquences.

Cordialement ,

X

28 ans.

Je contacte ensuite mon médecin traitant :

Madame,

Après vous avoir transmis pour des raisons médicales

urgentes, liées à mon dossier
médical, les informations que jai transmis au docteur
X au sujet d'effets secondaires graves
et handicapants que je subis et qui sont liés à des psycotropes, je dois aussi vous parler de problèmes
pressants et urgents liés à ceux-ci.
Ma mère est aussi malade à cause des traitements.
Elle n'arrive pas à diminuer car elle est accro à ces drogues dures. Etre
addict sévèrement à des drogues dures est quelque-chose de dangereux pour
la santé du patient.
La Fluoxétine a été mis en cause dans des bloquages
émotionnelles graves, je le sais d'autant plus que je
les ai moi-même Subis et une amie à moi également.

Des recherches ont démontré que 3 personnes sur 5 sous anti-dépresseurs ont témoignés et prouvés que la partie du cerveau
associé à la joie et au sentiment de récompense est castree, Voire oblitérée
Des chercheurs affirment que 60 % des utilisateurs de
ces médicaments éprouvent ces effets.

Les chercheurs ont mis 66 personnes dans des groupes,
l'un avec escitalopram
d'autres avec unplacebo.
Le constat fut sans appel: on a proposé aux deux groupes
des récompenses Ou bien peu de recompenses, les
personnes sous anti-dépresseur prenaient l'option
avec le moins de récompenses que ceux sous placébo ce qui suggérait
qu'ils y étaient moins sensibles.

Prof. Barbara Sahakian de
I'université de Cambridge confirme
" ils enlèvent la douleur mais aussi le sentiment de bonheur".

Ma mère va de plus en plus mal, des fois elle tombe dans la rue brutalement,
elle tremble et a du mal à marcher, semble fragile, veut
diminuer mais n'y
arrive pas. Elle est addict comme je l'ai été et j'ai peur pour elle.

Léquipe de Barbara Sahakian à également
remarqué que ceux qui prennent ces antidépresseurs n'atteignent que très peu l'orgasme.

Le NHS britannique Considère que même si ils peuvent parfois prévenir un
suiscide la thérapie de groupe pourrait
être préférable. ( et encore pourquoi quelqu'un qui ne
prends pas de traitement
psycotropes se suisciderait forcément ???)

Mon expérience confirme les dires de la NHS britannique, la thérapie de groupe pour moi ça a été des amis autistes asperger qui me
comprennent, qui
m'ont apporté joie et bonheur, calme et sérénité que les psychotropes qui
étaient censés maider ne m'ont apportés EN RIEN.

Les médicaments ne remplacent pas la vie réelle et le bonheur réel.

Egalement ma mère
présente des effets secondaires graves qui ont été identifié par de nombreux
témoignages et je les ai subis aussi sous ce traitement : la Fluoxétine rends très agressif et
colérique.

Celà fait des années que ma mère crie tout le temps et me
hurle dessus et j'arrive souvent à garder le plus grand calme mais parfois, souvent au bout de trois jours de hurlements permanents je craque et on se dispute.
Ma mère croit que je la harcèle mais c'est elle qui ne
comprends pas qu'elle est colérique
et crie tout le temps.

Celà est allé loin car sous des traitements lourds et avec mon autisme je n'ai pas
pu décrire ma souffrance et le CMP a inversé avec ma mère les faits pour qu'ils
retombent sur moi.

Je pense que ma mère est autiste asperger comme moi, elle crie depuis qu'elle est jeune, son frère et sa Seur
lui en veulent et ma cousine m'a témoigné que ma tante lui en veut encore toutes ces
années après

A la fois je le savais
comme vrai car je le
subis de sa part, mais en même temps je suis loyal
envers ma mère et souhaite sincèrement l'aider.

Le CMP de X ne fait pas son travail desoin.

Ma mère est suivie par Mme X pourquoi Mme X ne lui dit pas qu'elle est addict,
pourquoi ne lui informe-t-elle pas des effets secondaires graves que ma mėre a et
qui retombent sur moi ?

Je suis suicidaire également à cause d'un acharnement
thérapeutique de Mme X et des effets secondaires graves qui me pèsent et
qu'elle ignore malgré mes alertes, double par le harcèlement de ma mère à la maison qui elle même subit des effets secondaires graves que le CMP ignore
aussi, ce qui fait que
le CMP est complice
d'une boucle infernale qui divise notre famille.

Jai l'impression qu'on veut me détruire moi et ma mère et m'enfoncer la tête sous l'eau en permanence.

J'ai tout le temps peur.

Je me souviens avec douleur de nos disputes l'orseque moi et ma mère étions tous deux sous Fluoxétine :je
savais que la Flouxetine créeait une rage incontrolable je le disais et on ne m'écoutais pas au
CMP de X ...

Et puis dans l'effroi j'ai vu deux femmes débarquer sur ma mère et lui mettre une pression très forte pour que sois embarqué de force au
X; en effet
rien ne peut se faire sans l'accord des parents...

Ils lui ont mis une pression très forte... j'étais en
larmes, je comprenais ce qui
se jouait je disait
maman! maman! s'il te plaît ne les écoute pas!
Face à leur harcèlement
elle a craquée.

J'ai été embarqué...

La j'ai rencontré deux jeunes médecins infirmiers et calmement je leur ai expliqué ma situation
Ils ont compris que j'étais sain d'esprit et je suis sorti le
soir même très rapidement ..

la compétence médicale a
fonctionné malgré la brutalité et les méthodes moralement abjectes du CMP de X.

C'est pour ça que je voulais être suivi par vous pour mes
médicaments, car contrairement à Mme X vous êtes calme posée et censée et je me sens à l'aise avec vous et j'ai confiance.

Contrairement à Mme X
Vous êtes à l'écoute, et avec
vous je peux parler et exprimer ce que je ressens
condition nécessaire du soin
et que je ne peux pas faire avec Mme X.

Je considère que les conditions sont réunis pour que moi et ma mère vivions
heureux, jai des amis autistes/asperger qui m'aident et me comprennent, je suis dans la vie active,je cherche du travail et jai fait 6 mois de bénévolat en bibliothèque qui
m'ont épanoui énormément.

Je m'en sors mais aujourd'hui les institutions
médicales mettent des bâtons dans les roues à moi et ma mère en profitant
des faiblesses liés à notre autisme.

Pourriez vous nous aider docteur?

Cordialement

X

Les trois Mme X , la psychologue du centre hospitalier, la psychiatre du cmp et le médecin traitant   n'ont pas répondu à mes lettres ...

Le médecin traitant a , quand à elle , refusée que j'arrête progressivement et graduellement de manière sécurisée les traitements alors que l'addiction et l'effet rebond d'un arrêt brutal peuvent amener à une crise cardiaque ; d'ailleurs elle a refusée de lire la lettre quand je la lui ai présentée ...

J'ai profité de l'occasion pour la bombarder de questions , la contredire , et profité du fait qu'elle ne voulait m'accorder que 6 minutes pour la désorienter afin qu'elle me fasse une ordonnance de trois mois pour les traitements

" si vous m'assurez que vous ne pouvez pas contacter le CMP ... " oui oui allez.

Finalement je retourne voir la psychiatre et elle accepte , pour le moment , que je réduise progressivement ... mais toujours avec des doutes , des bémols , et une hypocrisie cynique très lourde et épaisse à couper au couteau ...

Quand aux gens qui sont sur le spectre de l'autisme ( TSA ) il faut savoir que l'orsequ'ils vont dans des cmp ou des centres hospitaliers on insiste très fort pour qu'ils soient suivis par des psychiatres.

Tous les amis TSA que j'ai connu prenaient des traitements psychotropes.

La vérité est peut être cruelle à entendre mais il faut la dire , nous sommes dans une société héritière du Nazisme.

Les processus d'identification , de classement , de répartition des tâches, les définitions , les discriminations , les concepts et les dogmes qui ont lieu dans les domaines scientifiques et médicaux sont énormément liés au Nazisme ; le nazi hans asperger donnera son nom au symptôme de ces étranges personnes dans le camps d'ont il voyait l"'utilité ".

Les hôpitaux psychiatriques , les centres médicaux , la volonté d'empoisonner avec des cachets dangereux , de parquer de force comme du bétail dans des camps : de faire des milliards de dollars et d'euros sur des gens qu'on discrimine tue et emposonne ... à savoir les pauvres , les vulnérables et les handicapés , voilà dans quel sens l'industrie pharmaceutique est l'héritière conceptuelle d'Auswitz et de Birkeneau...

Hitler est un prétexte utile à l'occident pour cacher  derrière cette figure historique du mal absolue  en quoi elle  en est directement l'heritière.

Tous les ans des centaines de milliers de personnes meurent à cause de l'industrie pharmaceutique.

Malgré les articles scientigiques , malgré les lanceurs d'alertes, malgré les milliers de témoignages, malgré les procès , malgré les dégâts et malgré les morts dans un nombre incalculable celà continue dans l'indifférence , la notre , comme une société secrète et parallèle ....

On pourrait me rétorquer que j'exagère. Je n'exagère pas.

Il est écrit sur bon nombre de notices de médicaments psychotropes - " effet secondaire : mort ". D'où le titre du livre ..

Comment pourraient-ils être plus clair ?

Et vous ?

toutes ces victimes ? tous ces morts ? , tous ces gens empoisonnés lentement mais sûrement que vous croisez dans la rue , en avez vous quelque-chose à faire ?

Combien de temps laissera-t-on cela continuer ? ....

Livre intéressant, bien documenté et très accessible.