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Robert Langdon (Brown) tome 4 sur 5
EAN : 9782709643740
565 pages
J.-C. Lattès (15/05/2013)
  Existe en édition audio
3.9/5   3124 notes
Résumé :
Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard, se réveille en pleine nuit à l'hôpital. Désorienté, blessé à la tête, il n'a aucun souvenir des dernières trente-six heures. Pourquoi se retrouve-t-il à Florence ? D'où vient cet objet macabre que les médecins ont découvert dans ses affaires ? Quand son monde vire brutalement au cauchemar, Langdon décide de s'enfuir avec une jeune femme, Sienna Brooks. Rapidement, Langdon comprend qu'il est en possession d'un messa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (398) Voir plus Ajouter une critique
3,9

sur 3124 notes
Qui est capable en 500 pages de vous proposer une visite guidée de Florence, puis de Venise, pour finir à Istanbul, avec pour compagnons de voyage un spécialiste de la symbolique et une surdouée mystérieuse? Avec en prime une esquisse des idées fondatrices du transhumanisme? Dan Brown, bien sûr! le tout intégré dans une intrigue bien ficelée avec fulgurances et rebondissements, pour séduire et accrocher le lecteur.

Bilan :

On aime l'aspect pédagogique, la documentation sérieuse restituée de façon conviviale à la fois sur les trésors artistiques des villes évoquées, et l'utilisation de la Divine Comédie de Dante comme trame de l'énigme. Tout ça est très bien amené.

On aime moins, beaucoup moins, le style grandiloquant, les emphases au kilo, qui fleurent le scénario d'un film déjà prévu. Les intuitions du personnage principal, amnésique, et ses "bon sang, mais c'est bien sûr!" qui excluent totalement le lecteur d'une participation à la résolution de l'intrigue.

Comme pour Da Vinci code, ici encore, le succès que le battage médiatique ne manquera pas d'occasionner sera sans commune mesure avec la valeur littéraire du produit. Par contre sympa en tant que roman pour la plage,avec pour prétexte culturel l'initiation à la Divine Comédie, à travers l'écrit de Dante ou le tableau de Botticelli.
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Et si c'était un vrai problème dont personne ne se soucie actuellement ?

J'ai été marqué par les motivations du « méchant » dans cette histoire, qui se considère comme le sauveur de l'humanité, un héros ! Son objectif consiste à répandre un virus afin d'annihiler une grande partie des êtres humains de la planète pour limiter la croissance démographique meurtrière qui nous emporte irrémédiablement vers notre fin.

La démonstration de Dan Brown sur les problèmes démographiques de notre planète fait froid dans le dos. Un peu comme Al Gore, à l'époque, avec sa démonstration implacable sur le réchauffement de la planète et ses conséquences.

Il a fallu plus de 6000 ans à l'homme pour atteindre une population d'un milliard d'habitants sur la planète. Depuis la démographie évolue de manière exponentielle, 2 milliards d'êtres humains en 1920 et déjà le double, à peine 50 ans plus tard. 4 milliards en 1970 et nous sommes sur le point d'atteindre les 8 milliards prochainement. Les ressources sur terre sont correctement adaptées pour 4 milliards de personnes maximum, oupss…

A l'évidence, à ce rythme, il ne faut pas être divin pour comprendre qu'à l'échelle de notre planète et non pas celle d'une durée de vie humaine, ca va mal finir et il ne faudra probablement pas plus d'une ou deux centaines d'années pour que tout le système implose et comme dirait Dan Brown: «Alors viendra le règne de la bête en nous... la lutte à mort pour nourrir notre progéniture »

J'ai personnellement beaucoup aimé ce livre, une intrigue pleine de rebondissements, une histoire qui file à cent à l'heure, on ne s'ennuie pas une seconde et j'ai passé un très bon moment à dévorer ce bouquin.

Je n'ai pas trouvé gênant les descriptions des bâtiments historiques de Florence et Venise, ça participe à nous immerger dans l'ambiance. L'idée était intéressante d'ajouter à cette aventure ce fil conducteur rattaché à la vie de Dante Alighieri et son ouvrage « La Divine Comédie ».

Buona lettura, ciao tutti e non dimenticare : Mangia la pasta che ti fa bene !
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Lire un Dan Brown, c'est comme regarder un James Bond ou un Mission Impossible, le beau mec en moins... mais l'érudition en plus !

Aucun doute, il ne s'agit pas de grande littérature, et les émissions littéraires s'en sont donné à coeur joie, à grand renfort d'informations sur les traducteurs confinés dans leur bunker ou de citations lyriques des pires lieux communs. Cela dit, si j'ai bien ri en écoutant le masque et la plume se moquer d'Inferno, j'ai aussi passé un bon moment lors de ma lecture.

Déjà parce que j'ai pu visiter 3 villes en une semaine : Florence, Venise et Istanbul, et que je n'ai qu'une hâte, y retourner pour voir de mes propres yeux les oeuvres d'art de la salle des Cinq Cent, la merveilleuse Sainte-Sophie ou les berges du Bosphore.

Ensuite parce que j'ai trouvé la problématique sous-jacente, celle de la surpopulation, tout à fait intéressante. J'avoue que je ne sais pas aujourd'hui si le transhumanisme est un courant scientifique réel ou inventé pour les besoins du livre, mais j'ai envie de me pencher un peu plus sur ces thèmes et sur mes vieux cours relatifs aux théories malthusiennes.

Enfin parce que c'est très prenant et plutôt agréable à lire. La psychologie des personnages et le style ont beau être infernaux, les ficelles bien grosses et pas en zébulon (ou quel que soit le nom de ce plastique qui s'autodétruit), et les clichés ridicules ultra-présents (mention spéciale à la surdouée qui souffre et au tueur à gage qui fait une allergie à sa fausse barbe), j'ai marché. Ou plutôt j'ai couru, j'ai volé, j'ai fait de la mobylette et du hors-bord avec Robert Langdon pour sauver le monde.

Challenge PAL, challenge Pavés 12/xx et challenge Multi-Défis 6/xx
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Le "Da Vinci Code" fut le seul et unique roman de Dan Brown que j'ai lu et c'était à l'époque de sa sortie en France, lorsque tout le monde en parlait. Depuis, j'étais un peu passé à autre chose, si ce n'est un très bref retour vers cet auteur au travers des deux films adaptés de ses romans.

La tentation de replonger dans l'univers de cet écrivain s'est faite sentir en voyant cet ouvrage en rayon et c'est sur un coup de tête doublé d'un intérêt pour Dante que je suis rentré chez moi avec un exemplaire.

Très vite, dès les premières pages, j'ai retrouvé les sensations de lecture du "Da Vinci Code", d'autant que l'on retrouve Robert Langdon, le désormais célèbre professeur de symbologie.
Pour être plus clair, l'écriture ne casse pas trois pattes à un canard, ce n'est pas de la grande littérature mais ça tout le monde le sait depuis longtemps en ce qui concerne Dan Brown. Pour autant, ça se laisse lire. Même si je n'irais pas jusqu'à dire que c'est agréable...
Le véritable talent de Dan Brown, c'est de produire de vrais page-turner. J'ai eu autant de mal à lâcher "Inferno" ce weekend qu'à lâcher le "Da Vinci Code" à l'époque. Un bon point donc !

On retrouve également la structure narrative du "Da Vinci Code" (et peut-être des autres romans de Dan Brown, je ne saurais le dire sans les avoir lu) c'est-à-dire un récit mélangeant les ingrédients d'un thriller des plus convenus à une flopée d'anecdotes historiques, de références artistiques (peintures, sculptures, ouvrages littéraires, etc...) et de visites guidées.

J'aurais tendance à dire que ce roman est très visuel dans le sens où l'on parcourt les rues de Florence, les musées, les lieux historiques aux côtés de Robert Langdon et Sienna Brooks et qu'assez vite on ressent une certaine frustration de ne pas voir de nos propres yeux ce que Dan Brown décrit dans son livre.
Cela est d'autant plus vrai lorsqu'il aborde des oeuvres d'arts telles que le tableau de Bouguereau "Dante et Virgile" (1850), la "Carte des Enfers" de Botticelli ou encore "La Porte du Paradis" de Ghiberti. L'histoire perds vite de son intérêt si l'on ne connait pas ces oeuvres ou si on ne les a jamais vu.
Certes, il évoque des oeuvres très connues, mais aussi d'autres qui le sont beaucoup moins (tout dépend aussi de la culture de chacun) que j'ai eu le plaisir de découvrir (grâce à Google essentiellement). Dès lors, j'aurai un reproche propre à ce genre de roman, c'est de ne proposer aucune annexe photographique pour justement présenter rapidement et facilement ces oeuvres. Car, Langdon est bien gentil de nous décrire tout cela, mais rien ne vaut un objet d'art vu par soi-même.

En fin de compte, même si Dan Brown n'est pas pourvu d'une plume exceptionnel, il n'en reste pas moins un bon illusionniste. Et là encore, on en revient au caractère visuel de son roman. Il parvient une fois de plus à réunir des lieux mythiques, très connus de tout ceux qui voyagent, des oeuvres incontournables (à commencer par la "Divine Comédie" de Dante), et à s'en réapproprier les mystères, les questionnements, les zones d'ombres pour créer l'illusion que tout est relié et ainsi faire avancer Langdon pas à pas, au fur et à mesure qu'il déchiffre les énigmes et tout cela dans le but de servir son intrigue. Et ça marche plutôt bien, d'autant que si l'on retire tout ça, l'intrigue devient plutôt banale et sans saveur.

On trouvera certainement beaucoup à lui reprocher, des inexactitudes, de la désinformation, des contre-vérités, etc...comme à l'époque du "Da Vinci Code", à n'en pas douter, des auteurs surferont sur le roman pour publier leur "ouvrage de décryptage"...
En ce qui me concerne, c'est un livre sans prise de tête, qui m'a fait passer un bon weekend de lecture, au calme, qui a enrichi quelque peu ma culture artistique et qui m'a plutôt bien diverti : j'en demandais pas plus en l'achetant !
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C'est certain ! Dan Brown sait écrire des romans. Non pas que nous soyons dans le domaine de la grande littérature, ni peut-être même dans les chef-d'oeuvre reconnus du genre « polar ». En revanche quant il s'agit de tenir le lecteur en haleine dès la première page et de ne plus le lâcher au cours des six cent pages qui suivent, il faut bien lui reconnaître une certaine compétence.
En ce qui concerne le titre, « Inferno » représente la première partie de la « Divine Comédie » de Dante Alighieri, qui en comporte trois :
- Inferno
- Purgatorio
- Paradisio
Le ton est donné.
Dans ce poème mystique, Dante raconte son voyage en enfer, réussissant ensuite à s'échapper pour continuer vers le purgatoire et enfin arriver au paradis…

La plupart d'entre-nous a retenu l'enfer à l'atmosphère très marquante. Dan Brown va s'appuyer sur ce texte et sur les capacités de son symbiologiste – Robert Langdon – pour exposer comme dans la plupart de ses romans trois éléments de construction du suspens et de l'intérêt du lecteur :
- Des lieux
- Une énigme
- Une théorie (dont bien sûr on peut débattre)
Dan Brown n'apporte pas de solution, mais pose des questions. Bien sur, pour la véracité de l'a solution, il lui faudra bien prendre des options, mais l'ensemble reste très ouvert.

Je ne chercherai pas, dans ce commentaire à raconter l'histoire ou l'énigme. Ceci a déjà été fait et c'est également très compliqué.
En revanche, il me semble intéressant de bien identifier, au centre du livre, le ou les sujets de fond : Une théorie sur la surpopulation due à l'allongement de la durée de vie, les soins améliorés en fin de vie, l'expansion exponentielle des populations si aucun incident n'intervient et donc aux idées Malthusianistes et transhumanistes !

Ces idées sont posées là et ne prendront que peu de lignes par rapport au traitement de l'énigme et surtout par rapport à l'importance donnée aux lieux et à leur histoire :
Florence, Venise et enfin Istanbul sont explorées à travers leurs monuments et leur histoire.
Si on lit toutes les lignes, on fait vraiment du tourisme avec des descriptions, des références historiques ou artistiques nécessaires. Cela peut un peu éloigner de l'énigme mais reste très documenté et intéressant.

Quant au style, il est parfaitement maîtrisé pour satisfaire un lectorat ciblé et déjà bien identifié.
C'est clair et très lisible. La même scène est répétée, décrite plusieurs fois au fil du texte (Ex : la diffusion de la vidéo de Bertrand Zobrist) et chaque fois, l'auteur ajoute un détail qui nous était encore inconnu.
Le nombre de coups de théâtre est impressionnant et s'accélère bien sûr vers la fin de l'ouvrage. Tous les héros deviennent ou sont présentés à un moment ou à un autre comme traîtres ayant bien caché leur jeu.

Cela devient une des clés de lecture.
Bref, c'est un ouvrage agréable (sauf si l'on a décidé que l'on était allergique à Dan Brown)
Je maintiens mon avis. Ce n'est pas de la grande littérature, mais c'est de la bien belle ouvrage…
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critiques presse (4)
Culturebox
08 juillet 2013
Roman haletant de 565 pages, "Inferno" plonge le lecteur dans "L'Enfer" de Dante mais traverse aussi des sujets très contemporains comme la menace d'une pandémie ou la problématique de la surpopulation.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LesEchos
05 juin 2013
Un peu comme la Grande Peste du XIV e siècle avait éliminé la moitié de la population terrestre avant que jaillisse la Renaissance. Robert Langdon parviendra-t-il à empêcher le déferlement de l'enfer sur terre ? Et, au fond, est-ce souhaitable ? Diabolique…
Lire la critique sur le site : LesEchos
LaPresse
03 juin 2013
Comme lecteur, on se sent floué et (malhonnêtement) manipulé. Pourtant, et c'est la magie de Dan Brown, il est impossible de lâcher Inferno dès qu'on y a mis un pied - et un oeil.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Lexpress
23 mai 2013
Avec nombre de morceaux d'italien en VO, le livre oscille aussi entre guide touristique de base et leçons sur l'histoire de l'art parfois trop copieuses. [...] Voilà donc un bon pavé pour la plage, ni plus ni moins. Tout ça pour ça...
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (167) Voir plus Ajouter une citation
Tous les grands péchés évoqués par Dante - l'envie, l'avarice, la traitrise et les autres - vont se propager à travers l'humanité, remonter à la surface de chaque individu, exacerbés, amplifiés, parce que nous pleurerons notre confort perdu. Nous sommes à l'aube d'une grande bataille : sauver nos âmes.
- Je suis biologiste. Je sauve des vies.... pas des âmes.
- Sauver des vies, je vous le répète, va devenir de plus en plus difficile dans les années à venir. La surpopulation ne va pas engendrer que des problèmes moraux. Vous savez ce que Machiavel dit à propos de la peste, des famines et des inondations ?
- Oui :"Lorsque le monde a surabondance d'habitants, lorsque la terre ne peut plus les nourrir, quand la malice et la fausseté humaines sont à leur comble, la nature, pour se purger, se sert de l'un de ces trois fléaux." Tout le monde à l'OMS connait cette citation !
- Tant mieux. Les épidémies, pour Machiavel, sont donc un processus naturel de régénération de la nature.
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-Mais cela semble impossible.
-Pas impossible, Robert...Impensable. L'esprit humain a un système de défense primitif pour oblitérer des faits trop stressants que le cerveau ne saurait gérer. Cela s'appelle le déni.
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Je crains que vous ne mesuriez pas à quel point la surpopulation va affecter l'âme même des Hommes. Sous la pression démographique, ceux qui n'ont jamais eu le tempérament d'un voleur vont se mettre à voler pour nourrir leur famille. Ceux qui n'ont jamais tué vont le faire afin de protéger leur progéniture. Tous les grands péchés évoqués par Dante - l'envie, l'avarice, la traitrise et les autres - vont se propager à travers l'humanité, remonter à la surface de chaque individu, exacerbés, amplifiés parce que nous pleurerons notre confort perdu. Nous sommes à l'aube d'une grande bataille : Sauver nos âmes.
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- Le Vatican me déteste.
Langdon haussa les sourcils.
- Vous aussi ? Je pensais être le seul.
Elle eut un sourire triste.
- L'OMS fait de la contraception une priorité sanitaire - à la fois pour éviter la propagation des MST et pour limiter la démographie galopante de la planète.
- Mais le Vatican ne partage pas votre avis.
- C'est le moins que l'on puisse dire. Ils ont dépensé des fortunes pour endoctriner les pays du tiers-monde et leur faire croire que la contraception était le mal incarné.
- C'est sûr qu'une bande d'octogénaires célibataires est la mieux placée pour expliquer aux gens comment gérer leur vie sexuelle, ironisa-t-il.
Le Dr Sinskey appréciait de plus en plus ce professeur.
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J’ai fait un peu de biologie, poursuivit-elle. Et il est très courant qu’une espèce s’éteigne simplement parce qu’elle est trop nombreuse pour un environnement donné. Imaginez une colonie d’algues de surface, vivant dans une mare au milieu d’une forêt, profitant de l’équilibre miraculeux des nutriments que lui offre le bassin. Mais sans système de régulation, elles se développent tellement qu’elles finissent par recouvrir toute la mare, occultent les rayons du soleil et empêchent ainsi le développement des nutriments dans l’eau. Après avoir pompé toutes les ressources de leur environnement, les algues meurent rapidement et disparaissent sans laisser de traces. C’est le même sort qui attend l’humanité, soupira-t-elle. Et cela arrivera bien plus vite qu’on ne le pense.
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Videos de Dan Brown (31) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Dan Brown
Extrait du livre audio « Anges et Démons » de Dan Brown, traduit par Daniel Roche, lu par François Montagut. Parution CD et numérique le 10 mai.
https://www.audiolib.fr/livre/anges-et-demons-9791035411671/
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