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3,9

sur 3130 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Lorsque DaVinci Code est sorti en librairie, je m'étais laissée tenter par ce roman plébiscité par les lecteurs. Ma déception avait été à la hauteur de mes attentes : un style banal, une fin ridicule, des répétitions à outrance...

Mais je déteste rester sur un mauvais a priori, d'autant plus que mon père aime cet auteur et qu'il a bien du mal à comprendre mes réticences. Aussi j'ai eu envie de donner une seconde chance à Dan Brown et j'ai chipé Inferno à mes parents.

Mon avis n'a hélas pas changé. Je me suis terriblement ennuyée ! L'histoire démarre lentement, très lentement. L'intrigue se met vraiment en place au bout de 200 pages (pour un thriller, c'est tout de même long).

Il ne se passe pas grand-chose jusqu'à un retournement de situation médiocre.
Après ce premier twist, un second qui là me plaît beaucoup parce que je ne l'avais pas vu venir. Je me suis fait avoir, ça me plaît bien. Oui mais ça ne dure pas car Dan Brown balance un nouveau rebondissement qui affadi terriblement l'histoire :

L'histoire est plate, sans saveur, sans rythme. Et l'auteur s'égare en permanence en proposant une visite guidée des hauts lieux de Florence, Venise et Istanbul. J'ai eu l'impression de lire le Guide du Routard. J'étais venu chercher du suspense, pas une description de toutes les statues se trouvant dans le jardin de Boboli. Si au moins ces infos servaient l'intrigue mais ça n'est pas le cas. J'ai eu l'impression que l'auteur avait envie d'étaler sa culture et de signifier à ses lecteurs qu'il s'était rendu sur place avant d'écrire son livre. Mais de là à indiquer le nom des rues et des carrefours...

Et une fois de plus Dan Brown répète les mêmes infos au moins dix fois. S'il ne se répétait pas autant, le livre serait amputé de 100 pages. J'avoue d'ailleurs que j'ai fini par sauter les passages où il décrit la caverne parce que je n'en pouvais plus.

J'ai mis pratiquement deux semaines pour lire Inferno ce qui est révélateur de mon ennui (les thrillers, d'habitude, je les gobe). et j'ai poussé un profond soupir de soulagement quand j'ai lu la dernière ligne.
Je pense que je vais laisser passer un peu de temps avant de retenter l'expérience avec cet auteur.
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Très habilement écrit le livre est haletant et se lit d'une traite mais l'alchimie ne prend pas.

Trop d' invraisemblances nuisent à l'intrigue et le lecteur finit par ne plus adhérer à l'histoire.

Un livre et une dépense dont on peut aisément se passer

Dur dur de rester au sommet : reste matraquage éditorial (malhonnête )

ps: la tête de la gorgone dont parle Dan Brown n'est pas posée à l'envers pour que ses pouvoirs soient anéantis mais pour que se reflétant dans l'eau elle soit vue à l'endroit

vite passons à autre chose
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Il y a quelques années, comme un grand nombre de gens, j'ai succombé à la Da Vinci Code mania. En peu de pages je fus transportée par l'univers de l'auteur. J'ai dévoré littéralement le livre et je m'étais laissée amener dans les péripéties de Robert Langdon. L'action était au rendez vous, les énigmes palpitantes.

Nous voici en 2013. Derrière le comptoir de la boutique, je vois arriver un énorme stock du nouveau "Best Seller" de Dan Brown. Succès garanti! Les livres s'arrachent comme des petits pains! En bonne vendeuse que je suis je me laisse donc tentée par l'aventure! Je veux pouvoir en discuter avec mes clients!

Après 3 semaines de dur labeur, que dis-je! de corvée. J'ai enfin terminé! Mais Pouquoi ai-je ouvert ce livre!

Déçue: L'histoire n'a aucun sens! Elle est complètement tirée par les cheveux. Petit récap': Robert se réveille dans un hôpital de Florence, amnésique. Quelqu'un a tenté de le tuer! Accompagné par d'une jeune doctoresse, Sienna Brooks, il entreprend une course poursuite dans Florence. Si le suspense tient en haleine le lecteur pendant les premiers chapitres c'est parce qu'il ne sait pas ce que cherche Langdon! Hélas une fois que l'on apprend la nature de la quête, l'histoire perd tout son intérêt! Et en devient même invraisemblable.

Si les rebondissements étaient réussi dans Da Vinci Code, ici ce n'est pas le cas! On les sent venir vingt pages à l'avance! Je ne veux pas parler des longueurs monstrueuses, des explications à n'en plus finir! 564 PAGES! Pour une histoire, qui simplifiée, aurait été dix fois meilleure!
Lien : http://livracroquer.wordpres..
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De tous les Dan Brown incluant Robert Langdon, Inferno est de loin le plus mauvais. Je conservais un bon souvenir du Da Vinci Code et du Symbole perdu, aussi ai-je abordé ce roman avec un a priori favorable. Quelle n'a pas été ma déception !
L'intrigue démarre d'une manière classique. Langdon, blessé à la tête, se réveille dans un hôpital de Milan. Il ne se souvient pas des trente-six dernières heures et apprend, à son grand désarroi, qu'on a tenté de le tuer. Ce début, disais-je, est des plus classiques, mais on a quand même envie de savoir le pourquoi du comment. Sauf que lorsque le romancier daigne enfin éclairer la lanterne du lecteur, le récit perd toute saveur, tout intérêt.
Il présente la même trame que les autres romans incluant Langdon. De nouveau, le lecteur est entraîné dans une course poursuite, une recette qui devient lassante. Rien de nouveau sous le soleil de Milan et d'Istanbul, donc. Mais ce n'est pas le pire : l'intrigue est tout sauf plausible, elle progresse difficilement et non sans longueurs superflues, les personnages (excepté Langdon, quand même !) sont tous plus caricaturaux et inintéressants les uns que les autres.
Entre une jeune femme sexy sortie de nulle part pour épauler Langdon (comme d'habitude) et qui pourrait largement être sa fille, un méchant risible rien qu'à cause de son nom (et je ne parle pas du reste) et une égocentrique qui passe le roman à se lamenter sur sa stérilité, on aura tout vu.
Le pire, à mon sens, n'est autre que Bertrand Zobrist, le méchant, qui est loin d'avoir la pointure et la distinction d'un Teabing. Zobrist est un scientifique qui veut régler le problème de la surpopulation mondiale au moyen d'un virus (spoiler !). A travers lui, Dan Brown ridiculise les partisans d'une décroissance démographique pourtant vitale pour la planète et pour l'humanité. (Voir Isaac Asimov, le plus grand auteur de SF du siècle dernier). Pour diminuer la population, la solution n'est évidemment pas un virus, mais la diminution de la natalité. Sauf qu'avec un livre comme Inferno, la décroissance ne prête plus qu'à sourire. Merci Dan Brown.
Voilà un roman qui sent l'opportunisme à plein nez. Pourtant, les millions déjà engrangés par l'auteur devraient lui suffire, non ?
Circulez, amis lecteurs. Il n'y a rien à voir.
Pour Milan et Istanbul, je vous recommande un guide touristique.
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Nous retrouvons le héros récurrent de Dan Brown, Robert Langdon, dans un hôpital où il se réveille amnésique. Il a oublié ce qui s'est passé les 48 dernières heures. Un comble pour ce professeur à la mémoire phénoménale. Et là, tout s'emballe. Il est témoin, avec le médecin qui s'occupe de lui, de l'assassinat d'un autre médecin du service et il se retrouve à devoir quitter à toute vitesse cet hôpital. C'est donc parti pour une histoire qui démarrait sur les chapeaux de roues.. Mais qui ne tiendra pas ses promesses !
Il y a trop de descriptions qui trainent en longueur et qui plombent le rythme du livre. J'ai eu l'impression, en tout cas dans toute la partie de l'histoire où ils sont à Florence, c'est-à-dire les 2/3 du livre, de lire un guide du Routard. Avec des descriptions plus que détaillées des diverses places, musées et monuments. Bien entendu, ce n'est pas le Guide du Routard que je voulais lire, mais un roman. Sans compter les explications plus qu'exhaustives de périodes historiques liées aux recherches des personnages. J'adore l'Histoire, mais là vraiment c'était trop.
J'ai failli le refermer plus d'une fois, mais l'intrigue me plaisait, car elle pose une question d'actualité qui me fait beaucoup réfléchir en ce moment : la surpopulation grandissante et la diminution des ressources pour faire vivre tout ce monde. Je ne pense pas que cela me touchera vraiment, mais je pense à mes enfants et à leurs enfants. En effet, d'après tous les experts, la population ne va faire que grandir et de façon exponentielle tandis que nos réserves d'eau, de terrains cultivables, d'animaux ne font que décroitre. Il faut donc essayer de trouver des solutions. Bon, la (les) solution(s) évoquée(s) et trouvée(s) dans ce livre ne sont peut-être pas les bonnes, mais ce livre a au moins le mérite de parler du problème.
Du fait de tout ce temps passé dans les descriptions de Florence, la fin se fait sur peu de pages et me laisse une impression de travail bâclé. Je ne dirais pas que je suis restée sur ma faim, car la conclusion est bien là, mais vraiment trop rapidement.
J'ai bien fait de ne pas l'acheter. On me l'a prêté, je l'ai lu et tout est dit.
Lien : http://saveursetlectures.com..
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je n'ai pas du tout accrochée j'ai abandonnée a la page 370 j'en voyais pas le bout . je n'ai pas du tout retrouvée l'épopée que j'avais vécue lors de ma lecture du DA VINCI CODE. J'ai eu plutot l'impression qu'on me prenait pour une touriste j'ai plus appris sur les monuments de Florence que sur l'histoire en elle même . une réelle déception .
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on prend DaVinci Code et on recommence! un binôme (homme,femme),une intrigue vaguement historique, un auteur qui n'a jamais mis les pieds ni à Florence, ni à Venise, et qui situe Istamboul en Europe et le tour est joué. Que des déceptions
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Où est l'excitation du premier Langdon ?.. Introuvable depuis le deuxième opus. Certes, c'est toujours aussi bien écrit, les lieux sont agréablement bien présentés, les personnages assez charismatiques... Mais c'est toujours la même histoire, toujours la même rengaine, toujours la même manière de faire. Et c'est triste de gâcher autant de talents !
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« Je vous fais le don de l'espoir », déclare un curieux personnage du dernier roman de Dan Brown, tout en préparant pour l'humanité un présent à sa façon, dont on se doute dès les premières pages, qu'elle se passerait bien d'une telle attention. C'est aussi la promesse que tout auteur fait à ses lecteurs, mais, au fil des pages d'Inferno, on se demande si l'infertilité - virus ou non - n'a pas déjà touché le romancier d'une aventure décidément sans suspense, mettant en scène, pour la énième fois, un universitaire que la carrière menait aussi certainement vers la rédemption du monde qu'Hercule Poirot à la culture de cucurbitacées dans un cottage anglais. Il ne suffit pas de donner rendez-vous, dans la ville de Florence, à Dante Alighieri, pour que la conversation soit intelligente. Il ne suffit pas de retourner sa Divine Comédie en une énigme illogique pour qu'un roman génial naisse. Pour reprendre l'effroi de Robert Langdon (page 120), résumons ce dernier opus des mots du héros : « Botticelli sur des toilettes ! ».

(Parue dans Blake n°59)
Lien : http://tmblr.co/Z4Dxcn1EvIvW9
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Je ne l'ai pas encore commencé mais l'edition Illustrée est magnifique en tout cas. Ce sera très plaisant je pense de lire cette édition ci.
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