Les textes évoquent le pays, un Indien, un Guru, un dieu, s’inspirent d’un fleuve, une prière, un lieu ou une écriture. Seul point commun, leurs auteurs ont tous, d’une manière ou d’une autre, succombé à l’amour du sous-continent. De l’Inde, certains ont rapporté des souvenirs, beaux ou tragiques, d’autres y ont consacré leur vie, d’autres encore en ont fait une carrière universitaire.
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Des éléphants entourent un Maharadjah dans son carrosse. Des majordomes en livrée blanche gardent un espace protégé. Juste devant, des chanteurs enturbannés d'orange sont assis en cercle autour de parchemins, le visage illuminé par des torches. L’image est ensorcelante. Nous nous frayons un passage jusque devant la scène, espace banalisé, à quelques centimètres du sol, traversé, par tout un chacun, en grand désordre. Je ne vois pas de différence entre le public et les acteurs, tous se mélangent allègrement !