Un Québécois nous fait redécouvrir ce qu'est vraiment la solidarité et l'entraide à travers des expériences qu'il a vécues avec des Cubains. Il nous raconte, dans un style simple mais généreux comment il a fini par combler le vide de sa vie en aidant les autres à mieux-vivre et en les rendant autonome par la réalisation de leur rêve. L'auteur nous fait découvrir avec simplicité comment il a trouvé dans ce pays sa vraie famille. Il nous raconte aussi les amitiés qu'il a créées avec des gens d'autres pays, tous amoureux de Cuba, comme Youri, le russe. le livre est bilingue français-espagnol. Si l'on connaît un peu le pays et sa culture, on retrouve dans ce court roman la chaleur et la couleur des gens de cette île.
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C'est à travers les yeux d'un Québécois, en quête d'amour et d'amitié, qu'on découvre la magnifique île de Cuba et ses habitants. Fait à noter, il s'agit d'un livre bilingue; le roman en français est suivi de la traduction espagnol de Victor Mozo.
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-- Un jour, une de mes élèves, âgée de 17 ans, m’annonce qu’elle va se faire tatouer. Je lui demande alors quelle musique elle aimait lorsqu’elle avait 15 ans.
-- Qu’a-t-elle répondu?
-- Elle m’a répondu qu’elle avait trop honte de me le dire. Je lui ai dit que ce serait peut-être la même chose avec son tatouage.
Ma mère avait peur que je n’aime pas Bill, parce qu’il n’est pas très intello, mais j’ai beaucoup de plaisir à converser avec lui. Les intellos n’ont pas le monopole de l’intelligence et Bill et Dany sont plus allumés que la plupart de ceux que j’ai connus.
J’adore l’hospitalité des Cubains. Dans ce pays, personne ne s’ennuie. Même les invalides, qui sont confinés à leur maison, reçoivent de la visite toute la journée durant.
Être cultivé, c'est la seule façon d'être libre (José Marti- poète national cubain)