AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Verdorie


Quand pendant une nuit pluvieuse, un agent de police dépose un individu extrêmement maigre et atteint d'une maladie rare chez le docteur Max Harrow, ce dernier ne se doute pas que cet homme (SDF ?) va complètement chambouler sa vie. Victime d'horribles cauchemars depuis la mort de son jeune fils, le premier fragment qui troublera l'esprit analytique de Max se trouve dans le poing fermé du supposé clochard...

S'ensuit une enquête intrigante qui repose presque entièrement sur les déductions du médecin et les maigres éléments peu concevables dont il dispose.

La composante science-fictive dans cette novella (de 110 pages), parue pour la première fois en 1963 reste... théorique ?... à moins qu'on décide, à la lecture, d'adhérer aux considérations "prémonitoires" et les réflexions du narrateur... ainsi que à ceux de l'auteur qui exprime à travers ce récit sa crainte obsessive des conséquences et retombées nucléaires.
Parce que la question essentielle que Max (ou Brunner) se pose et le constat auquel il arrive, demandent qu'on le croit ! ...faute de quoi... est-ce que nous risquons pas (un jour) de manquer de temps ?

Je ne vous dis évidemment pas ce que j'ai pensé de la fin de cette histoire qui se lit comme un bon thriller... il convient à chacun d'en tirer sa propre conclusion, a l'instar de Max...
Commenter  J’apprécie          592



Ont apprécié cette critique (52)voir plus




{* *}