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Les enfants de Jessica tome 1 sur 2
EAN : 9782754803533
40 pages
Futuropolis (06/05/2011)
3.81/5   31 notes
Résumé :
Neuf ans après la fin du Pouvoir des innocents, Luc Brunschwig et Laurent Hirn lui donnent une double suite, avec deux séries distinctes : Les Enfants de Jessica et Car l'enfer est ici (à paraître en août 2011).Le Pouvoir des innocents se passait en 1997 et évoquait l'accession à la tête de la ville de New York, de Jessica Ruppert, grande humaniste. Nous sommes maintenant en 2007, Jessica, leader de l'opposition démocrate, est devenue la secrétaire aux affaires soci... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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« le Pouvoir des innocents se passait en 1997 et évoquait l'accession à la tête de la ville de New York, de Jessica Ruppert, grande humaniste.
Nous sommes maintenant en 2007, Jessica, leader de l'opposition démocrate, est devenue la secrétaire aux affaires sociales du nouveau gouvernement, et de surcroît son premier membre !
Elle s'apprête à prononcer dans l'hémicycle du Congrès à Washington, un discours qui s'annonce déjà comme historique ! Toutes les télévisions et radios sont en place, les citoyens à l'écoute, ses ennemis à l'affût.
Pour opérer une révolution totale dans la façon de penser la politique du pays, afin de sortir de l'économie de marché, de la mondialisation et d'intégrer l'urgence écologique, elle va proposer 200 projets de réforme pour une société plus juste.
Mais, avant même de pouvoir commencer, c'est d'abord dans une lutte acharnée contre ses adversaires politiques, qu'elle doit se jeter… » (synopsis éditeur).

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Avec cette nouvelle série qui débute, Luc Brunschwig et Laurent Hirn prolongent le Pouvoir des Innocents. Près de 10 ans après la sortie de Sergent Logan (tome 5), nous accédons à la suite annoncée (voir dossier de presse du tome 5) de cette série. La publication d'un second spin-off (!!), Car l'enfer est ici, débute en août prochain (story-board réalisé par Laurent Hirn et mis en images par David Nouhaud ; ce sera pour nous l'occasion de découvrir le parcours de Joshua Logan depuis la fin du Pouvoir).

Dans un billet publié en mars 2010 sur le blog de Futuropolis, Luc Brunschwig revient sur cette démarche :

" Lorsque nous avons fini le Pouvoir, nous nous sommes demandés ce qu'allait devenir ce New-York uchronique entre les mains bienveillantes de Jessica Ruppert. On ne voulait qu'en avoir une idée, juste comme ça, pour se rendre compte. On s'est projetés en 2007, soit dix ans après les événements racontés dans notre série. On y a vu des choses passionnantes, un contexte social et politique complètement bouleversé par la présence sur l'échiquier de cette politicienne qui n'aurait jamais dû avoir la possibilité de se retrouver là… et malgré notre désir de marquer définitivement le mot fin au bas du Pouvoir, on s'est promis, avec Laurent, d'écrire et de dessiner l'histoire de cette autre Amérique, une fois fini le Sourire du Clown.
On en avait même le titre : LES ENFANTS DE JESSICA.
Cependant, entre le moment où nous avons fini le Pouvoir et aujourd'hui, New-York a connu un événement majeur qu'il semblait difficile de passer sous silence : je veux bien sûr parler du 11 septembre 2001 et de ses multiples conséquences géo-politiques.
Y avait-il un intérêt à mettre l'attentat le plus médiatisé de tous les temps en perspective avec celui plus américano-américain du Pouvoir des Innocents ?
Nous avons jugé que oui et décidé de créer un cycle entre le Pouvoir et les Enfants de Jessica que nous avons baptisé : CAR L'ENFER EST ICI ".

Le résultat de cet opus de lancement fait taire les plus sceptiques qui, comme moi, sont devenus réfractaires au principe des spin-off. Mais le maître-mot pour définir cet ouvrage est « qualité », son univers est riche et percutant. Ceux qui n'auraient pas lu le Pouvoir des Innocents pourront comprendre et se saisir de cette intrigue socio-politique au ton juste. Pour les connaisseurs, le fait de savoir comment les liens entre les personnages se sont renforcés ou délités ajoute du plaisir à la lecture. Ils savoureront leurs retrouvailles avec des personnages attachants et découvrirons les événements qui ont eu lieu entre 1997 (fin du Pouvoir) et les faits relatés.

Dès les premières pages, on est pris dans le rythme du scénario. En (re)situant les faits via quelques personnages de la série-mère (Jessica, Amy, Freddy, Xuan-Maï), Brunschwig distribue le nouveau jeu de manière très fluide. Il maîtrise plusieurs niveaux du jeu narratif : de l'individu à la nation, en passant par les communautés et les lobbies. Il donne de la consistance à ses personnages, fouille leurs personnalités et leur donne la parole tour à tour. Autant d'ambiances qui seront mises en valeur par Laurent Hirn. En parallèle, le scénariste offre un regard d'ensemble sur ce nouveau monde mi-réaliste mi-fictif. Une atmosphère originale se dégage de cette uchronie sociale. Les quarante pages de l'album suffisent largement pour donner des fondations solides au récit. Comparé au Pouvoir, moins de voix-off, plus de dialogues… un univers plus mordant, plus assumé.

Au dessin, Laurent Hirn nous livre un travail aboutit. Son trait est réaliste et fouillé. On le sent à l'aise, assuré, le sentiment qu'il connaît parfaitement ses personnages. Il leurs donne une réelle présence et parvient à nous transmettre leurs émotions. Les choix de découpe de planches sont efficaces et donnent parfaitement la réplique au scénario. Agréable également le contraste entre la violence du contexte socio-politique et la douceur des visuels, offrant d'emblée une ambiance atypique et propre à cet ouvrage. J'ai vraiment apprécié les choix de colorisation où prédominent des ocres et des bleutés, ainsi que les jeux d'ombre et de lumière. le résultat attire l'oeil et incite à la lecture.

Cet album est, pour le lecteur, l'occasion de mesurer la place de Jessica dans la société au travers de plusieurs regards : collaborateurs, amis, classes sociales défavorisées… Ainsi, elle est tour à tour une femme politique incontournable portée aux nues par ses partisans et ses « enfants », ou détestée par ses opposants qui voient en elle une liberticide, antiaméricaine. Indéniablement, on perçoit qu'elle sera encore une fois au coeur d'une nouvelle intrigue politique, l'enjeu d'une lutte mortelle entre deux visions de la société.

Ce premier tome annonce une série très prometteuse. A suivre !
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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J'avoue avoir accepté assez difficilement l'idée d'une suite au Pouvoir des innocents. Cependant, étant assez ouvert par principe et surtout ayant eu la garantie directe que c'était bien voulu dès le départ, je me suis plongé dans cette lecture avec enthousiasme mais non sans un certain esprit critique qui me caractérise.

L'originalité est la sortie presque simultanée de deux séries parallèles, l'une se situant après l'attentat dont on attribue à tort la responsabilité à Joshua et l'autre se situant 10 ans après. Alors que Jessica paraît assez âgée et fatiguée dans la série mère, on la voit mal rempiler au gouvernement des Etats-Unis bien des années après ! Mais bon, passons !

Ce qui tue un peu l'intrigue, c'est le fait de savoir d'emblée que Joshua ne sortira pas de sa prison alors que c'est, je crois, tout l'enjeu de la seconde saison. N'aurait-il pas été plus judicieux de terminer tranquillement la seconde saison avant d'entamer la troisième ? Cette question mérite d'être posée.

Sur le fond, les enfants de Jessica nous présentent une Amérique bien étrange qui ne correspond pas à celle que nous connaissons en 2007. Là encore, il aurait été judicieux de mettre une date plus éloignée dans le futur mais cela aurait posé l'épineux problème de l'âge de Jessica. On devine tout doucement que ce personnage dont les desseins sont parfaitement louables doit cacher une face bien plus sombre.

Le seul gros reproche que je ferai, c'est que j'ai constaté que l'action avance assez doucement dans cette troisième saison comme pour mieux installer une nouvelle intrigue. C'est intéressant car on se tourne vers le personnage d'Amy dont la psychologie est assez fragile. Cela promet !

Pour le reste, je me répète un peu : le scénario est diablement efficace avec une absence de temps mort et le dessin est correct. le tout forme une série qu'on suivra avec plaisir ne serait-ce que pour la vision d'un nouvel aspect social et économique avec une autre alternative au capitalisme sauvage.
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Nous sommes en 2007, Jessica Ruppert, maire de New York, et secrétaire aux affaires sociales du nouveau gouvernement, s'apprête à prononcer dans l'hémicycle du Congrès à Washington, un discours (titre de ce tome) historique ! Toutes les télévisions et radios sont en place, les citoyens à l'écoute, et ses ennemis à l'affût.
Afin de sortir de la crise économique, de la mondialisation et d'intégrer l'urgence écologique, elle va proposer 200 projets de réforme pour une société plus juste, opérant ainsi une révolution totale dans la façon de penser la politique du pays.

Cette BD, assez courte, est cependant très rythmée et laisse entrevoir une intrigue politico-sociale complexe, car en effet plusieurs tomes vont suivre.
Plusieurs personnages interviennent ayant un rôle important à jouer, d'où une narration a plusieurs niveaux : il y a l'héroïne, Jessica, sa fille souffrant d'un traumatisme psychologique, des communautés, des groupes extrémistes, des lobbies et même le Président… S'agissant d'un 1er tome, l'auteur s'attache à mettre en place les personnages et l'intrigue, et il ne faut pas s'attendre à des réponses.
C'est donc davantage l'ambiance que le récit qui m'a frappé dans cette lecture, même si l'intrigue est prometteuse. Une ambiance tendue et malsaine où la violence atteint parfois des paroxysmes. Mais aussi des espérances. Cette ambiance est très bien rendue par le dessinateur. Les personnages sont émaciés, et leurs émotions sont perceptibles. Les couleurs dominantes sont des nuances d'ocres et de bleus, rendant à la fois un effet agressif et doux. Les jeux d'ombres et de lumières sont nombreux renforçant ainsi l'intrigue qui se dessine.
Ce qui ressort de ce 1er tome est donc une multitude de contrastes : contrastes dans le récit à l'image d'un pays socialement divisé et d'une femme politique portée aux nues par ses partisans et détestés par ses opposants qui voient en elle une antiaméricaine. Contrastes parfaitement illustrés graphiquement.
Mon sentiment, lui, n'est pas vraiment contrasté, c'est une intrigue qui sans donner de réponses donne envie de lire les autres tomes.
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Voici la suite du Pouvoir des innocents, dont Luc Brunschwig nous a révélé ici combien il avait eu du mal à la produire. J'ai déjà rassuré l'auteur sur ce fait en privé, mais je le refais publiquement, Les enfants de Jessica est un excellent album, une intrigue politique et presque sociologique sur les Etats-Unis d'aujourd'hui. Pourtant, il part sur une uchronie qu'il a construite durant le pouvoir des innocents (et pour laquelle il a laissé passé 8 ans), mais j'ai vraiment eu l'impression de retrouver les Etats-Unis tels que je les connais et les conçois. New York a toujours été considérée comme à part, dans le paysage politique américain. C'est une ville où le métissage, la culture, ont nettement plus de sens et d'influence que dans le reste du pays. Ainsi donc, voir un personnage comme Jessica Ruppert à la tête de la ville n'est pas inconsidéré, même avec les avancées politiques proposées. Ce qui est intéressant, et bien vu de la part du scénariste, c'est le passage du statut de maire à celui de Secrétaire d'Etat. On touche cette fois à la politique générale du pays, et les forces sont plus puissantes en face. Ce que j'apprécie dans ce scénario, c'est qu'il théorise, d'une certaine façon, que le système politique américain, et les américains, empêchent l'application de politiques socialement avantageuses. Jessica Ruppert propose des mesures qui pourraient être qualifiées d'utopiques: prendre le contrôle d'immeubles abandonnés pour les transformer en logements sociaux, c'est dans de nombreux programmes politiques de la gauche de la gauche en France. Imaginez un pays où Barrack Obama, l'équivalent d'un Bayrou chez nous, est pris pour un socialiste au sens le plus communiste du terme. Et imaginez donc de telles propositions dans ce même pays. Luc Brunschwig propose des réactions très bien vues, très logiques et adaptées à l'état d'esprit de ce pays. Malheureusement, comme la sympathie du lecteur va à l'élue au grand coeur, la lecture s'avère difficile à vivre. Plus difficile encore, la trame de fond sur les deux migrants, un père et son fils. Et sur les Logan. Quelques mots sur eux: j'ai hâte de lire la prochaine série dérivée, Car l'enfer est ici, consacrée au destin de Joshua Logan, le héros de la première série. Il a sévèrement payé les actions du Pouvoir des Innocents pendant la série, mais visiblement plus encore depuis. Un groupe réactionnaire s'est monté autour de son symbole, et semble mener dans cette nouvelle série une véritable lutte armée contre la politique de Ruppert. Leur action est elle aussi très dure à appréhender pour nous lecteurs, car leur violence est vraiment en contradiction avec les sentiments positifs que fait naître la politique qu'ils combattent.
Sur cette intrigue très riche, sont posés les oeuvres de Laurent Hirn, celui que je considère comme le meilleur dessinateur pour accompagner Brunschwig, et qui était aussi de la première série. Avec le temps, l'auteur n'a rien perdu de son talent, mais si vous avez lu le Sourire du clown, vous n'en n'aviez aucun doute comme moi. Les dessins sont toujours excellents, et la mise en couleur toujours parfaitement adaptée aux ambiances et aux situations.

Les enfants de Jessica tome 1 est en passe de devenir mon album préféré de ce début d'année 2011. Une intrigue fouillée, complexe, intelligente, sur un dessin sans faille, je ne peux rien demander de plus. Cette poursuite de la série très appréciée qu'était le pouvoir des innocents est une réussite. J'attends beaucoup encore de la seconde série dérivée, mais plus encore du tome 2 de cet excellent premier tome.
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..
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Le « Pouvoir des innocents » est assurément un incontournable du neuvième art, que tout bédéphile devrait impérativement avoir dans sa bibliothèque. Quand neuf ans après la fin de cette excellente saga, Luc Brunschwig n'annonce pas une, mais deux suites à sa série à succès, la nouvelle est accueillie avec un mélange d'enthousiasme… et de méfiance (je parle pour les autres là, car chez moi la confiance était évidemment de rigueur).

Si le « Pouvoir des innocents » se déroule en 1997, « Car l'Enfer », dessiné par David Nouhaud, se déroule de 1998 à 2001, alors que « les Enfants de Jessica », dessiné par Laurent Hirn, se passe en 2007. Ce premier tome se situe donc dix ans après les événements de la saga principale, mais le lecteur ne se retrouve pas perdu pour autant. Il retrouve non seulement plusieurs personnages connus, mais peut également compter sur un Luc Brunschwig en grande forme, qui distille intelligemment les informations nécessaires à la compréhension de ce nouveau cycle. La décennie qui sépare les deux cycles a en effet eu de solides répercussions sur les protagonistes et sur le pays de l'Oncle Sam. Jessica Ruppert, par exemple, n'est plus maire de New York, mais occupe aujourd'hui le poste de Secrétaire aux Affaires sociales et s'apprête à annoncer un programme de réforme historique et extrêmement ambitieux, qui va bouleverser la société américaine de fond en comble.

Au sein d'un pays confronté à une crise économique sans précédent, Luc Brunschwig aborde donc des thèmes qui sont d'actualité. Il ne se contente pas d'étaler les 200 mesures proposées par Jessica Ruppert, mais se demande également si l'Amérique est prête à renoncer à son identité en abandonnant sa logique de l'économie de marché au profit d'un système plus solidaire et plus équitable. Si le changement d'orientation politique s'annonce pour le moins radical et peut-être utopique, ce premier volet laisse déjà entrevoir une chose importante : quoi qu'il arrive, le prix à payer sera très élevé !

Si le scénario excelle au niveau du réalisme des situations et que la fluidité du récit est une nouvelle fois exemplaire, malgré le développement de plusieurs scènes en parallèle, il faut également souligner l'excellent travail de Laurent Hirn au niveau du graphisme. Que ce soit au niveau du découpage, de la colorisation ou de l'efficacité du trait, l'auteur livre à nouveau un sans-faute et s'installe comme l'un des meilleurs dessinateurs du moment.

Bref, cette suite de l'une des meilleures séries franco-belge, proposée par le duo de l'excellent « Sourire du clown », s'annonce déjà plus que prometteuse ! le genre d'album qui fait le bonheur des bédéphiles, ceux qui aiment et ne comptes pas…

Retrouvez cet album dans le Top du mois et dans le Top de l'année de mon blog !
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
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critiques presse (1)
BDSelection
16 juin 2011
Un récit engagé, aux thèmes très actuels, qui est parfaitement orchestré et traité graphiquement ; et dont on espère que la suite ne se fera pas trop attendre…
Lire la critique sur le site : BDSelection
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
La politique est une course automobile dans laquelle on engage le meilleur pilote, sans s'apercevoir qu'il est au volant d'une vieille guimbarde.
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Nous quittons l’ère du" toujours plus "pour entrée dans l’ère du "toujours moins"
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Nous quittons l'ère du "toujours plus" pour entrer dans l'ère du "toujours moins". Un "toujours moins" que nous devrons partager avec de plus en plus de gens sur cette Terre. Plus qu'un défi, c'est une révolution totale de notre façon de penser que nous devons réaliser.
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Videos de Luc Brunschwig (47) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Luc Brunschwig
Qu'il sera riche, ce mois de juin, de plongées historiques et documentaires.
À l'approche des jeux, vous découvrirez une biographie sublime et sublimée de Jesse Owens par Gradimir Smudja. Louison et Thomas Snégaroff se sont alliés pour adapter le roman sur Putzi, le pianiste d'Hitler. Laurent Bonneau et Alain Bujak vous feront entendre le Bruit de l'eau en enquêtant dans la vallée de la Roya. Jeff Lemire proposera la fin des Éphémères. Quant à Luc Brunschwig et Laurent Hirn, ils vont clore leur immense saga, après 35 ans : le Pouvoir des innocents se termine !
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