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EAN : 9782258197909
240 pages
Presses de la Cité (14/10/2021)
  Existe en édition audio
3.57/5   1136 notes
Résumé :
"Le Petit Prince", dont on fête les 75 ans de l’édition française, est la fiction la plus traduite au monde, dans 318 langues selon les ayants droit d’Antoine de Saint-Exupéry.

Le livre de Michel Bussi "passe en revue hypothèses, coupables et mobiles pour mettre en lumière la profondeur de cette œuvre et révéler les secrets d’Antoine de Saint-Exupéry, et de son double de papier", a expliqué l’éditeur.

"Depuis son adolescence, Michel Bus... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (211) Voir plus Ajouter une critique
3,57

sur 1136 notes
Derrière ce titre qui « spoile » la fin du célèbre roman d'Antoine de Saint-Exupéry, Michel Bussi s'attaque à un monument de la littérature. Avec une publication en 318 langues, « le Petit Prince » est en effet le livre le plus traduit dans le monde après la Bible et le livre de chevet de l'auteur des « Nymphéas noirs » depuis l'adolescence. Après avoir multiplié les clins d'oeil à l'ouvrage au fil de ses romans et accumulé un paquet de documentation sur cette oeuvre qui fête ses 75 ans, Michel Bussi décide non seulement de mener l'enquête sur la mort du Petit Prince, mais également d'élucider la mort de son créateur, mystérieusement disparu à bord de son avion le 31 juillet 1944, lors d'une mission de reconnaissance dans la Méditerranée.

Pour mener à bien cette contre-enquête, Michel Bussi donne vie à Andie et Neven, deux détectives qui partent à la recherche des membres du club 612, rassemblant les 6 plus grands fans du conte. de New-York à l'Arabie Saoudite, en passant par le Salvador, le duo se lance dans un jeu de piste, rassemblant les différents points de vue, passant en revue les hypothèses et essayant de lire entre les lignes de l'ouvrage afin d'y dénicher la clé qui permettra de résoudre cette double enquête.

Servi comme une enquête policière philosophique et poétique, « Code 612. Qui a tué le Petit Prince? » est surtout un hommage au Petit Prince, qui invite à redécouvrir ce merveilleux conte tout en cherchant le message qu'Antoine de Saint-Exupéry voulait transmettre.

Si ce roman donne envie de relire « le Petit Prince », Michel BussiJ'ai dû rêver trop fort », « Rien ne t'efface ») a également choisi de reverser tous ses droits d'auteur à la “Fondation Antoine de Saint-Exupéry pour la Jeunesse”, qui finance de multiples projets dans les domaines l'éducation et l'environnement.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Quinze après Code Lupin, Missel Bussi publie Code 612, le binôme Roland-Paloma devient le binôme Neven-Andie, le héros de Maurice Leblanc laisse place à celui d'Antoine de Saint-Exupéry, la Normandie s'efface derrière un itinéraire mondial qui nous mène de Yaoundé à Manhattan, du Salvador aux confins de l'Ecosse, de Djeddah à Hamilton chez les experts de l'écrivain.
Comment Saint-Ex a-t-il disparu ?
Abattu par la chasse allemande ?
Prisonnier ou disparu en mer ?
Récupéré par les maquis de la résistance ?
Eliminé par les services Gaullistes ?
Réfugié dans un monastère ?

Le petit prince, véritable testament du poète, livre-t-il les clés du mystère Saint-Exupéry ?

Michel Bussi reprend toutes les hypothèses et relit l'oeuvre de l'aviateur en mettant face à face des extraits du petit prince et ceux des autres oeuvres, notamment la Lettre au Général X, texte prémonitoire dénonçant l'univers contemporain qui étouffe à la fois la liberté et la responsabilité.

Passionnante enquête, où le professeur de géographie devient tour à tour professeur d'histoire, de littérature et de philosophie et ressuscite l'aviateur disparu et celles et ceux qui l'aimaient.

Une réussite qui incite à lire ou relire les oeuvres de celui qui, aux yeux de l'histoire, est mort pour la libération de la France le 31 juillet 1944.
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"Code 612 : Qui a tué le Petit Prince ?" est un thriller bien différent de ce que j'ai pu lire chez Michel Bussi, le seul pour le moment qui ne m'aura pas plus emballée que ça, de par son intrigue pour commencer, qui manque de suspense et souvent de crédibilité, et de par ses personnages également, totalement insignifiants.

La narration étant à la première personne, nous nous retrouvons dans la peau de Neven, pilote raté et en couple avec Véronique (c'est tout ce dont on sait de lui). Ce dernier fait équipe avec Andie, jeune surdouée qui connaît tout du Petit Prince et de son auteur Antoine de Saint-Exupéry (là aussi, c'est tout ce que nous savons d'elle). Ils ont été engagés par le Club 612, qui compte au total six membres, pour trouver la vérité sur la disparition de Saint-Exupéry, et de là sur la mort ou non-mort du Petit Prince.

Voilà plus de dix ans que Neven n'a pas piloté d'avion, on lui met pourtant à disposition un jet. Pas besoin de réviser avant le premier décollage. En plus d'une décennie, les technologies n'ont visiblement pas évolué... Apparemment, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas... Bref... Les voilà tous les deux dans les airs, tour à tour en direction de New York, du Salvador, de l'Écosse ou de l'Arabie Saoudite. Au total, six destinations pour rencontrer les six membres du Club 612, qui ont chacun leur théorie sur la disparition de Saint-Exupéry. Six personnalités complètement loufoques, l'auteur faisant lui-même le parallèle avec les rencontres du Petit Prince : le businessman, la vaniteuse, le buveur, le roi, l'allumeur de réverbères et le géographe. Chacun a un passé avec le Petit Prince (vite évoqué ici aussi), chacun doit beaucoup à ce conte philosophique.

Si toutes les références, informations, théories et documents mis à la disposition de Neven et Andie sont bien réels (l'auteur le précise dans son avant-propos), l'intrigue est elle bien trop farfelue pour que j'ai pu y croire un instant. Certaines réactions sont inadéquates. Certains dialogues n'ont ni queue ni tête. L'enchaînement des événements n'est pas toujours très logique. Les personnages, tous plus superflus les uns que les autres, sont complètement inintéressants. J'en suis arrivée à un point où je me contrefichais de savoir si Saint-Exupéry avait disparu en mer et/ou de son propre chef, s'était fait prisonnier, tué par les Allemands ou suicidé. Je lisais juste pour en finir...

Le seul intérêt que j'ai trouvé à ma lecture a été d'en apprendre beaucoup sur Antoine de Saint-Exupéry, sur sa vie d'écrivain et d'aventurier, sur ses rapports avec les femmes (très nombreuses dans son entourage proche !), avec les enfants et les "grandes personnes" en général, sur les circonstances de sa disparition, sur celles qui l'ont poussé à écrire le Petit Prince et les répercussions qu'il a eu dans le monde entier. Moi qui ne m'étais jamais vraiment penché sur tout ça, ce fut très instructif.

La mise en abyme est également assez bien exploitée, les parallèles sont assez évidents, pour peu qu'on ait lu le Petit Prince évidemment et qu'on en ait pas trop oublié. Pour ceux qui ne l'auraient pas encore lu, je leur conseille tout de même de le faire avant d'entamer cette lecture, ils y perdraient nombre de références (et seraient totalement spoliés).

Ce roman est plutôt court (238 pages), avec une mise en page très espacée. le style d'écriture de l'auteur est toujours aussi agréable et fluide. La lecture est donc facile et rapide, on en arrive très vite à la conclusion (et j'avoue que je n'en suis pas mécontente).

Mais le manque de profondeur des personnages et de crédibilité dans l'histoire feront que j'oublierais probablement ce livre d'ici peu...

Avec ce "Code 612 : Qui a tué le Petit Prince ?", Michel Bussi s'est écarté de ses habitudes, et ça n'a malheureusement pas fonctionné pour moi. Je vous invite tout de même à lire les autres critiques, bien plus élogieuses que la mienne. "Code Lupin" est visiblement de la même lignée, je passerai donc mon tour pour ce dernier mais ayant adoré quatre de ses livres (sur cinq lus, en comptant Code 612), je continuerai la découverte de ses autres romans avec plaisir.
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J'aime à croire que le hasard n'existe pas. A force de voir les reproductions (affiches, posters, sous-mains...) dans une des salles de massage de mon kiné -je vous promets c'est vrai, il a dû avoir une réduction et lorsqu'il a réaménagé cette salle, il l'a faite sur le thème du "Petit Prince" et à force de voir cet ouvrage sur l'un des présentoirs de la médiathèque dans laquelle je travaille -et qui plus est, de le conseiller à mes lecteurs qui à chaque fois, en reviennent enchantés - je m'étais promis de lire cet ouvrage et voilà qui est enfin chose faite ! S'agissant d'un des premiers livres que j'ai lu étant enfant, je tiens absolument (je suis actuellement en pleine recherches dans mes nombreuses bibliothèques -personnelles cette fois-ci -même si je pourrai opter pour la facilité et emprunter l'exemplaire que je détiens en médiathèque), à relire "Le Petit Prince" et à rerelire un fois adulte, d'une part, et accompagné de cet ouvrage de Michel Bussi d'autre part (donc au moins deux relectures du "Petit Prince prévues pour moi, minimum).

Ici, Bussi, en s'attaquant à l'un des monstres de la littérature française, à savoir Antoine de Saint-Exupéry et à son chef-d'oeuvre le Petit Prince, nous rappelle certaines morales que l'on ne devrait jamais oublier. En plaçant deux enquêteurs (enfin, une enquêtrice stagiaire, Andie et un passionné de l'aviation, Never (nos deux protagonistes) engagés par un célèbres milliardaire passionné par Saint-Ex et son Petit Prince pour savoir qui a tué ce dernier, tous deux vont être amenés à rencontrer les cinq membres de ce fameux club 612 dans u premier temps puis le sixième (le géographe qui ne figure pas sur la liste) afin de les interroger et de recueillir leurs versions des faits. Selon eux, qui aurait eu intérêt à tuer le Petit Prince et dans un second temps, puisque pour eux, l'un ne va pas sans l'autre, qui aurait pu trouver son compte en éliminant Saint-Saint-Exupéry ? Oui, vous allez me dire, tout le monde le sait, ce dernier a été abattu en juillet 1944 par un avion allemand lors de la Seconde Guerre mondiale mais si ce n'était qu'une partie de la vérité, ce que l'on aime à nous faire croire ? Si la vérité, au fond, tout comme la morale de ce compte pour enfants qui n'en est pas un, se trouvait ailleurs ?

Ici, Michel Bussi signe un vrai chef-d'oeuvre en en réunissant deux en un et surtout en y mêlant, ouvrage d'Histoire et traité philosophique. Attention cependant, il s'agit pourtant bien ici d'une oeuvre de fiction mais à chacun d'y trouver sa propre vérité. En ce qui me concerne, j'ai trouvé la mienne mais ne comptez pas sur moi vous vous dire de laquelle il s'agit. Simple petit indice : "On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux" et je rajouterais même qu'avec des "Si", on peut refaire le monde alors qui cela dérangerait-il si j'avais envie de refaire l mien après tout ? Une lecture que je ne peux que doublement vous recommander et ce, que vous soyez fans de romans policiers (ce qui n'est d'ordinaire absolument pas mon cas) ou pas !
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Un phare dans la nuit. Il illumine la vie de pèlerins, de marins, de voyageurs, d'aviateurs. Il est le point d'ancrage des rêves. Des étoiles dans le ciel, des anges, un petit prince, des âmes des mêmes aviateurs, voyageurs, marins ou pèlerins. Les pieds dans le sable, la tête dans les rêves, des songes d'une nuit d'hiver, un serpent glisse entre mes jambes, une renarde lisse son pelage d'une belle rousseur. Les codes sont là, enfermés dans cette boite de Pandore que je n'ose ouvrir, trouver la clef du mystère qui entoure un double meurtre. Qui a tué le Petit Prince ? Qui a tué Saint Exupéry ? Deux assassinats, zéro cadavre. Voilà qui est bien étrange et tel un roman d'Agatha Christie, je vais tâcher de découvrir le coupable, aidé des six membres du Club 612.

Construit comme un thriller, je redécouvre l'ambiance DU livre, le plus traduit au monde, du peul au basque, celui que tu ranges sur ta table de chevet à côté de la bible et du premier numéro de Lui. J'imagine les pages cornées, les références soulignées, les dessins caressés comme du papier glacé. Je découvre aussi Michel Bussi pour lequel, par choix et par envie, ne m'étais pas pencher sur son écriture. Mais avant, je me demandais si j'avais besoin d'avoir lu le Petit Prince, objet que j'avais du avoir entre mes mains quand j'étais haut comme trois pommes, pas encore homme, pas encore vieux, autant dire peu ou point de souvenirs.

La richesse de ce roman, est aussi sa facilité à la lecture qui peut se faire à plusieurs niveaux. Il y a le niveau "double découverte", celui par qui ce roman vous permet de lire deux livres en même temps, du Bussi et du Saint Exupéry ; le niveau "j'en veux plus" qui à la dernière page vous donne envie de replonger dans la véritable histoire du Petit Prince, l'original aux pages jaunies par le temps (ne te trompe pas avec le Lui) ; le niveau "expert", celui qui vous permet de comparer et d'analyser les déductions de Bussi parce que vous connaissez par coeur le coeur du Petit Prince. Sans oublier, le dernier niveau dans lequel je me reconnais et qui est nommé par un petit club de connaisseurs, le niveau "croquer le ver", qui à la dernière page, vous donne envie d'ouvrir votre bouteille de mezcal.

Allez, hop, je vous laisse, j'ai un avion à prendre, de l'autre côté de la mer, jusqu'à la Morgan Library où se trouve l'original de l'original, le Petit Prince (mal) écrit en anglais, raturé et scribouillé, l'ébauche de l'oeuvre qui a changé le monde. D'ailleurs, il y a quelques différences notables, du genre il était une fois un petit prince qui habitait une planète trop petite et s'ennuyait beaucoup. Tous les matins, il se levait et la balayait. Quand il y avait beaucoup de poussière... il s'asseyait et buvait un verre. Mais la grande différence, celle qui aurait pu changer la face de notre monde reste cette première phrase du Petit Prince qui fut en réalité celle-ci : "- Dessine-moi un bison !"
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critiques presse (1)
LeFigaro
21 octobre 2021
Une enquête sous forme de roman policier sur la mort d’Antoine de Saint-Exupéry et de son héros.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (132) Voir plus Ajouter une citation
Andie ne sait plus où donner de la tête, fascinée.

Mais le plus beau reste à venir. Sur le plus grand mur sont exposés des exemplaires du Petit Prince... dans toutes les langues de la terre ! Les différents alphabets dansent devant nos yeux, des Petit Prince de toutes les couleurs, des avions, des planètes, des étoiles... comme si les enfants de chaque pays, de chaque tribu du monde se donnaient la main.

Subjugué, je commence à les compter.

— Trois cent dix-huit traductions, précise le majordome dans mon dos. La plus grande collection au monde du livre le plus traduit au monde. Le plus universel des contes jamais publiés. Pour certaines langues orales d'ethnies reculées, il est même le seul récit écrit. Observez ces éditions pour les autistes, en braille, ou même en Aurebesh, la langue de Star Wars. Et celle-ci, en hébreu pour les élèves palestiniens. Peut-il exister un symbole de paix plus puissant ?

Il nous laisse admirer la collection encore quelques instants, puis tousse avec distinction.

— Voulez-vous passer dans la salle du trône ?
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Les symboles choisis par Saint-Exupéry, le ciel, le sable, l'étoile, la rose, le serpent, parlent à toutes les cultures, toutes les religions. Fable écologique, fable pacifiste, il est à ce jour le seul récit de fiction atteignant 1'universalité des plus grands textes religieux ou politiques. Son message, transcendant les frontières, peut même apparaître aujourd'hui particulièrement subversif dans un monde majoritairement soumis, y compris en France, à l'apologie des replis nationalistes. (221)
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Un soir, Izar s'en souvient, c'était à Dublin, Fausto a posé des livres sur son lit. Il y avait la Bible, le Coran, Le Petit Livre rouge, Le Capital, et même La Richesse des nations d'Adam Smith. Puis Fausto lui a dit, tu vois fiston, ces livres sont traduits dans des centaines de langues, tout le monde peut les comprendre n'importe où sur la terre, et pourtant, que font ces milliers de mots ? Ils sèment la guerre ! Ils divisent la planète en parts inégales aussi sûrement que la dérive des continents. Regarde ces livres, fiston, leurs auteurs sont si sincères qu'ils voudraient imposer leurs idées, leur Dieu, leurs utopies, à la terre entière !
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Saint-Exupéry peut vivre une vie monastique sur son île .. et rester présent dans les cœurs, dans les esprits, par la grâce de son livre. Par sa disparition, Saint-Exupéry applique sa morale de façon magistrale, comprenez-vous ? Il réalise le rêve de chacun, fuir, tout quitter, être seul au monde, et continuer d'exister pour chacun d'entre nous, à travers sa pensée... en ayant écrit le roman le plus lu de toute l'histoire de l'humanité !
209
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— Vous savez au moins qui est Che Guevara ? commente Andie.

Me prend-elle vraiment pour un abruti ?

— Lui aussi était fan du Petit Prince ?

— Exact, monsieur l'aviateur ! On raconte qu'il l'a dévoré d'une traite, enfermé dans les toilettes, au point que ses hommes s'en inquiètent. Quand il est ressorti, il aurait dit quelque chose comme « j'ai lu ce chef-d'œuvre en une seule merde » !
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Vidéo de Michel Bussi
L'auteur normand à succès Michel Bussi présente son nouveau livre "Mon cœur a déménagé" sur BFM Normandie. Après plus 12 millions de livres vendus en France, l'auteur revient avec une 17ᵉ histoire située dans la ville de Rouen : Ophélie a grandi dans un environnement difficile et a dû se remettre du meurtre de sa mère à l'âge de sept ans. Aujourd'hui étudiante, elle décide de prendre sa revanche sur la vie. "L'écrivain décrit son livre comme un récit "de vengeance", un "roman sur l'enfance".
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