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sur 576 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Paloma est une étudiante espagnole qui travaille en ce mois de juillet à l'office du tourisme de Saint-Valéry-en-Caux. Un touriste vient lui apporter une pièce en or trouvée sur la plage. Cette pièce datée de 1905 est une bonne raison de reprendre contact avec Bergton, son professeur d'université charismatique qui ne la laisse pas indifférente. Celui-ci doit prendre l'avion le lendemain, mais en écoutant Paloma, il saute sur l'occasion pour partir en quête avec la belle espagnole et peut-être mettre un point final à une énigme jamais résolue : le trésor d'Arsène Lupin ! Paloma et Bergton se mettent donc en route pour le fameux triangle De Caux, dans les pas du gentleman cambrioleur.

Paru en 2006, Code Lupin est le premier livre publié de Michel Bussi, auteur prolifique à succès de thrillers et romans policier.
Comme une bonne partie de ses livres, Michel Bussi situe l'action de ce roman de chasse au trésor en Normandie, plus particulièrement en pays De Caux. J'avoue qu'en empruntant cet ouvrage à la bibliothèque, je n'avais pas remarqué le complément de titre : "Le Da Vinci Code de Normandie". Et bien, pour une fois, le titre annonce la couleur : c'est plutôt bavard, les personnages sont stéréotypés à outrance, il y a un rebondissement par chapitre, et l'ensemble ne vole pas très haut. Par rapport au "modèle" revendiqué, pour les amateurs du genre, sachez que c'est quand même moins long que l'original américain, et surtout, c'est plus mou du genou.
Ceci dit, Code Lupin présente pour moi deux qualités : primo, le duo improbable du prof qui sait tout et de l'étudiante qui comprend tout nous emmène fouler du pied toute la côte normande, d'Etretat au Tréport, en passant les petits patelins en front de mer ou situés dans les terres, ce qui est franchement agréable. Et d'autre part, Michel Bussi a eu la bonne idée de citer, au fil de son ouvrage, des passages des nouvelles de Maurice Leblanc narrant les aventures de son gentleman cambrioleur. Et ça, c'est encore plus agréable.
Bref, c'est sur que ce n'est pas le meilleur opus de Bussi, en revanche, Code Lupin propose un roman basé sur un concept amusant (sur les pas d'Arsène Lupin !), avec un côté dépaysement et pas mal d'aventures ! Plutôt pas mal pour se détendre en vacances !
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Désirant découvrir Michel Bussi, auteur à succès que l'on ne présente plus et dont j'ignorais pourtant tout, je ne savais par quel ouvrage commencer. J'ai donc choisi ce roman en me fiant uniquement à son titre accrocheur : Code Lupin, le Da Vinci Code normand. Grave erreur. Car j'ai beau chercher le lien, j'en arrive aujourd'hui toujours à la même conclusion : comparer Code Lupin au Da Vinci Code revient à chercher des points communs entre Louis la brocante et Jason Bourne...

Tous les ingrédients qui ont marqué le succès de Dan Brown (rebondissements, complots, énigmes, dynamisme, suspense) brillent par leur quasi absence. Heureusement la désillusion est très rapide, même pas le temps de porter un intérêt quelconque aux personnages. En effet, dès le premier chapitre, Paloma, brillante étudiante espagnole, a le don d'agacer avec ses minauderies insupportables. Quant à son professeur d'histoire, Roland Bergton (le Robert Langdon normand), il lasse tout aussi vite avec ses tendresses mielleuses ("belle enfant" par ci, "jolie Paloma" par là, "ma colombine" en veux-tu en voilà..). Autant dire que la relation élève-prof se transforme en moins de 24 heures passées ensemble en un invraisemblable et grotesque jeu de séduction. Et à mon grand regret, l'intrigue ne vaut guère mieux. Non pas qu'elle soit inintéressante, l'idée d'un code caché dans les aventures d'Arsène Lupin est même plutôt originale et séduisante, mais mon dieu... que le rythme est lent! Digne d'une aventure de Derrick... La crédibilité des personnages et mes attentes sur l'écriture brownesque de Bussi en ont, dès lors, pris un sérieux coup. Et j'avoue qu'à partir de cet instant, j'ai réalisé que je devrais revoir mes exigences à la baisse si je voulais garder une chance de terminer ce livre.

Ainsi, résignée et mettant Dan Brown définitivement aux oubliettes, je me suis davantage concentrée sur les deux thèmes principaux du roman, à savoir la Normandie et l'univers de Maurice Leblanc. Et en effet, concernant la Normandie, on découvre que celle-ci ne se résume pas qu'au vol du Mont-Saint-Michel aux bretons ou aux plages du débarquement (c'est moche les clichés) mais regorge de sites majestueux et méconnus. Toutefois pour les ignorants comme moi qui ne connaissent pas ou peu cette région, il me semble que nous noyer sous une avalanche de noms de villages, châteaux, cours d'eau ou lieux-dits, est plus approprié à un guide touristique qu'à un roman. Car, à moins d'être courageux et de suivre pas à pas le périple de Paloma et Bergton sur la carte géographique en annexe, on se perd ici lamentablement dans les coins et recoins normands pour ne finalement en retenir que ce que l'on connaissait déjà : Etretat et ses falaises.

En revanche, et ce sera ma note positive du roman, si l'on exclut le style simpliste de l'écriture (je sais, c'était un des premiers romans de Bussi, et promis j'en lirai des plus récents pour avoir un regard plus juste), donc si l'on exclut le style, l'intrigue éprouvante à suivre et les deux héros sans consistance, j'ai grandement apprécié le remarquable hommage à l'oeuvre de Maurice Leblanc. Code Lupin a au moins le mérite de redonner une deuxième vie à son talent d'auteur. le pari est donc réussi à ce niveau: Bussi nous donne envie de nous replonger dans quelques Arsène Lupin et de relire Leblanc différemment.
Donc peu emballée par ce roman (pour tous ceux qui en douteraient encore), j'admire néanmoins le travail de recherche de l auteur, qui, de bout en bout, met magistralement en relation la géographie et l'histoire de sa terre natale avec l'oeuvre de Leblanc. Respect donc pour son érudition et le prodigieux travail dont il a immanquablement fait preuve.

Et note optimiste: l'oeuvre de Bussi étant riche, je ne désespère pas d'apprécier un de ses autres romans, donc Michel et moi, affaire à suivre!







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J'ai d'abord trouvé le concept qui consiste à s'inspirer du Da Vinci Code plutôt génial. Donc je commençais gaiement ce livre... Mais je ne sais expliquer pourquoi l'ennui s'est installé...
Et "ma belle" par ci "ma belle" par là ça m'a agacé à la longue.
Pour finir tout m'a paru fade, très long et sans réel plaisir à la lecture. Dommage.
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On ne va pas se mentir, J'ai lu ce roman jusqu'au bout pour connaître le code lupin. J'ai eu l'impression de suivre un atlas de la région normande avec la visite guidée des deux antagonistes du roman. Pas de suspense, pas de crime, pas de passion.

Il s'agit tout simplement d'une recherche d'un trésor liée aux romans de Maurice Leblanc avec la région où il vivait.
Aucun intérêt pour moi.
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La jeune espagnole Paloma, étudiante qui travaille à l'Office de tourisme de Saint-Valéry en Caux voit venir un jour un touriste qui a découvert une pièce d'or sur la plage. Elle va alors contacter son professeur Roland Bergton et tous deux vont partir dans la campagne cauchoise à la découverte du trésor d'Arsène Lupin.
Les deux personnages se séduisent gentiment tout en parcourant des lieux cités par Maurice Leblanc.
Ce n'est pas le meilleur Bussi, pas de suspense, des personnages mièvres. Intéressant si on aime Arsène Lupin et le pays De Caux.
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Je n'ai remarqué qu'après ma lecture, que sous le titre "Code Lupin" était précisé "Un Da Vinci Code normand"
On aurait pu mettre : "Une copie mal dégrossie d'un Da Vinci Code normand sur les traces d'Arsène Lupin"
J'aurais ajouté une astérisque : *pour le fans d'Arsène Lupin et les habitants du pays De Caux uniquement.

Le seul intérêt de ce livre est qu'il m'a donné envie de découvrir ou redécouvrir certains romans de Maurice Leblanc...

Pour le reste, lisez Da Vinci Code...
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Déçue, archi déçue ! Je me suis vraiment forcée pour terminer cette lecture. Heureusement que je n'ai pas lu ce livre en premier car Michel Bussi ne serait jamais devenu un de mes auteurs favoris. le Pays de Caux est très beau, mais là j'en ai fait une overdose ! Ce livre est rempli de clichés tant sur la plastique irréprochable de Paloma, son intelligence qui lui fait deviner en quelques minutes ce que d'autres ont mis des années à comprendre, sur le beau professeur à la soixantaine très bien conservée qui fait fantasmer sa jeune étudiante ! le professeur qui nous saoule par son érudition des oeuvres Lupiniennes. Sans parler de la lassitude créée par l'énumération sans fin de lieux divers et variés. Moi qui voulais relire les oeuvres de Maurice Leblanc je vais être « au top »! Lisez Code Lupin avant la série des Arsène Lupin si vous souhaitez décrypter l'oeuvre à la Bussi. Bref….. un livre que je ne recommande pas.
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J'ai adoré un avion sans elle et ne lâche pas ma main.
Celui ci m'a déçu j'ai trouvé l'intrigue sans grand intérêt, même si je suis allée au bout !
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Étant fan des romans de Maurice Leblanc, je me suis dit pourquoi pas lire le code lupin. D'habitude je n'apprécie pas les relectures d'Arsène Lupin mais celui ci n'est pas une réécriture d'Arsène Lupin. On suit un professeur et son étudiante dans une chasse au trésor après la découverte de pièce d'or sur la plage de St Valery en caux.
J'ai apprécie l'intrigue avec le double sens du message de l'aiguille creuse, lefait que les lieux décrits par Maurice Leblanc pourraient tous être reliés entre eux.
Par contre je trouve que l'on a du mal à s'attacher aux personnages, le début du livre est lent, c'est une suite de voyages sans indices alors que la deuxième partie devient plus intéressante.
En tout cas l'auteur donne envie de visiter la Normandie même pour moi qui suis déjà allée à Etretat, j'ai l'impression d'avoir raté plein de lieux très sympas.
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Et oui, Bussi n'a pas toujours tout réussi. Ce roman de 2006, réédité, succès de son auteur oblige, en 2014, est une chasse au trésor autour de l’œuvre de Maurice Leblanc. C'est d'ailleurs a peu prés tout ce qu'il y a dans ce livre qui foisonne de citations des romans et nouvelles mettant en scène le gentleman cambrioleur Arsène Lupin.

Le professeur Roland Bergton de l'université de Rouen (comme l'auteur) emmène une de ses étudiantes Erasmus, Paloma, espagnole de Murcie d'origine française, à travers une ballade entre falaises, valleuses, manoirs et fermes du pays de Caux, sous oublier les méandres de la Seine, pour tenter de décrypter un code secret contenu dans le roman l'Aiguille creuse.
Si le livre est extrêmement documenté sur l’œuvre de Leblanc, il manque totalement de cet art de la construction dramatique, qui a fait des ouvrages suivant de Bussi des page-turner. Rien de bien surprenant, pas de péripéties inattendues, pas de personnages secondaires marquants...

Les lecteurs de Ne lâche pas ma main ou de Maman a tort seront déçus, les aficionados de Lupin aimeront sans doute, mais combien sont-ils aujourd'hui ?
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