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3,85

sur 4408 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Sans intérêt
Un roman insipide, creux, beaucoup de descriptions inutiles ainsi que des contradictions même l'intrigue se contredit et cousue de fils blanc. Très pénible à lire car il faut passer sans arrêt des flics au gamin. J'ai rarement lu un roman aussi mauvais Avec tous le bien que j'ai lu et entendue sur cet auteur, j'ai voulu voir et bien j'ai vue mais je ne sais pas si j'en lirais encore
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on défouraille sévère en Normandie, terre de gangs et du grand banditisme ! Pas tranquille le pays du cidre et du Calva ! Une histoire d' enfant qu'on aurait enlevé à ses vrais parents...je continue mon exploration dans le polar soft de Michel Bussi, et le moins qu'on puisse dire c'est que je n'accroche pas ...j'ai goûté à des choses plus pimentées et ce plat me paraît très fade, je m'y suis ennuyée ferme, et c'est comme avec les hommes quand je m'ennuie, je m'en vais. Je lui reproche aussi sa dispersion dans tous les sens, le récit du doudou en italique est long et assommant, les références au site enviedetuer.com pénibles, bref ça manque de rythme et de style, ce n'est pas centré, et c'est tiré par les cheveux. Les personnages sont sympas, du moins la population du commissariat, la commandante en tête....Mais quelle idée de les avoir appelés de noms aussi ridicules et aussi désagréables à entendre ! Dragonman et Augresse, c'est une blague, un message codé....je suis franchement désolée pour l'auteur que je vais rencontrer ce jeudi, je n'ai vraiment pas aimé son nouveau livre. Je remercie Babelio et l'éditeur pour l'expérience littéraire, je vais me jeter sur James Ellroy pour savourer du polar noir et sulfureux comme j'aime, ou essayer le nouveau Nicolas Zeimet comme me conseille mon ami David !
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N'importe quoi, c'est vraiment n'importe quoi ce bouquin. Décidément, ma moisson de l'été est bien maigre cette année. Une pauvreté stylistique désespérante, une enquête qui se traîne dès le début (mais pourquoi faut-il toujours que je me sente obligée de finir les bouquins que je commence même quand ils me plombent tout de suite ?), des personnages caricaturaux et inconsistants aux noms ridicules (est-ce de l'humour, ces noms ? mais ce n'est pas drôle !), des rebondissements grotesques, un gamin de 3 ans qui se repasse des histoires sur son MP3 tous les soirs en sachant exactement comment le manipuler et quelle histoire pour quel jour (et le chargeur, hein, qui le branche ? il sait aussi le faire ça le gamin ?) et qui se souvient de ce qu'il doit faire quand il est dans un aéroport où il n'a jamais mis les pieds ? Sans parler du final à la hauteur du reste, c'est-à-dire complètement plat et bébête. Bref, passons vite à autre chose…
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Lecture abandonnée car je n'accrochais pas !
Un peu déçue, j'ai décidé de lire des critiques... et ces lecture ont achevé de me convaincre que je pouvais sans regrets le rendre à la médiathèque...
Merci à vous tous pour vos avis éclairés.
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Voilà une tête de gondole qui donnait envie d'être lue au point d'être rapidement conseillée au club des lecteurs de la médiathèque... Je me suis littéralement jetée dessus en espérant retrouver un aussi bon polar que "Nymphéas noirs" ! Néanmoins mes attentes n'ont pas été comblées.
A vrai dire, j'ai même failli abandonner plusieurs fois ma lecture tellement je m'ennuyais... du coup, j'ai lu en diagonale en sautant quelques paragraphes lorsque je me sentais décrocher. Ca n'a rien changé à l'histoire. C'est très rare que j'agisse ainsi avec un livre, cependant je pense avoir trop idéalisé "Maman a tort". J'avais lu de si bonnes critiques que je m'attendais à quelque chose de sensationnel et génial. L'idée de course à la mémoire me plaisait, il y avait plusieurs intrigues qui s'entremêlaient, les interludes "envie-de-tuer.com" m'amusaient et le duo Malone/Gouti était touchant. Hélas, tel un soufflé, tout est vite retombé... Même si c'est agréablement bien écrit, le scénario n'a eu aucune surprise pour moi. Chaque "révélation" ne m'a pas étonnée ni fait réagir. C'était trop attendu... Ajoutons à cela des personnages un peu trop stéréotypés à mon goût. de coutume, cela ne me gène pas plus que ça si le reste de l'oeuvre me plait, mais comme ce n'est pas le cas, cela m'a arraché plus d'un soupir...
Ce roman m'a donc ennuyée et ne m'a pas surprise. C'est donc une grande déception. Contrairement à d'autres oeuvres de Michel Bussi, " Maman a tort" n'est pas fait pour moi. Dommage. Je passe mon tour. E. C.
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Le changement d'intrigue entre chaque paragraphes rends la lecture très désagréable. La moitié des pages aurait suffi car beaucoup trop de blabla de descriptions inutile a croire que l'auteur Michel Bussi est payé a la page. A fuir
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Premier livre de cet auteur que je lis et, à mon plus grand regret, ce n'est pas une réussite 😞

Malone, trois ans, raconte à qui l'écoute que sa maman n'est pas sa mère. Que sa peluche Gouti lui raconte ses souvenirs de sa vie d'avant, une vie qu'il ne doit oublier sous aucun prétexte. le psychologue scolaire Vasile Dragonman le croit et fera tout son possible pour découvrir la vérité, faisant appel à la police, en particulier à Marianne qui enquête sur une affaire épineuse de braquage... 🤨

C'était vraiment fastidieux, au risque de me faire des ennemis. J'ai trouvé ce livre d'une extrême longueur. Je ne suis pas arrivée à entrer dans cette histoire rocambolesque, invraisemblable. Il y a tant à dire, en fait. Un enfant qui raconte des histoires sorties tout droit de contes, des ogres, des pirates, des fusées... le côté très enfantin m'a gênée. La façon dont l'auteur a amené son intrigue n'a pas su piquer ma curiosité ni mon intérêt. Trop peu cohérent 😬

J'ai failli abandonner mais je me suis accrochée dans l'espoir que les dernières pages seraient meilleures. En plus du fond de l'histoire auquel je n'adhère pas, les personnages m'ont tous exaspérée. La palme revient à Marianne Augresse, commandante de police. Je n'ai pas du tout été en phase avec son désir d'enfant, désir qui vire à l'obsession 🙄 Ça m'a mise mal à l'aise.
J'ai par ailleurs été perdue dans les événements, entre le braquage et les faits dans la vie des parents de Malone. L'affaire du braquage m'a encore moins intéressée que l'histoire principale. Et le tout dans une lenteur indescriptible. D'un ennui profond 😴

Et enfin, contre toute attente, ça commence à bouger vers les 70-80 dernières pages. Mon intérêt est enfin retenu. J'ai été surprise par la tournure des événements... pour finalement être déçue par la conclusion qui m'a paru tirée par les cheveux. Et alors ce dernier chapitre... complètement inutile selon moi 🤯

L'étoile que j'ai mise sera pour l'accélération du rythme, l'action qui arrive enfin dans les dernières pages. Mais dans l'ensemble, ç'aura été long, une déception qui m'a fait perdre 11 jours de mon temps.
Bien sûr, ce n'est que mon avis et je vous invite comme toujours à vous faire le vôtre.

En sachant que j'ai un autre livre de cet auteur dans ma PAL, je redoute un peu sa lecture... 😨
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Roman qui m'a été conseillé par plusieurs personnes de mon entourage, avec comme argument principal : « quelle intrigue ! » Et c'est vrai que très vite, elle me paraît alléchante, cette fameuse intrigue : Malone, quatre ans, prétend que sa mère n'est pas sa mère ; que son père n'est pas son père. Voilà qui met l'institutrice et le psychologue scolaire en émoi. C'est alors avec un aplomb tout naturel que le psychologue part à la rencontre d'une commandante de police. Déjà bien occupée à essayer de coffrer un braqueur, cette dernière n'est pas vraiment encline à l'aider dans la résolution de cette affaire qui ne semble pas en être une.
Si l'intrigue et ses rouages ne manquent pas d'intérêt, j'ai été amèrement déçue par le style bâclé de l'auteur. J'ai eu clairement l'impression qu'écrire lui pesait, comme s'il fallait s'en tenir aux faits, sans s'encombrer de créer une ambiance, une atmosphère propice. Tout s'enchaîne de manière très synthétique, comme s'il suffisait d'imbriquer les éléments d'un puzzle pour pondre un roman acceptable. Non.
Si le phrasé est lourd, la musicalité est absente ; les traits d'esprits mal esquissés et le langage, trop familier. En bref, ce n'est pas très littéraire, au contraire. L'amputation des mots n'est pas rare, ainsi le " tramway" devient " le tram", ce qui passe aisément dans un dialogue, mais qui demeure inacceptable dans une tournure descriptive.
De plus, j'ai trouvé l'ensemble très cliché et très (trop) oral. L'ensemble est bien souvent redondant. La rencontre entre la commandante et le psychologue m'a particulièrement semblé maladroite : les tournures pour désigner les yeux marrons du psychologue se succèdent, toutes plus risibles les unes que les autres : « ses yeux marrons clair, presque couleur bois verni, terre cuite ou viennoiserie dorée, semblaient scanner les documents à la vitesse d'un laser » suivi, quelques lignes plus loin, de : « L'éclat doré de ses yeux vibra » puis de « ces deux yeux couleur pain d'épice » Je crois qu'on aura compris le message.
Enfin, je terminerai par l'onomastique, celle-ci m'a particulièrement dérangée. En effet, j'ai eu l'impression de me retrouver face à une rédaction de collégien : s'il y a de l'intention dans l'esprit, les jeux de mots n'en demeurent pas moins inefficaces et dénués de génie. Augresse, Dragonman, Pasdeloup... Je dirais même qu'ils ôtent toute crédibilité au récit.

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Abandon

Michel Bussi est un auteur dont j'apprécie beaucoup la plume et les intrigues. J'ai beaucoup aimé "Un avion sans elle" qui m'a permis de renouer avec ma passion de la lecture, et "Le temps est assassin" m'avait également fait passé un très bon moment de lecture.

"Maman a tort" a malheureusement fait un gros flop ! le confinement ne doit pas y être étranger, mais pas uniquement. J'ai lu une centaine de pages et je n'ai pas accroché, ni à l'intrigue, ni aux personnages . Je n'ai pas été happée par cette intrigue qui avait pourtant retenue mon attention lors de ma lecture de la quatrième de couverture.

J'ai essayé de reprendre cette lecture, je n'aime pas abandonner mes lecture et c'est un livre de Michel Bussi… ce n'est pas normal ! Mais vraiment, au bout de quelques pages je reposais le livre, sans envie de le reprendre et me souvenant à peine de ce que je venais de lire. Tans pis…

Afin de contrer cet échec, j'ai acheté deux autres livres de l'auteur via Vinted
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Première incursion dans l'univers de Michel Bussi qui ne pas m'a pas convaincue. Je cherche désespérément des polars, ni glauques ni sordides, pour ne pas passer mon temps à lire et relire Fred Vargas. Et bien ce ne fut pas la bonne pioche avec ce roman très stéréotypé et au style fort banal. Les personnages, la flic et le psy, n'ont pas retenu mon attention, la première intrigue non plus (une série de braquages et une course poursuite avec le suspect, blessé, somme toute très ordinaire pour un polar). le gamin m'a plu en revanche. Il est la clé de l'intrigue centrale qui repose sur la mémoire d'un enfant de 3 ou 4 ans (à ce titre, j'ai appris pas mal de choses intéressantes dans ce domaine, cette lecture ne fut pas du temps perdu). Sur ce plan, l'auteur a développé quelques belles trouvailles et idées originales. Malone invente-t-il des histoires ? Où est-il réellement persuadé que sa maman n'est pas sa vraie maman ? Et c'est au moment où le lecteur se pose des questions et que le récit distille des indices, que l'on perd pied.
Une fois la dernière page tournée, je me suis dit que je n'avais jamais lu une enquête aussi farfelue. On n'y croit pas une seule seconde, tout est trop alambiqué et repose sur tant de détails que tout ce plan soigneusement pensé par l'un des personnages parait complètement improbable. Et le happy end m'a achevée...
Je veux bien que, dans un polar, l'enquête ou l'intrigue, peu réussie ou palpitante,ne soit pas l'élément central, à condition que l'auteur se rattrape avec un autre aspect. Chez Fred Vargas, la seule présence d'Adamsberg, de Rétancourt ou de Danglard suffit à mon bonheur.
Mais rien de tel ici. Pas de dialogue savoureux, pas de personnalité originale ou attachante, juste une commandante quadragénaire en mal d'enfants qui m'a souvent agacée, et un trio enfant-parents pas assez exploité.
Merci quand même à l'éditeur et à babelio pour ce masse critique, un petit raté de temps à autre, ce n'est pas dramatique non plus.
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