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Fred Duval (Illustrateur)Michel Bussi (Autre)
EAN : 9782344039373
176 pages
Glénat (26/05/2021)
4.14/5   216 notes
Résumé :
Le best-seller de Michel Bussi en bande dessinée !

Crédule Grand-Duc veut mourir. L'enquête de sa vie a échoué... Depuis 18 ans, il cherche l’identité de Lylie, la miraculée du Mont Terrible, une petite fille rescapée du crash du vol Istanbul-Paris survenu le 23 décembre 1980. Car deux bébés étaient à bord ! Les Carville et les Vitral, deux familles que tout oppose - Les Carville, issus de la haute bourgeoisie industrielle française et les Vitral, ven... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (33) Voir plus Ajouter une critique
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L'adaptation d'oeuvres littéraires en bande dessinée a le vent en poupe. Il n'est que de songer aux cinq albums consacrés à « 1984 » sortis en rafale cette année ou aux multiples variations sur « Moby Dick » par Eisner, Gillon, Chabouté, Alary, Desprez, Lomaev ou encore Sienkiewicz. Certaines maisons d'édition y consacrent des collections entières telle Delcourt avec « Ex-libris » et d'autres, toute récentes comme Philéas, en font leur fonds de commerce.
Dans un tel contexte, les livres de Michel Bussi traduits en 36 langues et vendus à plus de 10 millions d'exemplaires, ne pouvaient qu'intéresser les éditeurs de bande dessinée. Après « Mourir sur Seine » en 2018, « Nymphéas noirs » en 2019, « Gravé dans le sable » en 2020 voilà donc que paraît aux éditions Glénat l'adaptation du plus grand succès de cet auteur populaire : « Un avion sans elle » avec Fred Duval et Nicolaï Pinheiro aux commandes. S'agit-il d'une simple mise en images ou bien d'une véritable recréation ?

LE ROMAN DU SUCCES

23 décembre 1980, un avion de ligne s'écrase dans le Jura. Tout le monde meurt carbonisé sauf un bébé de 3 mois éjecté par miracle de la carlingue. Deux familles se disputent la miraculée que les médias ont baptisée « Libellule » et, comme les tests ADN n'existent pas encore, nul moyen de savoir s'il s'agit d'Emilie Vitral petite-fille d'un modeste couple de vendeurs de frites dieppois ou de Lyse-Rose de Carville héritière d'un richissime capitaine d'industrie. La justice doit trancher et, contre toute attente, « attribue » le bébé aux Vitral. Les Carville ne s'avouent pas vaincus et engagent un détective privé, Crédule Grand-Duc pour enquêter sur l'affaire. Il va y consacrer 18 ans de sa vie et consigner ses investigations dans un carnet qu'il va léguer à Lylie avant d'être mystérieusement assassiné …

Je n'avais jamais lu Michel Bussi avant de le découvrir grâce au « Nymphéas noirs » de Duval et Cassegrain et d'enchaîner avec la lecture de plusieurs titres. Si je comprends l'engouement qu'il peut susciter car c'est un formidable raconteur d'histoires, un véritable roi du twist, héritier de Dickens ou Dumas pour ses fins de chapitres haletantes, je ne suis cependant pas totalement conquise par ses romans et en particulier par son plus grand succès à ce jour (1, 2 million d'exemplaires vendus). Quels griefs ai-je à l'encontre de cette oeuvre, me demanderez-vous ? Eh bien tout d'abord je lui reproche d'être trop longue : « Un avion sans elle » est un pavé de 570 pages dont un bon tiers aurait pu être élagué. Les fausses pistes s'y multiplient à l'excès pour faire durer artificiellement le suspense et l'intrigue s'en trouve malencontreusement délayée. Ensuite, le style dans lequel est écrit le journal de Grand-Duc est vraiment pompeux et même si cela permet de caractériser le personnage, c'est assez fastidieux à lire. de la même façon, les monologues intérieurs d'Emilie sonnent faux. Mais ce qui me gêne le plus c'est le portrait psychologique des protagonistes : l'héroïne est inexistante et les autres stéréotypés. Les riches sont des vilains-pas beaux horriblement malhonnêtes et calculateurs tandis que les pauvres ont pour eux la beauté mais aussi l'intelligence du coeur …On a parfois l'impression de se retrouver dans un film de Chatilliez mais pas sûr qu'ici la caricature soit réellement voulue …. En revanche, je reconnais un vrai talent à ce géographe de formation pour l'évocation des paysages qu'il s'agisse de la ville de Dieppe et de son quartier du Pollet ou du Mont St Odile (devenu le mont Terrible) et des forêts du Jura.

DE L'ADAPTATION A LA RECREATION

Si Fred Duval n'avait pas été à nouveau au scénario, je crois que j'aurais donc passé mon chemin … Or, s'il a respecté l'oeuvre en en maintenant la double temporalité et le rythme lent sur 18 ans (le récit de Grand-Duc) et très rapide sur quelques jours (la recherche de Lylie par Marc) ; s'il a également gardé le double suspense autour d'une héroïne qui est au centre de l'intrigue sans en être le moteur en nous faisant nous interroger sur sa filiation mais aussi sur le but de ses déambulations dans Paris, il s'est vraiment approprié le roman.
Il l'a tout d'abord élagué : l'histoire parallèle de l'épouse de Nazim qui mène une contre-enquête est supprimée, il y a moins de meurtres, des personnages secondaires gagnent en importance aussi en condensant d'autres comme Lucile Moraud la journaliste de « l'Est républicain ».

Ensuite, en bon historien qu'il est, Duval a insisté sur le cadre et l'époque. La ville de Dieppe au début des années 1980 acquiert plus d'importance encore que dans le roman. de nombreuses planches sont consacrées au quartier du Pollet et on a une véritable mise en contexte historique : on aperçoit Giscard conversant avec les de Carville dans un flash-back qui n'existait pas dans l'oeuvre source, on voit les affiches de la campagne présidentielle et la liesse populaire lors de la victoire de Mitterrand ou du quart de finale France-Brésil … Duval récrée avec talent des instantanés d'une époque qui trouvent des échos chez le lecteur.

Enfin, le scénariste propose une version beaucoup moins bavarde que le roman. D'abord parce qu'il aurait été très fastidieux d'avoir des planches entières de « talking heads » et surtout parce que son travail sur les silences -- il propose de grandes vignettes d'ambiances et de décors et des pages muettes d'une grande force -- , permet de mettre ainsi davantage en relief les morceaux conservés de dialogues, la lettre de Lylie, les messages vocaux et les extraits du journal de Grand-Duc en voix off.

INTERPRETATIONS GRAPHIQUES

Duval a donc épuré et oeuvré dans le sens d'une plus grande lisibilité, brillamment épaulé en cela par Nicolaï Pinheiro qui a travaillé près de deux ans sur cette adaptation.

Ainsi le passage d'une époque à l'autre et d'un mode de narration à l'autre demeure très compréhensible grâce au code couleur adopté par le dessinateur : cartouche sur fond beige moucheté à la manière des pages d'un vieux livre pour le carnet de Grand-Duc, cartouches bleus ou roses ou verts pour les monologues intérieurs contemporains, couleurs assourdies pour les années 1980 et très vives pour 1998.

S'éloignant de son style habituel aux cadrages resserrés et plans très rapprochés, Pinheiro « dézoome » et utilise grandes vignettes et vues aériennes ou plans d'ensemble pour ancrer l'histoire dans son contexte socio-culturel. Les lieux sont parfaitement et minutieusement retranscrits après des repérages à Dieppe et Paris. Si le diable est dans les détails, il reçoit l'absolution ! Des panneaux d'affichage pour Eurodisney comme cela s'appelait alors en passant par les best-sellers littéraires du moment (Mary Higgins Clark ou le « Dora Bruder » de Modiano) , les posters des groupes à la mode ( Nirvana, Pearl Jam, R.E.M …) ou le Nokia 5110 jusqu'au modèle de Macintosh bleu turquoise qui faisait fureur à l'époque, tout est authentique et le dessinateur adopte presque le rôle d'un accessoiriste de cinéma !

Mais Pinheiro ne se contente pas de cette approche quasi naturaliste, il utilise de nombreux symboles (les corbeaux du parc, les statues du cimetière) ainsi que des références cinématographiques : l'affiche d'« Il faut sauver le soldat Ryan » placardée sur les abribus quand Marc se lance à la recherche de Lylie, mais surtout le David Lynch de « Blue Velvet » pour la scène de la découverte de l'assassinat du détective avec la focalisation sur les libellules ou bien le Kubrick de « Shining » pour celle du parc aux jumelles énigmatiques. le dessinateur adopte également une palette de couleurs chatoyantes presque fauviste parfois par son côté tranché qui peut paraître paradoxale pour un roman noir. Mais ce côté chaleureux rappelle à la fois la lumière qui baigne les lieux de prédilection de l'impressionnisme et surtout la tonalité des romans de Bussi qui finissent sur des happy end.

Le tour de force du dessinateur est assurément sa caractérisation des personnages. Ces derniers ne sont plus réduits à des idéotypes et gagnent littéralement en épaisseur par un trait tout en volume avec un rendu quasi sculptural. Même si Mathilde de Carville a de faux airs de Christine Lagarde, elle est humanisée. On comprend bien davantage son obstination à ne pas lâcher l'affaire pour ne pas sombrer dans la tristesse et sa difficulté à faire son deuil. Ses regards sont très expressifs tout comme ceux de l'héroïne dont on comprend les déchirements et la crise identitaire à travers toute la palette d'émotions contradictoires qui passent sur son visage cadré en gros plan dans les scènes du parc, du bar, ou de la clinique. L'on perçoit enfin très bien l'anorexie traumatique de Malvina par ses attitudes infantiles ou son accoutrement et on assiste à la déchéance de Crédule Grand-Duc : on le voit vieillir, grossir et s'affaisser sous le poids de sa frustration et de sa culpabilité. le dessin confère au récit une dimension tragique qui n'était pas présente et le trait semi-réaliste permet de croire à l'histoire.

Si l'oeuvre de Bussi constitue une vraie manne pour les éditeurs et si les adaptations de ses romans se multiplient, ce n'est pas toujours avec une égale réussite… A l'adaptation trop sage (voire paresseuse pour le scénario) de « Gravé dans le sable » répondent les appropriations de Fred Duval qui a su dans « Nymphéas noirs » comme dans « Un avion sans elle » trouver des dessinateurs avec une patte graphique capable de sublimer les romans dont il a conservé « l'essence et les sens ». Il épure, condense, gagne en efficacité et en fluidité mais aussi en nuances en gommant un certain manichéisme et en insistant sur le contexte socio-culturel. le trait de Nicolaï Pinheiro ajoute, quant à lui, un supplément d'âme aux personnages d'«Un avion sans elle » et ses choix de couleurs anticonformistes donnent véritablement un nouvel éclairage à l'intrigue. Les fans de Bussi y trouveront assurément leur compte (ce qui n'avait pas été le cas pour la série TV) et ceux qui n'ont pas lu l'oeuvre se laisseront happer par cette « road Bd » qui, comme l'oeuvre source, est un véritable « page turner » mais acquiert à la fois profondeur et dimension poétique. Un excellent album, à la fois percutant et divertissant. On aurait tort de bouder son plaisir …
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Cela fait plusieurs temps qu'on voit apparaître des BD adaptées de l'oeuvre de Michel Bussi qui est actuellement le second écrivain le plus lu en France. Ses romans s'arrachent littéralement en terme de ventes.

J'ai déjà lu en BD : « Mourir sur Seine » , « Nymphéas noirs » et tout dernièrement « Gravé dans le sable » que j'avais bien aimé. Avec un avion sans elle, c'est le top de ce que j'ai lu. J'ai été agréablement impressionné par une telle virttuosité dans le scénario qui passe très bien le cap de la bande déssinée et qui pourrait même être adapté pour le cinéma.

Il s'agit d'une enquête pour découvrir l'identité exacte d'un bébé seul survivant d'un crash d'avion survenu en 1980. le récit alterne entre le présent et le passé et réusi à maintenir un suspense incroyable entre une riche famille parisienne et des prolétaires de Dieppe.

En effet, je n'avais pas vu venir la fin malgré tout les indices laissés par l'auteur au cours de cette histoire très bien racontée et qui a pour cadre notamment le Jura ce qui change un peu de la Normandie chère à l'auteur. A vrai dire, on ne fait pas du tout attention à ces indices en première lecture mais ils se révèlent être assez bluffants.

Un mot sur le dessin du brésilien Nicolaï Pinheiro pour indiquer qu'il correspond tout à fait à mes attentes pour ce type d'histoire. C'est en effet un graphisme très appréciable qui possède une vraie personnalité ainsi qu'une certaine souplesse dans le trait ce qui rend la mise en scène dynamique et prenante.

J'avais emprunté cette BD. Sitôt lu, une commande directe pour la recevoir afin de rejoindre illico presto ma collection. C'est franchement un indispensable. Ma note est maximale pour un très bon moment de lecture.
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Avoir une mémoire d'huître (c'est ainsi que je baptise la mienne, sans savoir si ce mollusque n'en a pas une meilleure que moi d'ailleurs) présente, notamment, comme inconvénient de ne plus se souvenir de toutes ses lectures.
Et comme je n'ai pas le temps de relire, la production littéraire dépassant largement mes capacités en temps et en quantité, j'ai trouvé, avec la parution de ce magnifique album, signé Duval et Pinheiro, l'occasion de redécouvrir Un avion sans elle, le roman de Michel Bussi, lu au moment de sa sortie, il y a près de dix ans déjà.
C'est donc vierge (Oui, ne soyez pas effarouchés, je viens de vous dire que je ne me souviens de rien) que j'ai lu et apprécié cette adaptation, dont je ne saurais dire si elle est fidèle ou non.
Un avion qui se crashe dans le Jura.
Tous les passagers meurent dans l'accident.
Tous, sauf... un bébé.
Problème, comment l'identifier ?
C'est une fille.
Bon, ça, c'est pas trop difficile à savoir, mais quand deux familles la réclament, aussi convaincue l'une que l'autre, qu'il s'agit là de leur petite fille...
Le pays est en émoi.
Parallèlement à la justice, un détective privé, Crédule Grand-Duc (tu parles d'un nom...) enquête.
Vous voulez savoir qui est Lylie, la miraculée du Mont Terrible ?
Vous aimez la bande dessinée ?
Précipitez-vous chez votre fournisseur de lecture préféré,  ça s'appelle Un avion sans elle et ça vient de paraître.
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Comme un avion sans elle est l'adaptation d'un roman de Michel Bussi. J'avais aimé Nymphéas noirs adapté en bande dessinée. Celui-ci est aussi assez passionnant. C'est l'histoire d'un bébé qui est le seul survivant d'un accident d'avion et que deux familles revendiquent. le récit se déploie dans le temps, de 1980 à 1998,
Le dessin est classique, très réaliste, une peu trop clean à mon goût, il manque un peu de caractère, froid et chirurgical, mais d'un autre côté, il rend bien service au scénario, son réalisme lui apporte une certaine crédibilité, une certaine efficacité.
J'ai aimé tout ce jeu de rebondissements, de révélations, la structure du récit dans le temps s'articule bien avec les flashbacks. Je me suis laissé embarquer dans les méandres du récit, il m'a happé, ça fonctionne bien, c'est efficace, juste la bonne longueur pour avoir suffisamment de consistance et ne pas nous laisser le temps de s'ennuyer. Un bon divertissement, un bon polar.
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Décembre 1980, un avion s'écrase sur le Mont Terrible, dans le Jura. Un seul survivant est retrouvé : un nourrisson de 3 mois. Mais pendant cd vol il y avait deux bébés : Emilie Vitral, 2e enfant d'un modeste couple normand, et Lyse-Rose de Carville dernière née d'une richissime famille bourgeoise. Qu'elle est l'identité de celle que l'on surnommera Libellule?

Voici une adaptation très réussie du célèbre roman de Michel Bussi. J'ai lu le livre, je connaissais donc parfaitement le déroulement et surtout la conclusion de ce passionnant thriller et pourtant... pourtant j'ai eu du mal à décrocher de ma lecture tellement celle-ci m'avait de nouveau happée.
A travers le journal du détective Credule Grand-duc nous suivons 18 années d'enquête pour déterminer l'identité de la petite miraculé. Les différentes preuves, les rebondissements... les informations sont parfaitement distillées pour jouer le suspense jusqu'au bout.

Seul bémol pour moi : le dessin. Il n'est pas franchement mauvais mais je n'ai pas réussi à accrocher. le trait est un peu grossier donnant des traits anguleux aux personnages. Heureusement ils sont très expressifs. Les arrières plans sont trop lisses, trop propres et dès qu'on est sur des cadrages plus serrés le trait a la mauvais manie d'être dédoublé.
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critiques presse (2)
BDGest
25 mai 2021
Un succès que l'on doit aussi en grande partie à l'entente des trois auteurs - il ne faut pas oublier l'admirable travail de Nicolaï Pinheiro - qui transparait dans ces échanges.
Lire la critique sur le site : BDGest
BDGest
10 mai 2021
Véritable page-turner, ce récit dense aux personnages complexes et attachants promène le lecteur dans les mystères de l'enquête autant que dans les décors des quartiers parisiens, les chemins de grande randonnée du jura ou du front de mer dieppois.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Comment aurais-je pu deviner que je tombais dans un puits sans fond ? Que la lumière qui m'attirait alors m'entrainait vers le néant ? Un trou noir. Un tremplin au-dessus du vide.
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Vous ne comptez quand même pas ouvrir une friterie sur mon parking ?
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La vie nous réserve bien des surprises.
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Une cuite au vin de paille, ça me tente bien !
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Besançon, la ville la plus froide de France !
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Videos de Michel Bussi (215) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michel Bussi
L'auteur normand à succès Michel Bussi présente son nouveau livre "Mon cœur a déménagé" sur BFM Normandie. Après plus 12 millions de livres vendus en France, l'auteur revient avec une 17ᵉ histoire située dans la ville de Rouen : Ophélie a grandi dans un environnement difficile et a dû se remettre du meurtre de sa mère à l'âge de sept ans. Aujourd'hui étudiante, elle décide de prendre sa revanche sur la vie. "L'écrivain décrit son livre comme un récit "de vengeance", un "roman sur l'enfance".
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