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EAN : 9782253040477
352 pages
Préludes (05/02/2020)
3.38/5   118 notes
Résumé :
Claire, inquiète, consulte à nouveau son portable. Il est vingt heures passées et son petit-ami, qui était censé venir la chercher, est introuvable. Cela fait bientôt six mois qu’ils sont ensemble, Claire le connaît bien. Medhi est toujours à l’heure. François est extrêmement organisé. Grâce à lui, la soirée du samedi est devenue un évènement incontournable que ses voisins, choisis avec le plus grand soin, ne rateraient pour rien au monde. C’est le moment idéal pour... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (44) Voir plus Ajouter une critique
3,38

sur 118 notes
C'est typiquement le genre de livre que j'aimerais aimer. Premier roman d'un auteur, qui l'autoédite en 2016, finalement désigné lauréat du concours organisé par Préludes, Babélio et kobo, en 2019, il porte l'idée qu'il est possible d'être remarqué. Cela ne peut évidemment laisser personne qui écrit un peu indifférent.

L'idée est bonne. Je ne révèle rien – on le sait très vite – en indiquant que l'on a ici une sorte d'adaptation des chasses du comte Zaroff dans la campagne française, avec des motivations bien différentes, mais, justement, cela aurait pu ajouter de l'intérêt.

Pourtant, la construction de ce livre ne m'a pas parue adaptée, justement parce qu'elle enlève tout suspense, ou pratiquement. Oh, certes, il reste quelques questions dont la réponse arrive plus tard dans le livre, mais, dès les 20 premières pages, pratiquement, on sait tout ce qui va se passer, en tout cas la ligne directrice. Et, pour moi, c'est vraiment lié à la construction du roman, fait de passages permanents entre le passé et le présent. Et ce gimmick m'a semblé à la fois trop répétitif, parce que trop systématique, et trop explicite, faisant retomber une partie de la tension.

Résultat, là où cela aurait pu être une lecture coup de poing, on a une honnête lecture, avec des personnages assez clichés, un peu trop appuyés. Et, pour l'avoir vu signalé dans d'autres critiques, j'ai également trouvé le choix lexical curieux, parfois très relâché, y compris en dehors des dialogues, dans lesquels cela pouvait s'expliquer, alors qu'à l'inverse j'ai tiqué sur l'apparition à plusieurs reprises du terme « pourchasseur », que je n'avais jamais vu employer. Alors j'ai vérifié, dans le Trésor de la langue française, et ce substantif apparait comme rare, avec quelques exemples, chez Baudelaire par exemple. Un grand écart pas si évident… C'est idiot, mais, dans le même ordre d'idée, quand on me parle d'un objet contondant en parlant d'une flèche (p. 194), cela me fait sortir de ma lecture.

Enfin, j'ai par moment eu un petit peu de mal avec la vraisemblance de certains éléments. Je n'ai jamais essayé de fuir en forêt devant un chien, mais l'idée que le molosse perde, à 20 mètres, la piste de celui que son maître à contraint à manger dans sa gamelle, j'ai un doute. Qu'en forêt, on puisse marcher sur un tesson de bouteille, certes, mais la description qui nous est faite (p. 95) de Mehdi s'empalant le pied sur un « pic d'une dizaine de centimètres » me pose question. Que le gendarme, après avoir fait son discours de bon petit soldat – « … je ne peux pas engager de procédure judiciaire. Toute personne majeure est libre d'aller et venir comme elle veut. Et même de disparaître si elle le souhaite. » -, décide tout d'un coup, pour les beaux yeux de la soeur du disparu, qu'il peut quand même essayer de leur donner un coup de main… bon… Et puis, surtout, que Claire, toute seule, parvienne à mettre la main sur la preuve ultime, ou presque… c'est presque trop facile !

Bref, je suis d'autant plus critique que je trouve que l'idée de départ méritait un traitement encore plus emballant. Connaissant sa prédilection pour les ambiances glauques, je me dis que Sandrine Collette, par exemple, à l'image de Des noeuds d'acier, nous en aurais sans doute fait un truc étouffant à souhait, à lire en apnée, et qui m'empêcherait de dormir ensuite pendant un moment…
Lien : https://ogrimoire.com/2020/0..
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Une lecture assez décevante même si l idée de départ, une chasse à l homme, avait tout pour me plaire ( j ai bien aimé chiens de sang de Karine Giebel par exemple).
En fait je n ai pas aimé la construction du roman. Pas de suspense. Et surtout les parties consacrées à la famille et à la petite amie de la victime cassent le rythme. Énormément de répétitions. Un choix lexical pas toujours adéquat ( les proches de Medhi, l homme sequestre puis chassé , utilisent de nombreuses fois le terme chelou). Les personnages sont trop manichéens .

Je suis passée à côté. Dommage.
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Alors là, après l'Eloquence de la Sardine, mon précédent livre, je tombe dans l'extrême.

Finis les pays majestueux, me voici dans les bois avec Medhi, nus comme un ver et surtout à sa suite un groupe d'amis qui a l'air à la fête. Mais quelle fête ? et pourquoi lui est-il nu en plein hiver, dans la nuit et dans ses bois qu'il ne connaît pas.

Et Claire, sa petite amie qui l'attend et qui se morfond en pensant au pire.

Une écriture haletante, pleine de suspense. On avance à tâtons, on est comme Medhi, mais pas nu...enfin pour ma part lol.

On s'interroge, on le suit, on souffre avec lui, on retient son souffle... C'est une horreur, un cauchemar qui ne s'arrête pas, qui vous plonge dans les ténèbres, dans les pensées et les actes les plus sordides de quelques humains.

Mais au final, l'auteur entretient un suspense, et développe son intrigue en distillant de nombreux indices, qui vont petit à petit faire découvrir l'innommable, l'impensable, l'intolérable, bref la cruauté et la bêtise humaine.

L'effet de groupe est très présent dans cette lecture. 

De passages difficiles en espoirs, l'auteur a construit une intrigue qui ne laisse rien au hasard; tout est calculé, malgré une incompréhension de la victime qui petit à petit va voir ses forces le lâcher. Cette situation va le pousser à affronter toutes ses peurs et surtout à puiser dans son âme et son corps des ressources totalement inattendues.

Une lecture fluide, une ambiance pesante, des personnages superbement travaillés et détaillés, un parallèle entre la famille de Medhi et la famille De Claire détonant, et surtout un opposé entre deux familles que tout aurait pu réunir, et surtout l'amour de leurs enfants. Mais tout cela était sans compter les a priori et les préjugés stupides de quelques personnes qui ne savent pas prendre du recul et qui n'ont aucune empathie.

Alors effectivement dans le groupe, on a des simplets, à l'image de Jesus et de sa mère; lesquels entretiennent une relation particulière. Mais, nous avons également la présence de personnes beaucoup plus cultivées qui n'ont pas beaucoup de discernement.

Cette lecture qui est prenante, ne peut que vous amener à réfléchir à certains comportements, et je pense que l'effet groupe peut amener à des horreurs. 

Je vous conseille cette lecture absolument époustouflante, qui est un page-turner démoniaque et diabolique comme indiqué sur la page arrière du livre.

Incontournable. Monsieur Bussonnais, votre avenir est à mon humble avis tout tracé . Continuez dans cette voie pour le plus grand plaisir des lecteurs.

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J'ai trouvé ce roman bien particulier dans le paysage actuel du thriller français.
Par son thème, la chasse à l'homme ; personnellement je ne me souviens pas avoir déjà lu de récit dans lequel un groupe de « notables » organisaient une expédition punitive. Et par son style, un peu lourd parfois du fait de longues descriptions que l'on pense d'abord inutiles, et puis qui finalement, servent à introduire une scène narrée de manière plus brève ; mais une scène qui claque bien aux yeux du lecteur !!! J'avoue avoir été choquée, malaisée par moment par ce que Bussonnais me racontait ! C'est glauque, c'est cru, c'est vulgaire… et pourtant, ça doit tellement coller à la réalité (il n'y a qu'à regarder le JT pour s'en rendre compte) !

Nous sommes dans une petite ville de campagne, là où le vétérinaire, le médecin ou le juge qui y habitent forment le cercle de notables respectables qu'on ne doit surtout pas égratigner. Leur fonction intime « naturellement » le respect des autres habitants. Quand François, le vétérinaire, décide d'organiser une chasse nocturne, personne ne remet en question le principe. Les pervers de la haute société se frottent les mains devant l'inédit de la soirée, tandis que les « petites têtes » sont invitées là pour qu'elles ne puissent pas témoigner contre les premiers si cela se passait mal.

Nous avons également Claire, la fille de François, qui se retrouve bien embêtée ce vendredi soir car son petit- ami, Mehdi, n'est pas venu la chercher comme prévu. En six mois de relation, il n'a jamais fait faux bond. Son embarras est accentué par le fait qu'elle n'a pas encore parlé à ses parents de sa relation avec Mehdi ; ils sont extrêmement racistes…

Tous ces éléments, vous l'aurez compris, vont s'entremêler.

Le schéma narratif est vraiment très bien ficelé, les personnages sont très bien construits au niveau psychologie. Les choix de l'auteur peuvent s'apparenter à des clichés, c'est vrai. Les propos tenus par les personnages sont eux aussi d'une vulgarité qui aurait pu être évitée dans un roman. Malgré tout cela, malgré des moments malaisants, je l'avoue : j'ai été captivée par ma lecture.
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Après une nuit hantée par ce livre ,il m'est difficile de trouver les mots justes.Existent ils vraiment ?
Je ne crois pas, car sur l" horreur ,sur l'incroyable négation de l' Homme ,sur l'abject ,sur la cruauté il est très peu probable d'y parvenir.
Ce serait presque un parjure .
Malgré tout ,je vais essayer,avec mes mots maladroits ,naïfs,pleins de bons sentiments, rêveurs et chagrins.
C' est l'histoire d'un jeune homme de 25 ans au doux prénom de Mehdi.
Il aime et est aimé de Claire.
Il doit la chercher mais sur son chemin parsemé de joie, de désir d'avenir commun il fait la rencontre de deux salauds.
Sa vie va alors devenir un cauchemar entraînant dans cette spirale monstrueuse ,la vie de ses parents, de ses soeurs, de Claire.
Spectatrice de cette horreur ,mon sang se glace,la nausée est là, la douleur saisissante et bien entendu savoir que Mehdi pourrait s'appeler Yacine,Soufiane ,Imad ou Mohammed ,mes amours,me transperce.

En lisant les critiques de ce livre ,après l'avoir lu ,j'ai été bouleversée par certaines remarques qui parlaient de manichéisme.
C' était comme une humiliation de plus à Mehdi .
Évidemment que d'un côté on a un jeune homme plein de promesses de vie et de l'autre une bande de monstres qui ont décidé que Mehdi n' était pas un homme .
De cette bande ,aucun n' est fou ,ils savent tous ce qu'ils font, l' assument ,en tire un plaisir ,une jouissance puissante et sont persuadés qu' ils ont raison.
On trouve un vétérinaire , sa femme et leur fils ,un couple de boulangers ,un retraité ,deux frères voyous ,un fils et sa mère limités pour ne pas dire débiles.
Comment peut-on imaginer mettre en parallèle les bourreaux et leur victime ?
On plonge dans leur vie ,somme toute banale ,travail ,famille, repas, loisirs .
Des gens bien propres qui aiment leurs enfants et leur chien .
Les seuls qui sont vraiment décrits comme des pervers sont la mère et le fils.
On plonge également dans la famille de Mehdi ,des parents aimants attentionnés, fiers de leurs enfants ,qui vivent leur foi en toute simplicité et intimité, qui ont accueilli Claire en la faisant leur,qui ont vaincu la maladie du papa .
Ils auraient finalement bien plus de choses en communs que des choses qui les séparent mais voilà la haine aveugle est là qui détruit toute espoir.
Mehdi en est une victime, comme l' a été Habib Grimzi ,Brahim Bouarram,Malik Oussekine,Zyad et Bouna ,mon petit Yacine là où il repose et tant d'autres.
Alors pour eux ,j'aimerais écrire une très belle fin.
Mehdi est parti chercher Claire ,puis sont allés faire l' Iftar chez Samia et Ahmed, les parents de Mehdi.
L'ambiance était chaleureuse et pleine d'amour.
Mehdi et Claire ont annoncé qu' ils allaient vivre ensemble et se marier l'année suivante.
A ce mariage ,les parents de Mehdi et Claire se sont trouvés des tonnes de points en communs.
10 ans après Mehdi et Claire sont à la tête d'une famille de 4 enfants ,dont des jumeaux.
Mehdi travaille toujours comme plâtrier dans l'entreprise où il a commencé son apprentissage et Claire est secrétaire.
Ahmed ,Samia ,François et Sylvie sont des grands parents comblés.
Parfois Mehdi et Claire se disputent ,c'est la vie, mais qu' est ce qu' ils s' aiment ! Et ils deviendront à leur tour des grands parents comblés.
Lorsqu'ils quitteront ce monde ,il restera d' eux le souvenir d'un couple ,de parents, de grand-parents qui ont été d'abord des enfants aimés qui ont eu l' immense bonheur de se trouver et qui ont réussi leur vie.
J' ai toujours préféré les fins heureuses ,j'ai toujours préféré l'amour à la haine.

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Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
Tous les deux très impulsifs. Des sanguins. Pas réfléchis pour deux sous. Ils imposent le respect, mais n’en sont pas coutumiers. Leur vision du monde est très étriquée, ils n’acceptent pas qu’on remette en cause leurs opinions. Quiconque est trop virulent à leur égard risque de se faire cogner dessus. La baston est leur argument favori, et ça depuis tout petits. Leur père est leur modèle. Les garçons ont grandi en l’écoutant narrer ses frasques de jeunesse. Les cassages de dents, de nez, les mises à l’amende… Ils en sont devenus des copies parfaites. Allant jusqu’à adhérer à son idéologie de race blanche supérieure, patriotes jusqu’au bout des ongles, nationalistes à l’extrême.
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Son doberman, en revanche, couché dans l’herbe fraîchement tondue, a remarqué le visiteur. Le chien lève la tête, fixe David deux secondes avant de se ruer sur lui. Élancé, musclé, d’un noir luisant contrastant avec les touches de feu : il est magnifique. David s’accroupit pour qu’il se jette dans ses bras, et manque de peu de se faire renverser. Ils s’adorent. Le jeune homme a contribué à son éducation, à son dressage.
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Le fait est que, par ici, dans la France profonde, le racisme est ordinaire. Mehdi l’a maintes et maintes fois constaté. On dit « bougnoule » comme on dit « négro ». Sans gêne. En riant, même. Mais les gens vous diront qu’ils ne sont pas racistes. Non, c’est juste qu' »il y a trop d’immigrés », « trop d’Arabes ». Qu' »ils n’ont pas à nous imposer leur religion », « leur religion de terroristes ». « Mais je ne dis pas ça pour toi », le rassurent ceux osent sortir ces clichés devant lui. Mehdi ne compte plus les fois où on lui a avoué : » Je n’aime pas les Arabes, mais toi je t’aime bien ». Cette phrase résume à elle seule la stupidité de leur raisonnement. Si tant est qu’ils raisonnent. Car en réalité ils ne connaissent pas d’Arabes (ou alors un ou deux, mais qui ne sont pas représentatifs, à leur avis), n’ont aucune idée ni de ce qu’est l’Islam ni du contenu du Coran.
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Des souvenirs. De ceux qui remontent à la perte d’un être cher. D’abord cette image de Mehdi, tout petit, ses cheveux noirs frisés, sa dent de devant en moins, assis sur son tricycle aux roues bleues. Puis sa joie, un peu plus tard, quand il avait rapporté sa première coupe gagnée au foot. Sa première fois en Algérie – il avait seize ans. Il se sentait étranger en arrivant sur la terre natale de ses grands-parents, mais en repartant il n’avait qu’une hâte, y revenir. Enfin, il y a quatre ans, au chevet d’Ahmed, à l’hôpital de Saumur. Alors qu’Ahmed se pensait condamné, que plus personne n’avait d’espoir. Mis à part Mehdi. Ahmed le revoit, sa main entre celles de son père. Les larmes sur son visage fermé. Il l’avait sommé de se battre. Lui rappelant cette phrase qu’Ahmed avait pour maxime sans se souvenir d’où elle lui venait : celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu. « Bats-toi ! Pour maman, pour Naïma, pour Aïda, pour moi. Bats-toi ! Pour Amine (son petit-fils, l’enfant de Naïma) et tes autres petits-enfants à venir. Pour toi, pour tout le bonheur que tu as encore à vivre ! » Les larmes coulaient sur ses joues creuses. Ahmed était fier de son fils, particulièrement à cet instant. Et Mehdi avait raison : il devait se battre.
Ne pas abandonner. Ne pas laisser la maladie l’emporter.
Près du cimetière, la voiture toujours à l’arrêt, Ahmed pleure à chaudes
larmes. Ces mots que Mehdi avait prononcés résonnent encore dans sa tête. Et ils trouvent un écho aujourd’hui. Ne pas renoncer. Continuer à chercher. Il doit retrouver son fils !
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François, fin prêt, fait tourner son trousseau dans sa main gauche, jusqu’à saisir la clé qu’il lui faut pour ouvrir l’arrière de sa voiture. Il se tient à présent devant les portes. Après avoir réglé l’inclinaison de sa frontale, de sa main droite il sort sa matraque télescopique de son étui et, d’un vif coup de poignet, la déplie. François approche la clé de la serrure. Avec son avant-bras, il essuie son nez qui goutte. Il enfonce la clé, lève sa matraque en l’air, prêt à l’abattre si cela s’avère nécessaire. Il n’a pas peur, mais il préfère se méfier. Il tourne la clé : ça remue à l’intérieur. François pose la main sur la poignée de la porte, appuie, et ouvre rapidement tout en faisant un pas en arrière pour prévenir un éventuel bondissement. Rien de tel ne se produit.
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Vidéo de Anthony Bussonnais
Le nom du lauréat du concours d'écriture "Les Talents de demain" 2019 a été dévoilé ! Il s'agit d'Anthony Bussonnais, pour son thriller implacable "Un Samedi soir entre amis". Il succède ainsi à Cedric Lalaury et son thriller psychologique "Il est toujours minuit quelque part", et Coline Gatel et son roman policier historique "Les Suppliciées du Rhône".
Découvrez dès à présent le roman d'Anthony Bussonnais disponible en numérique sur la plateforme Kobo, et à paraître aux éditions Préludes en février 2020 !
Pour en savoir plus : http://bit.ly/UnSamedisoir
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