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Critique de Nayac


Longue déchéance , descente aux enfers, d'un architecte établi , organisée par une jeune prostituée sûre de son pouvoir et qui en joue?

Longue torture plutôt. Celle d'un amour non partagé qu'Antonio choisit de poursuivre. Et quand ("enfin" - dirons les raisonnables) il rompt, ce n'est finalement qu'une parenthèse.

On peut y voir aussi une prise de conscience de la profondeur de la solitude d'Antonio, révélée, amplifiée par Laïde et ce qu'elle représente. Certes au prix de rage, colère .... Mais jamais il n'a aussi intensément vécu que dans ces brefs instants.

Tout ceci dans un récit mêlant alternance d'espoirs ( " ce jour la, Laïde semblait plus joyeuse et insouciante qu'à l'accoutumée . Était ce qu'un début d'intimité humaine commençait à s'installer entre eux?"),et de désespoir (" Laïde ne pouvait rien être d'autre pour lui qu' humiliation et rage, de ce côté il ne pourrait espère qu'une déchéance absolue.")
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