L'imagination des toutes les "chatonnerie" de Brum sont prenantes et vous font vite pleurer de rire.
C'est drôle, ça ne se prend pas au sérieux, un livre sympa et qui se lit facilement. Mais on s'attache énormément à Brum (chat particulièrement attachant) et son maître. Et l'on a pas de problème pour imaginer les scènes.
L'auteur trouve une fin très originale, et bien écrite. J'ai beaucoup aimé ce brin de folie qu'offre cette fin. Et il est aussi agréable de lire tout au long de l'oeuvre des notes de l'auteur, qui apportent toutes quelque chose.
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Brum est un chat comme les autres. Enfin presque, car sa maladresse le met souvent dans des situations rocambolesques.
C'est lorsque son maître se rend compte que Brum vieillit et n'est pas éternel, qu'il écrit ses mémoires avec ses péripéties et ses souvenirs plus drôles les uns que les autres.
Un chat maladroit mais si attendrissant.
Enfin un livre qui fait sourire!
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Les chats nous regardent comme faisant partie de leur décor, oui, mais l’inverse n’est pas vrai. Les chats nous piétinent allègrement, et pas seulement dans un sens métaphorique. Si nous nous trouvons sur leur chemin, ils n’hésiteront pas à nous passer sur le corps, comme si nous n’étions même pas là. En fait nous leur sommes parfaitement accessoires.
Au terme de cette première journée, j’arrivai à la conclusion que s’occuper d’un enfant en bas âge et d’un chat était un labeur harassant, et que l’existence était beaucoup plus simple -et plus sûre- dans un bureau.
Nos deux chats se déclarèrent en rébellion ouverte. Désormais, c'était eux contre nous. Deux petites peluches attendrissantes, opposées à deux humains solidement bâtis. Nous n'avions aucune chance.
C’est la vie. Tu devrais savoir qu’on n’en sort jamais vivant.
À ma mère, qui n’apparait guère dans ces pages car elle se livre rarement à des actions totalement stupides et à mon père qui a toute sa place ici.