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Les chroniques de Narnia tome 2 sur 7
EAN : 9782075088459
208 pages
Gallimard (07/09/2017)
3.84/5   1432 notes
Résumé :
Quatre enfants, Peter, Edmund, Susan et Lucy, éloignés de Londres à la suite des raids aériens, pendant la Seconde guerre mondiale, trouvent refuge chez un vieux professeur quelque peu excentrique. Au cours d'une partie de cache-cache, Lucie pénètre dans une armoire. Elle s'enfonce au milieu des vêtements qui, insensiblement, deviennent les arbres d'une forêt. C'est ainsi qu'elle découvre, pou la première fois, le monde magique et merveilleux de Narnia, où les anima... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (119) Voir plus Ajouter une critique
3,84

sur 1432 notes
Me voilà de retour à Narnia et j'adore toujours autant le style de l'auteur.

À cause des raids aériens, Lucy, Peter, Susan et Edmund sont éloignés de Londres et envoyé chez un professeur qui vit dans une grande maison où une armoire magique va les emmener dans un autre monde...
Le monde de Narnia est depuis des années plongé au sein de l'hiver car une puissance maléfique règne dessus. Mais l'arrivée des enfants dans ce monde va bouleverser le cours des choses.
Ils vont faire la rencontre d'Aslan, ce lion brave et juste qui va les mener à leurs destins : devenir rois et reines de Narnia. Mais la sorcière Blanche ne l'entend pas de cette oreille et va tout faire pour que la prophétie ne se réalise pas...

J'avais déjà beaucoup aimé le style de l'auteur car il nous plonge vraiment dans son histoire et sa façon de s'adresser au lecteur est très appréciable car on a l'impression de vivre chaque moment quand il se déroule.
On dirait aussi que l'auteur vit l'histoire au fur et à mesure qu'il la raconte.
Ayant vu le film avant de lire le livre, je ne suis pas déçue car le film a vraiment bien retranscris l'essentiel du roman.
En ce qui concerne les personnages, je trouve qu'il y a un certain détachement de l'auteur qui pour moi se consacre plus à l'histoire de Narnia qu'à ces enfants. Difficile donc de s'attacher à chacun d'entre eux.
Edmund qui trahi son frère et ses soeurs est trop vite pardonné alors qu'on sait qu'une dispute n'est jamais aussi facilement oublié. Par contre j'ai adoré Aslan et son rôle. Il reflète la sagesse, la bonté, la droiture et la bravoure. Autant de qualité qui fait qu'on ne peut qu'adorer son rôle dans l'histoire.
La sorcière Blanche n'est pas assez méchante à mon goût. En dehors du fait qu'elle transforme tout le monde en pierre il n'y a pas le côté mauvais qui ressort spécialement.
J'ai trouvé que l'idée de l'armoire qui amène dans un autre monde était vraiment sympathique et bien trouvé.

Il y a quelques points négatifs mais beaucoup de positifs car j'ai beaucoup aimé lire ce tome et je ne me suis pas ennuyée une minute. Je vais donc poursuivre sur le tome suivant en espérant être toujours autant conquise.
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"Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique" est le second tome des Chroniques de Narnia, il est en revanche le premier qui ait été publié, en 1950. Complètement différent de son prédécesseur, qui relatait la genèse du monde de Narnia, il est aussi beaucoup plus passionnant.

Les événements se déroulent bien longtemps après, pendant la Seconde Guerre mondiale. Les frères et soeurs Peter, Susan, Edmund et Lucy ont été envoyés à la campagne afin qu'ils échappent aux bombardements, chez un vieux professeur, qu'on devine être Digory. Ce dernier vit dans une grande maison, aux pièces innombrables dans lesquelles regorgent tout un tas de choses à explorer et à découvrir. Dans l'une d'elles, il y a cette fameuse armoire magique évoquée dans le tome précédent, qui s'avère être le passage pour accéder à Narnia. C'est lors d'une partie de cache-cache que l'entrée est découverte. S'en suivent à partir de là nombre d'aventures pour les frères et soeurs, avec une sorcière cruelle, un hiver éternel, des créatures fantastiques, des animaux qui parlent, des statues de pierre, de la magie, une guerre inévitable, des paysages à couper le souffle, et bien évidemment un lion majestueux et magnifique, sur qui reposent tous les espoirs.

Même en ayant déjà vu le film, j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir ce livre, que j'ai trouvé plutôt bien développé pour un livre jeunesse et pour seulement 200 pages. D'abord, je ne m'attendais pas à toutes ces descriptions de la nature environnante, tantôt toute blanche, tantôt toute verte agrémentée de mille et une couleurs. On peut donc observer les quatre enfants évoluer dans des paysages qu'on imagine splendides. Et pourtant, niveau action, on a également notre content : des aventures en veux-tu en voilà, des rebondissements et des révélations aux moments opportuns.

Niveau personnages, on s'attache fortement aux quatre frères et soeurs, certains plus que d'autres ou d'une manière différente en tout cas. On apprécie Peter le courageux, Susan la douce, Edmund le téméraire et l'espiègle petite Lucy. On aime à les suivre dans leur quête, les voir grandir un peu également, tirer des leçons de leurs erreurs et faire face à l'adversité.

J'émettrai tout de même deux petits bémols. le premier concerne la bataille finale, que j'ai trouvée bien trop vite expédiée. le second concerne le fait que le sexe féminin soit constamment mis en retrait, toujours à lui prêter des actions et des caractères trop "nobles". Ainsi je regrette que Susan n'ait pas eu à se servir une seule fois de son arc et de ses flèches, ou encore qu'elle et sa soeur n'aient pas pu se distinguer pendant la bataille puisqu'elles n'y ont pas participé. J'apprécie que cet aspect ait été modifié dans le film, octroyant une personnalité nettement plus affirmée aux deux soeurs.

En revanche, j'ai trouvé cet opus beaucoup moins moralisateur, moins "biblique" également, et ça c'est vraiment appréciable.

Dans l'ensemble, c'était une aventure haute en couleur. Vivement la prochaine !
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Toujours dans mon optique de finir mes sagas entamées, je me replonge dans l'univers de Narnia. le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique est l'opus le plus connu, surtout avec la sortie du film, et la "vraie" entrée en matière avec le monde de Narnia. de quoi donner le ton pour la suite. Malheureusement pour moi, comme l'indique ma note, j'ai eu du mal à apprécier cette relecture. le neveu du magicien m'avait laissé un meilleur souvenir, je dois bien l'avouer...

Je ne nie pas que le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique est plein de magie. A bien des égards, on y retrouve clairement tous les ingrédients d'un très bon roman fantastique jeunesse. La découverte merveilleuse d'un monde magique, des personnages emblématiques comme Aslan, une quête pour que le bien triomphe, des amitiés adorables, une méchante très méchante... le récit est très bien rythmé, alternant adroitement entre l'action, la découverte et la réflexion. Il y a aussi de l'humour tout à fait adorable, et de très bons sentiments. Pour moi, notamment, la relation qu'Aslan a avec la fratrie Pevensie est merveilleuse au possible. Une figure forte à l'image d'un père absent, qui alterne entre l'autorité, la sagesse et la tendresse. Mon passage préféré, même s'il est empreint de beaucoup de tristesse, reste le moment où Suzanne et Lucy accompagne le grand lion pour sa rencontre avec l'ennemi.

Mais cela ne fait pas tout. Il faut se remettre dans l'époque, j'entends bien, et surtout penser au cinquantenaire érudit anglais et pratiquant qui a écrit la saga, mais... la misogynie ambiante (les femmes ne sont bonnes qu'à s'évanouir et à s'occuper de la cuisine - oui j'extrapole mais pas trop non plus), la façon de parler des enfants Pevensie parfois très ampoulée, la froideur dans les relations (qui se serre la main à cet âge pour se réconcilier entre frères et soeurs ?) et le côté parfois trop cocasse font que j'ai souvent levé les yeux au ciel. Pour moi, l'histoire a assez mal vieilli. Elle est mignonne mais vieillotte et ne véhicule pas d'assez bons messages. le manque de nuances et le côté deux dimensions : les gentils gentils et les méchants méchants n'ont rien d'exaltant. Edmund est un peu à part, mais il est trop antipathique au départ pour ensuite devenir meilleur mais là encore sans vraiment d'explications.

Un second plongeon guère réussi pour ma part... Je ne gardais pas un souvenir aussi "mauvais" de cette lecture, je dois bien l'avouer, et cela me fait un peu peur pour la suite. Je ne pense pas que les défauts que j'ai trouvés ici vont s'améliorer... et pour le coup, je ne pense pas qu'il serait intelligent de poursuivre autant pour moi que pour la saga. Je vais donc clôturer ici mon aventure avec Les chroniques de Narnia.
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Voici une seconde relecture ma foi fort agréable, j'ai en effet pris grand plaisir à relire les aventures de Peter, Susan, Edmund et Lucy envoyé en pleine campagne pour fuir les raids aériens à Londres lors de la guerre, mais aussi de retrouver cet univers fabuleux qu'est le monde de Narnia, ravie également de retrouver M. et Mme Castor ainsi que M. Tumnus ce si gentil faune que rencontra Lucy lors de sa première traversée de cette armoire si particulière.
Cette relecture assez fidèle au film que j'ai vue et revue je ne sais trop combien de fois m'a donné envie de regarder de nouveau celui-ci revoyant certaines scènes de celui-ci à la relecture de l'ouvrage.
Vous l'aurez compris j'ai passé un excellent moment à la relecture de ce second tome ravie de retrouver de nombreux personnages mais aussi la magie du merveilleux monde qu'est Narnia. Je vais donc me lancer prochainement dans la lecture du prochain tome.
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Qui n'a jamais rêvé d'une armoire magique ?
J'ai commencé l'histoire de Narnia avec ce tome, et ce n'est absolument pas gênant pour apprécier l'histoire. Lucy, Peter, Susan et Edmund vont être évacués dans la grande maison d'un professeur. Un jour, ils y découvrent une armoire qui les conduira au pays de Narnia, un royaume où les attendent des aventures fantastiques.
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Citations et extraits (30) Voir plus Ajouter une citation
Toujours l'hiver et jamais Noël !
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- Évidemment, maintenant, c'est toujours l'hiver ! ajouta-t-il tristement.
Alors, pour se ragaillardir, il sortit de son étui, posé sur le buffet, une étrange petite flûte, qui avait l'air d'être faite en paille, et il se mit à en jouer. Et la mélodie qu'il improvisa donna à Lucy envie de pleurer et de rire et de danser et de dormir, tout cela en même temps. Il s'était sûrement écoulé plusieurs heures lorsque, soudain, elle sortit de sa torpeur, et déclara :
- Oh ! monsieur Tumnus, je suis désolée de vous interrompre, et j'adore cette mélodie, mais, vraiment, je dois rentrer à la maison. J'avais l'intention de ne rester que quelques minutes.
- Ce n'est pas bien, maintenant, vous savez, dit le faune, qui posa sa flûte et regarda Lucy en secouant sa tête très tristement.
- Pas bien ? cria Lucy, qui sauta sur ses pieds et se sentit plutôt effrayée. Que voulez-vous dire ? Je dois rentrer immédiatement à la maison. Les autres vont se demander ce qui m'est arrivé.
Mais l'instant suivant, elle s'exclama :
- Monsieur Tumnus, qu'avez- vous ?
Car les yeux bruns du faune s'étaient remplis de larmes, et ces larmes commencèrent à rouler le long de ses joues et, bientôt, elles glissèrent, goutte à goutte, du bout de son nez, et finalement, le faune se couvrit le visage avec ses mains et se mit à pousser des hurlements.
- Monsieur Tumnus ! Monsieur Tumnus ! s'écria Lucy, complètement bouleversée. Ne pleurez pas ! Je vous en prie ! Qu'est-ce qu'il y a ? Vous ne vous sentez pas bien ? Cher monsieur Tumnus, dites-moi ce qui ne va pas !
Mais le faune continuait à sangloter comme si son cœur allait se briser. Et même lorsque Lucy s'approcha de lui, l'entoura de ses bras et lui prêta son mouchoir, il ne s'arrêta pas de pleurer. Il prit simplement le mouchoir, et s'en servit copieusement, l'essorant avec ses deux mains chaque fois qu'il était trop humide pour être utilisé, si bien que Lucy se trouva bientôt au milieu d'une flaque.
Elle secoua le faune et hurla à son oreille :
- Monsieur Tumnus ! Je vous en prie ! Arrêtez-vous ! Arrêtez-vous tout de suite ! Vous devriez avoir honte ! Un grand faune comme vous ! Pourquoi diable pleurez-vous ainsi ?
- Oh. . . oh. . . oh. . . , sanglota M. Tumnus. Je pleure parce que je suis un faune tellement méchant. . .
- Je ne trouve pas du tout que vous soyez un méchant faune, rétorqua Lucy. Je trouve que vous êtes un très gentil faune. Vous êtes le faune le plus gentil que j'aie jamais rencontré.
- Oh . . . oh . . . Vous ne diriez pas cela si vous saviez . . ., répliqua M. Tumnus entre deux sanglots. Non, je suis un méchant faune. Je ne pense pas qu'il y ait eu un faune pire que moi depuis le commencement du monde.
- Mais, qu'avez-vous fait ? demanda Lucy.
- Tenez, mon vieux père . . . poursuivit-il, vous voyez, c'est son portrait, au-sessus de la cheminée. Eh bien, il n'aurait jamais fait une chose comme ça . . .
- Une chose comme quoi ? dit Lucy.
- Comme celle que j'ai faite, dit le faune. Entrer au service de la Sorcière Blanche. Voilà ce que je suis : à la solde de la Sorcière Blanche !
- La Sorcière Blanche ? Qui est-ce ?
- Eh bien, c'est elle qui tient tout Narnia sous sa domination. C'est elle qui fait que c'est toujours l'hiver. Toujours l'hiver, et jamais Noël . . . Vous imaginez !
- Comme c'est affreux ! compatit Lucy. Mais pour quel travail vous paie-t-elle ?
- C'est justement ça le plus horrible de tout, dit M. Tumnus avec un grognement douloureux et désespéré. Je suis, pour elle, voleur d'enfants ! Oui, voilà ce que je suis ! Regardez-moi, fille d'Ève. Me croiriez-vous capable, si je rencontrais dans le bois un pauvre enfant innocent, un enfant qui n'aurait jamais fait le moindre mal, me croiriez-vous donc capable de faire semblant d'être ami avec lui, de l'inviter chez moi, dans ma caverne, dans le seul but de le bercer et de l'endormir, pour le livrer ensuite à la Sorcière Blanche ?
- Non ! déclara Lucy. Je suis certaine que vous ne feriez jamais une pareille chose !
- Mais je l'ai faite, avoua le faune.
- Soit, admit Lucy, en parlant assez lentement ( car elle voulait, dans sa réponse, être sincère sans, pour autant, être trop sévère pour le faune ). Soit. C'est très mal. Mais vous le regrettez tellement que je suis certaine que vous ne recommencerez jamais.
- Fille d'Ève ! Vous ne comprenez donc pas ! s'impatienta le faune. Il ne s'agit pas d'une chose que j'ai faite dans le passé, mais que je suis en train de faire, juste en ce moment !
- Que voulez-vous dire ? cria Lucy, en devenant toute blanche.
- Vous êtes l'enfant, expliqua M. Tumnus. J'ai reçu des ordres de la Sorcière Blanche : si jamais je vois un fils d'Adam où une fille d'Ève dans le bois, je dois l'attraper et le lui livrer. Et vous êtes le premier enfant que je rencontre de ma vie. J'ai fait semblant d'être votre ami, et je vous ai invitée à prendre le thé et, pendant ce temps, j'ai eu l'intention d'attendre que soyez endormie pour aller le lui dire.
- Oh ! Mais vous ne le ferez pas, monsieur Tumnus ! dit Lucy. Vous ne le ferez pas, n'est-ce pas ? Vraiment, je vous assure, vous ne devez pas le faire !
- Si je le fais pas, dit-il en recommençant à pleurer, elle le découvrira certainement. Et elle me fera couper la queue, scier les cornes, arracher la barbe, et puis elle agitera sa baguette autour de mes beaux sabots fourchus et les changera en horribles sabots massifs, comme ceux d'un misérable cheval. Et si elle est vraiment très, très en colère, elle me transformera en pierre, et je ne serai plus qu'une statue de faune dans son horrible demeure, jusqu'à ce que les quatre trônes de Cair Paravel soient occupés - et Dieu seul sait quand cela arrivera, et peut-être même cela n'arrivera-t-il jamais . . .
- Je suis vraiment désolée, monsieur Tumnus, dit Lucy. Mais, s'il vous plaît, laissez moi rentrer à la maison.
- Bien sûr, dit le faune. Bien sûr, je le dois. Je le comprends, maintenant. Je ne savais pas à quoi ressemblaient les Êtres humains, avant de vous rencontrer. Bien sûr, je ne peux pas vous livrer à la sorcière ; pas maintenant que je vous connais. Mais nous devons partir tout de suite. Je vous raccompagnerai jusqu'au réverbère. Je suppose que, de là, vous pourrez retrouver votre chemin vers Chambre Dami et Ar-Moire ?
- Oui, j'en suis certaine, dit Lucy.
- Nous devons marcher aussi silencieusement que possible, l'avertit M. Tumnus. Le bois tout entier est peuplé de ses espions. Il y a même quelques arbres qui sont de son côté.
Tous deux se levèrent et laissèrent le couvert du thé sur la table. M. Tumnus rouvrit son parapluie, offrit son bras à Lucy, et ils sortirent dans la neige.
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— Bon ! Je suis presque prête maintenant, répondit enfin Mme Castor, et elle laissa son mari l’aider à enfiler ses après-ski. J’imagine que ma machine à coudre est trop lourde pour que nous l’emportions ?
— Oui, en effet, dit M. Castor. Vraiment beaucoup trop lourde ! Et tu ne penses tout de même pas que tu pourras t’en servir pendant que nous fuyons, je suppose ?
— Je ne peux pas supporter la pensée que cette sorcière va tripoter ma machine, soupira Mme Castor, et la casser, ou la voler, ce qui est plus que probable…
— Oh ! S’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît, dépêchez-vous ! crièrent les trois enfants.
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J'espère qu'aucun lecteur de ce livre ne s'est jamais senti aussi malheureux que Susan et Lucy le furent cette nuit-là ; mais si vous l'avez été, s'il vous est arrivé de rester éveillé toute la nuit et de pleurer jusqu'à ce que vous n'ayez plus une seule larme en vous, vous saurez qu'il vient, à la fin, une sorte de tranquillité. Vous avez l'impression qu'il n'arrivera plus jamais rien.
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S'il existe des gens qui peuvent se présenter devant Aslan, sans que leurs genoux tremblent, ils sont soit plus courageux que les autres, soit tout simplement stupides
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