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sur 543 notes
Ian Caldwell n'a rien a envier à Dan Brown avec ce livre. J'ai été complètement absorbée par l'intrigue, à tel point qu'une fois le livre terminé, j'ai ressenti comme un vide. A conseiller à ceux qui aiment tout ce qui tourne autour du symbolisme.
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Ah, ce livre ... ! Bien des polémiques, à lire, à ne pas lire, déception (ou pas ...). Moi, je n'ai pas pu passer les 300 pages. Je me suis accrochée, j'ai tenu bon, j'y suis revenue ... mais non.
Alors, peut être que c'est plutôt l'histoire d'une bande de jeunes à l'université, mais en tout cas, je souhaitais trop une histoire trépidante, pleine d'action et de fantasy pour y arriver! Un jour je ré-essaierai ...
Lien : http://mon-poisson-jaune-est..
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J'étais très illusionnée avec la lecture de ce livre et pourtant je ne me suis pas du tout éclatée, plutôt ennuyée
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Personnellement, il ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. Je m'attendais à beaucoup mieux. Et c'est peut-être ça le problème : ces livres à énigmes ont étés très surestimés pour la plupart.
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Je suis allé jusqu'au bout (de la version poche). Et j'ai été déçu. Je me suis fait avoir en lisant la quatrième page de couverture. Cela m'arrive.
Pourtant, j'imaginais que j'allais découvrir un roman proche du Club Dumas d'Arturo Pérez-Reverte que j'ai apprécié.
Et, toute monde... ne peut pas être Umberto Eco.
Pourtant, "l'intrigue" m'apparaissait géniale ou intéressante. Mais ici c'est long, ennuyeux, traitée d'une écriture désinvolte et paresseuse, un manque évident de maîtrise de la narration et la description de la vie estudiantine de Princeton ne fait que nous perde et nous égarer.
Lu ,il y a quatre ou cinq ans et j'ai eu une pensée aux traducteurs Hélène le Beau et François Thibaux.
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Je flâne en tongs sur le chemin de la plage dans une atmosphère à l'opposée de celle qui bruine dans mes bouquins. le soleil cogne autant qu'une deuxième brune, les nuages sont aussi absents que les corps vierges de tatouages et la température semble sortir d'un fion de fiévreux. Sous mes yeux, adossée à l'échoppe d'un vendeur de carreaux, une étagère pleine à craquer d'incunables en libre-échange. Attiré comme un moustique vers un prose de nudiste, je balaye les rangées d'un index chercheur. Coincé entre un De Villiers et un Angélique, un pavé imprimé assez gros pour être lu de loin ou avec des bras de cinq mètres. Selon ce qui se raconte sur la quatrième, rien n'a été pondu de plus génial depuis l'invention de l'omelette à la Vache qui Rit. Ramolli par l'ambiance estivale, en symbiose avec les semelles de mes tongs, j'embarque la brique, rêvant déjà, pauvre fou, aux fabuleuses heures de bonheur à portée. Il en va des oeuvres majeures comme des machines à pain, à jus ou à yaourt, quand on les déterre pour une bouchée de pain dans les vide-greniers, il y a un os.
Je suis sorti surfer un jour où le drapeau rouge flottait. Je me suis retourné au bout d'une demi-heure de combat acharné avec le shore-break ; je n'avais pas avancé plus de deux mètres par rapport au bord de la plage. Même constat ici en abordant le rivage estampillé 140. En théorie, je devrais être, à ce stade, plongé jusqu'au cou dans les énigmes tordues, tournant les pages d'un doigt enfiévré. En théorie. Retour à la couverture, l'oeuvre est écrite à quatre mains. Si j'étais mauvaise langue, j'y rajouterais un pied ou deux. Mais je ne le suis pas. Je peux me planter, mais je suppute l'un des deux d'être responsable de la partie « énigme historique » et l'autre du liant romancé. le premier dormait pendant le premier tiers. L'Hypnerotomachia Poliphili, personne n'y comprend rien, les inconscients qui ont tenté d'aborder ses côtes y ont perdu leur raison, leur existence, l'amour de leur vie, leur temps, leurs clés et le mot de passe du wii-fi. Inutile de consacrer un tiers du bouquin là-dessus. Les anecdotes du campus constituent un chouette hors sujet, ce n'est pas ça qui va nous permettre, je cite, de « percer les mystères du plus beau livre de tous les temps ». L'impression d'avoir pris du poisson au resto : le burger de la table d'à côté paraît vachement plus appétissant.
J'avoue, j'ai basculé en sprint à vitesse exponentielle. Je suis arrivé au bout comme on pioche dans un paquet de chips entamé : sans grande conviction.
Je ponds des pulps, des romans de gare. Je me suis toujours appliqué à ne pas berlurer le client sur la marchandise, aussi bien au niveau des premières que des quatrièmes de couverture. le badaud sait dans quoi il va se plonger. Sans ambiguïté. le problème de ce bouquin est là : la faute n'est pas à imputer aux auteurs, mais à l'éditeur. À vouloir à tout prix se trouver des michetons, ils se plantent de cible et se foutent de la gueule, et des écrivains, et des lecteurs. le fond de cette histoire n'est pas la résolution des mystères de l'Hypnerotomachia, mais comment ce type de quête peut basculer en obsession, façon incendie en pinède. Les fameuses énigmes ne constituent qu'un mince fil conducteur servant de trames au vrai sujet du livre.
Peut-être que le bouquin est chouette, je n'en sais rien. L'autre soir, j'ai cru commander un dessert de la famille des charlottes, on m'a parachuté une assiette de fruits rouges. Ce n'est pas que ce n'était pas bon, mais ça quand même foutu les nerfs.
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Je suis toujours très mitigée à l'idée de donner une critique négative à un livre.
Je suis allée au bout de celui-ci, pour savoir.
Mais très franchement à part un passage au milieu du livre et les trente dernières pages, l'action est inexistante.
Descriptions de Princeton, ses habitudes, les bâtiments, la vie étudiante etc... la vie des 4 héros pas franchement palpitante, des flashbacks qu'on identifie comme tel lorsqu'on ne comprend pas le rapport entre 2 chapitres, un livre étrange avec parfois des explications compliquées.
Bref je n'ai pas passé un très bon moment avec ce livre et ça me désole pour les auteurs vu qu'ils ont quand même mis 4 ans à l'écrire.
les recherches sont là mais il manque véritablement quelque chose pour en faire un roman palpitant...
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Ce livre est typique de l'écart qui existe entre le matraquage publicitaire et sa qualité littéraire. Une idée ultra classique dont Hollywood fait des blockbusters. Un vieux truc du passé qui est entouré de mystère avec de mystérieux secrets refait surface...(J'ai préféré les Goonies). La publicité était pleine de promesses d'un récit haletant, palpitant. J'ai couru l'acheter (victime de la mode tel est mon nom de code), je l'ai lu d'une traite et rien. Ce n'est pas un thriller, rien à voir avec un polar. le sujet est ronflant mais l'histoire est menée avec une mollesse qui donne la nausée. La question au file des pages mais quand est ce qu'il se passe quelque chose? Peut être une fois, un début des prémices de quelques choses. Se lancer dans l'écriture passe par une volonté de dire, de poser des questions, émettre un point de vu...Mais là beaucoup de bruit pour rien. Si vous ne l'avez pas encore lu, passez votre chemin, il y a tant d'autres oeuvres à lire.
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Alors... je ne peux pas dire, pour ma part que c'est un chef d'oeuvre, à mettre au côté d'un Umberto Eco.. est un peu exagéré. On a du mal a rentrer dans l'histoire, certains passages sont pas clairs, on s'y perds facilement. Mais ça reste un livre intéressant, je l'ai lu assez vite car on est quand même intrigués par ce bouquin et tout le mystère qui l'entoure, j'ai apprécié la quantité non négligeable de mots que je ne connaissais pas, j'ai appris plein de choses qui me serviront peut être, ou pas, mais c'est une belle collection de culture générale qu'on retrouve dedans. Et puis la fin, je le savais ! J'ai bien apprécié d'ailleurs, car le contraire n'était pas possible ! Bien joué
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Le roman a du mal a commencé. J'ai eu du mal à m'impliquer dans l'histoire. Les 100 premières pages ne sont pas particulièrement passionnantes mais j'ai été heureuse de persévérer. On finit par s'attacher aux différents personnages et aux mécanismes psychologiques qui les pousse à s'intéresser et à vouloir décrypter un roman daté de 1499: le songe de Poliphile. On veut nous aussi découvrir le mystère caché derrière ce livre mais il n'est pas le seul intérêt de l'ouvrage qui parle aussi de deuil, amitié et amour.
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