Bonté divine! Il en faut beaucoup pour arriver au bout de cet exercice de tetrapilochtomie (l'art couper les cheveux en quatre).
Mais la lecture est intéressante pour deux raisons:
D'une part, elle montre un Vatican complètement coupé du monde et que les religieux vivant dans cet enclos n'imaginent même pas la possibilité d'une existence ailleurs. Mais alors comment s'arrogent-ils le droit de régenter la vie des millions d'êtres qui leurs sont totalement étrangers?
D'autre part, ce roman illustre la stupéfiante soumission à l'hiérarchie dont sont capables ses acteurs. Si elle est réellement aussi totale, je ne suis pas sûr qu'elle ait un équivalent ailleurs.
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