Le Vicomte pourfendu

Heureuse découverte que ce conte philosophique traitant du bien et du mal niché en chacun de nous .
Un conte fantastique où chacun réagit face au personnage principal selon ses propres intérêts où ses propres peurs .
Un ami schizophrène m'avait recommandé ce livre et je comprends aujourd'hui pourquoi !
A lire avec entrain et amusement

Tout d'abord, un grand merci à tous ces dépôts de livres qui fleurissent dans nos villes,
et qui m'ont fait découvrir ce merveilleux auteur, et conteur, qu'est Italo Calvino.
C'est l'histoire très originale du Vicomte de Terralba, parti sur le champ de bataille, et
qui se retrouve coupé en deux par un boulet de canon !
Une partie du vicomte va dès lors, dispenser le bien, et bien entendu l'autre partie le mal.
On a affaire ici à un conte surréaliste, baroque et existentialiste, sur la dualité
entre le bien et du mal.
Un court récit, riche, amusant et très bien écrit

Plutôt déçu par ce conte philosophique dont j'avais pourtant entendu vanter les mérites. Pour dénoncer le manichéisme, cette dualité bien/mal que l'on retrouve chez chaque être humain, Italo Calvino part d'un concept à la fois intriguant et absurde : celui d'un homme coupé en deux survivant en deux entités aux personnalités opposées.


Un démarrage accrocheur mais l'intrigue s'embourbe dans une répétition assez lassante et des directions prévisibles. Je m'attendais aussi à quelque chose de plus fou avec une portée philosophique davantage subtile, profonde. Peut-être suis-je passé complètement à côté de ce texte et de son message…


Ouvrage court et une écriture fluide. Son contenu ne me laissera malheureusement que peu de traces.

Je suis passée totalement à côté de ce court roman. J'avoue que j'ai un peu de mal avec les courts romans, je trouve toujours qu'il me manque un petit quelque chose.

Mais bon, l'histoire n'est quand même pas mal, bien cynique. Mais ce n'est pas ma tasse de thé

Une belle fable sur la dualité de l'Homme avec un soupçon d'humour grinçant, sans mièvrerie aucune.
Une belle découverte.

Grosse déception, je pense que les contes philosophiques ne sont définitivement pas pour moi. Je me suis ennuyé du début à la fin de ce livre heureusement court.
Métaphore manichéenne de la duplicité de l'esprit humain à travers un conte qui n'a aucune saveur à mon goût.
Un chevalier est coupé en deux par un obus, les deux entités vont survivre, une sera mauvaise, l'autre bonne. La mauvaise trop mauvaise, la bonne trop bonne jusqu'à leur réunion qui fera un homme parfait. Consternant!

Bien écrit, assez bien pensé, mais... Bof, quoi. C'est pas génial, c'est attendu, ça aborde un thème... non, je m'arrête, je dois avoir un problème avec Italo Calvino, ou avec le fait qu'on me l'ai tant vanté. En gros, je suis déçu.

Je n'ai pas trop aimé le début ( description de la guerre un peu trop chocante!) mais la fin est mieux ! Cependant je ne conseille ce livre aux ados même si c'est parfois un peu marrant.

voir la petite vidéo sur anne.vacquant.free.fr/av/

Un roman incroyable pour son écriture psychologique et ambitieuse. La question de la dualité de l'homme est travaillée et puissante.