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Le tome 2 de la série 1 des Bandes dessinées à propos de la vie et des pensées d'Alexandra David-Néel continue.
Toujours racontée en sépia par les propos de Marie-Madeleine Peyronet, sa dame de compagnie et secrétaire et les voyages en couleurs.
Avec elle, Alexandra se montre tour à tour amusante, tyrannique, plaintive.
Elle voudrait repartir en voyage mais ne se rend pas compte de ses limites physiques. Elle a presque 100 ans et presque à la veille de sa mort survenue en 1969 à l'âge de 101 ans.
Ce deuxième tome se partage en souvenirs divers sur la vie de notre grande voyageuse.
On y parle de son mari, de ses parents, du refus de la voir venir au monde par sa mère qui voulait un garçon, de ses cours au musée Guimet, de ses voyages en vélo en Espagne et en France, à l'âge de 18 ans, de ses fugues de petite fille, de son voyage à Lhassa en 1924...
L'auteur nous livre les souvenirs de la dame comme un témoignage qui arrive par petits morceaux lors des nombreuses conversations avec Marie-Madeleine. Il les a néanmoins bien structurés et présentés.
Fred Campoy transmet très bien la vie de cette dame hors du commun, privée de l'amour d'une mère, dotée d'une intelligence certaine, et d'une volonté à toute épreuve.
Une agréable lecture et une rencontre avec deux personnages bien intéressants : Marie-Madeleine et Alexandra.
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Je pense qu'il faudrait bien plus de deux tome pour retranscrire toute la vie d'Alexandra David-Néel, aussi c'était un pari on ne peut plus risque que ce sont lancé Fred Campot et Mathieu Blanchot et qui s'avère être plus que réussi ! Ils ont réussi à capter l'essentiel et, en le mettant en images, le rendre accessible à un plus large public.
Dans ce deuxième tome, le lecteur découvre une vieille dame, extrêmement autoritaire envers celle qui pris soin d'elle, Marie-Madeleine Peyronnet, parfois insupportable même mais qui, en plus d'avoir été la plus grande exploratrice de ce XXe siècle, d'avoir été la première européenne à s'introduire dans la cité de Lhassa, était néanmoins une dame, certes acariâtre mais avec un coeur en or. Elle avait appris à se forger une carapace, à ne compter sur personne mais malgré tout cela, sa "tortue" comme elle appelait Marie-Madeleine Peyronnet, elle l'aimai même si elle ne le lui a jamais dit. Dans cet ouvrage, le lecteur découvre non seulement les dernières années de la vie d'Alexandra, son caractère difficile et très exigent envers celle qui lui fut toujours fidèle mais fait aussi une incroyable remontée dans le temps pour découvrir l'exploratrice jeune, remplie d'ambition et passionnée par le bouddhisme tibétain. Exploratrice, voyageuse, auteure, celle que l'on respectait en tant que "dame-lama", guérisseuse, Alexandra David-Néel était tout cela à la fois et bien plus encore. Elle laisse des travaux et des objets d'une qualité inestimable au musée Guimet à Paris mais aussi à Digne-les-Bains à Samten Dzong qui fut sa demeure et qui est aujourd'hui une fondation où Marie-Madeleine Peyronnet, celle à qui Alexandra a tout appris, elle-même auteure, est régulièrement de passage.

C'est une belle histoire d'amitié entre deux femmes foncièrement différentes avec un grand écart d'âge et qui pourtant, ont appris à s'apprécier mutuellement que Fred Campoy et Mathieu Blanchot nous font découvrir ici. Bien plus que la vie d'Alexandra David-Néel, ils ont réussi à capter les émotions, les non-dits grâce au témoignage de Marie-Madeleine mais aussi grâce à leurs longues et prestigieuses recherches. Merci à eux de nous faire partager leur expérience ! Un graphisme très soigné avec une histoire dans L Histoire...bref, je ne peux que vous recommander la lecture de ces deux tomes qui m'ont beaucoup émue !
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J'ai trouvé ces deux BD absolument magnifiques.
En noir et blanc pour la période où, impotente, Alexandra David-Néel ne pouvait plus se déplacer.
Ce qui était pour elle, l'exploratrice téméraire, une non-vie, même si son cerveau fonctionnait, lui, toujours à vive allure.
En couleur lorsqu'elle raconte à sa "tortue" ( Marie-Madeleine ) toutes ses pérégrinations en Asie.
BD complétées par des articles très intéressants.
Cette lecture n'a fait que confirmer ce que je pensais déjà d'Alexandra David-Néel après la lecture de certains de ses livres et de biographies : une femme despotique devant qui Hommes et Nature doivent plier. Rien ne l'arrête, ni le froid, ni la neige, ni le jeûne, ni les torrents et encore moins les interdictions. Sa pugnacité fait merveille dans un monde hostile et auprès de ses semblables. C'est une femme admirable mais difficile à vivre.
J'ai beaucoup aimé ces BD et je les recommande vivement à tous ceux intéressés par la vie de cette femme d'exception.
Bravo à Fred Campoy & Mathieu Blanchot ainsi qu'à l'éditeur.

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Quel bonheur, le temps d'une BD, de retrouver l'héroïne de ma jeunesse ! L'histoire commence quand notre aventurière embauche, pour l'aider dans sa vie quotidienne de vieille femme, Marie-Madeleine qui sera la narratrice. Pourquoi restera-t-elle une dizaine d'années alors qu'Alexandra a souvent un comportement despotique ? Elle s'en plaint, je cite : Dites-moi, sincèrement, comment faites-vous pour passer de la colère au calme, du cynisme au charme, de la méchanceté à la gentillesse en un millième de seconde… Comment cela est-il possible ? La réponse ? – Mais je suis chez moi ! J'ai le droit de faire ce que je veux !
C'est surtout qu'elle compense en racontant ses fascinantes expéditions. Transmission du savoir, amitié, rencontre, voyage, indépendance, dépassement de soi, bravoure, le corps qui vieillit, etc. J'ai adoré le texte, les dessins, les couleurs différentes pour les époques.
Même critique pour les deux tomes.
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Nous étions restés suspendus sur le fil ténu de la fin de la première histoire. Nous poursuivons ici la double rencontre, celle de l'exploratrice dans sa vie quotidienne avec sa secrétaire particulière Marie-Madeleine Peyronnet, mais aussi convoquant son passé à multiples reprises. Et la demeure Samten Dzong, à Digne-les-Bains, continue de révéler ses sortilèges.
Frédéric Campot et Mathieu Blanchot nous envoûtent ici encore dans ce récit merveilleux.
Nous découvrons tour à tour Alexandra David-Néel enfant fugueuse, chanteuse d'opéra-comique, journaliste féministe, anarchiste, passionnée d'orientalisme, sa découverte du musée Guimet, convertie au bouddhisme, puis enfin exploratrice.
C'est donc une vie exceptionnelle qui nous est donnée de continuer de découvrir à travers les magnifiques pages de ce récit haletant.
Le récit avance pas à pas vers la mort d'Alexandra David-Néel. Est-ce pour cela que j'ai trouvé ce second tome plus touchant, plus abouti aussi ?
D'ailleurs depuis dix ans que Marie-Madeleine Peyronnet est à son service, celle-ci entend souvent la réplique de sa patronne : « je vais mourir dans deux heures. »
Pourtant derrière la femme acariâtre et l'autorité qu'elle impose, nous découvrons une femme plutôt attachante. Est-ce l'approche de la mort qui la rend douce, apaisée ? Elle ne sera ni douce, ni apaisée jusqu'à la mort. Non, je pense que c'est son côté féministe et humaniste qui lui apporte cette dimension humaine qui transparaît dans cette seconde partie. L'amitié qu'elle noue avec sa secrétaire a sans doute aussi apporté beaucoup de bonheur à la vieille dame.
Dans ce second tome, nous découvrons un récit prenant et touchant. Le présent continue d'alterner avec le passé, dans cette même alternance originale : couleur sépia pour le présent et des couleurs vives pour le passé.
Dans ce passé nous prenons connaissance de celui qui fut l'époux de l'exploratrice, sa rencontre avec cet homme, Philippe Neel, avec lequel elle gardera toujours une relation à la fois distante, respectueuse et fidèle.
À l'approche de ses cent ans, Alexandra David-Néel s'était fait prolonger son passeport. Elle en était totalement excitée à l'idée de continuer de voyager. Avec Marie-Madeleine Peyronnet elle imagine un dernier périple au travers de l'Europe : l'Allemagne, Berlin, Vladivostok où elle a quelques amis...Et tout ça bien sûr en 4 CV.
Mais la vieillesse est là, présente. Finalement, Alexandra David-Néel renonce à ce dernier voyage par la force des choses.
Alors, la vie, la fin de vie prend le pas. Nous sommes dans la fin de vie de l'exploratrice.
C'est aussi le témoignage de Marie-Madeleine Peyronnet qui veille à l'agonie d'Alexandra David-Néel. C'est une amitié qui se lie. Leur amitié semble se renforcer sur ce deuxième tome. Marie-Madeleine Peyronnet est présente jusqu'au bout et bien au-delà du texte, prolongeant aujourd'hui encore la mémoire d'Alexandra David-Néel.
Ce récit est complété par quelques pages rédigées par la conservatrice du Musée Guimet, c'est un magnifique document qui permet d'éclairer peut-être ce qui fut la source, la genèse de l'itinéraire de cette grande femme.
Aujourd'hui âgée de 88 ans, Marie-Madeleine Peyronnet continue de faire visiter aux touristes la demeure de Samten Dzong et de raconter avec émotion cette relation de dix ans avec cette être exceptionnelle que fut Alexandra David-Néel.
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Dans ce livre 2, j'ai apprécié la découverte d'une Alexandra facétieuse. Bipolaire l'aventurière? En public, elle est charmante; en privé, elle se lamente sans cesse.
Mais peu importe, cette vieille dame étonnante m'intrigue.
Quel culot! elle ose s'enfuir seule pour voyager en vélo de Bruxelles pour atteindre l'Espagne.Nous sommes en 1886 et Alexandra a 18 ans, pas l'âge de la majorité à cette époque.
Mais comment rester dans une famille dont la mère l'a rejetée dès sa naissance et où les démonstrations d'affection n'existent pas?
Alexandra se construit seule avec des Atlas qui vont développer son goût pour l'exotisme.
Cet Ailleurs va se concrétiser dans une société de Théosophie et par la rencontre de Mrs Morgan une Anglaise adepte de spiritualité et de philosophie zen.
Finalement c'est au Musée Guimet que sa vocation de bouddhiste va se révéler.
Ce fil conducteur va l'amener à traverser le XX siècle où l'essor des progrès techniques seront source de curiosité pour Hérisson ( sobriquet dont elle s'affuble).
Sa célébrité lui vaut durant sa fin de vie, les visites de ses amis explorateurs ou des journalistes avides d'anecdotes.
Alexandra s'éteindra en 1969 dans son "trou" auprès de sa Tortue Marie-Madeleine qui la chérira après sa mort.Elle rendra hommage à dame lama dont la vie intime s'expose dans les lettres à son mari Philippe Néel.
On ne peut être indifférent à ce tome où l'attachement des deux femmes est palpable. Marie-Madeleine communique son affection pour cette vieille dame qui a choisi le savoir et l'indépendance avant tout.
Et puis le côté espiègle d'Alexandra m'a fait beaucoup sourire, gage d'une BD réussie.
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J'avais découvert cette adaptation des récits de voyage d'Alexandra David-Néel grâce à mon Club de lecture. Ayant beaucoup apprécié le Tome 1, je poursuis avec ce second opus qui revient sur l'enfance et la jeunesse de la célèbre aventurière.

Le premier tome nous avait laissé sur un mini-cliffanger : alors qu'elle tente de se rendre illégalement au Tibet en 1924, Alexandra David-Néel était en train de traverser une rivière lorsqu'elle chûta malencontreusement dans les eaux bouillonnantes. Heureusement, ses compagnons de route la sauvèrent in extremis et ils parvinrent à se rendre incognito dans la capitale tibétaine, Lhassa où aucun étranger n'était autorisé à pénétrer.
De retour dans les années 60, cela fait dix ans que Marie-Madeleine Peyronnet est au service de l'aventurière désormais âgée. Et il lui en faut du caractère pour supporter la vieille dame car elle lui en fait voir de toutes les couleurs! Tantôt plaintive, tantôt prête à faire le tour du monde cinq minutes plus tard, Alexandra ne manque pas de force de caractère. Lui pardonnant ses frasques, la jeune femme porte sur elle un regard touchant, sincère et affectueux, lui réclamant même le récit de ses exploits passés.

Le cliffanger auquel je fais référence dans mon synopsis n'en est pas vraiment un puisque le lecteur sait de par la rencontre d'Alexandra et Marie-Madeleine dans les années 50 et 60 que l'aventurière va survivre à sa chute dans la rivière. En revanche, je n'ai pas compris ce choix scénaristique. le tome 1 étant dédié aux récits de voyage d'Alexandra en Asie, il aurait été plus logique d'y incorporer l'entrée d'Alexandra à Lhassa. de plus, la présence de cet épisode d'une quinzaine de pages dans le second tome m'a paru incongru, lapidaire et trop décousu par rapport à la thématique générale. Bien évidemment, il faut voir dans ce procédé un moyen pour les auteurs de fidéliser son lecteur et lui donner envie de poursuivre avec le tome 2.

Outre cette coquille de départ, ce second opus s'est révélé être particulièrement émouvant. Alexandra a atteint la centaine et sait qu'elle n'en a plus pour très longtemps. Or, on retrouve encore chez elle une furieuse envie de vivre, de se cultiver et de partir à l'aventure. Malgré le poids des ans, sa mémoire qui lui joue des tours ou son corps qui la lâche petit à petit, on sent encore sa détermination et sa force de caractère. Sa relation avec Marie-Madeleine est également touchante car si la centenaire lui en fait voir, elle ressent pour elle une véritable tendresse. Deux scènes m'ont particulièrement ému : celle où Alexandra ne reconnaît pas la jeune femme et lui fait part de son affection et celle de la découverte du contenu des coffres par Marie-Madeleine.

Enfin, à travers les récits de l'aventurière, le lecteur découvre son enfance et sa jeunesse atypique, rebelle et anticonformiste. Elle a vécu mille vies de Victor Hugo qui l'a prenait sur ses genoux lorsqu'elle était encore une petite fille à Elisée Reclus, géographe et anarchiste qui l'a initié à la théosophie, à la vingtaine. Elle a également mené une carrière d'écrivaine et journaliste féministe avant de se trouver cantatrice, en Tunisie, dans les années 1900. A la même époque, elle fait la connaissance de son futur mari mais la vie de femme mariée ne lui convenant guère, elle lui annonce partir en Asie en 1911 pour ne revenir que quatorze après!

En conclusion, si le choix scénaristique du début de ce second tome ne m'a pas paru très logique, force est de constater que cet opus s'est avéré être passionnant. Teinté d'une plus grande émotion que le précédent, le lecteur a pu appréhender de manière plus fine encore la personnalité atypique d'Alexandra David-Néel. Apparemment, un troisième et dernier tome devrait voir le jour : l'aventurière regrettant de finir ses jours à Digne aurait, en effet, souhaité que ses cendres reposent au Tibet. Charge à Marie-Madeleine d'exaucer les derniers voeux de la vieille défunte.
Lien : https://labibliothequedaelin..
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Suite de l'histoire qui relate cette fois les dernières années et les derniers jours de Alexandra David-Neel à travers le témoignage de sa dame de compagnie.
Nous revenons également sur des passages de l'existence de l'exploratrice dont son mariage mais aussi son entrée à Lhassa...c'est intéressant mais j'ai trouvé ça malheureusement trop succinct.
Je comprends bien que la série s'appelle 'Une vie avec Alexandra David-Neel ' et pas 'La vie d'Alexandra David-Neel' et que ce qui est mis en avant est le témoignage de ce qu'a vécu Marie-Madeleine Peyronnet mais j'ai trouvé que c'est un peu dommage de ne finalement en savoir autant sur le caractère dictatorial de la vieille dame, ses habitudes de coucher et l'agencement de sa maison mais pas plus, au final, sur son expédition et sa vie.
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Marie Madeleine Peyronnet et Alexandra David-Neel vivent ensemble depuis plusieurs années dans la demeure de Digne. Entre souffrance et amour. Entre engueulade et humour.

Je pourrais reprocher à ce deuxième tome la même chose que pour le premier. A savoir une frustration à ne pas vraiment découvrir la David-Neel exploratrice mais la David-Neel centenaire acariâtre à l'approche de la mort.
Ce tome-ci est néanmoins un peu moins ennuyant et surtout on y ressent plus d'émotion entre la grande dame et sa servante
Les quelques retours dans le passé s'intéressent un peu plus à la jeunesse d'Alexandra David-Neel. Quelques cases résumant sa rencontre avec M.Neel et son mariage, sa passion pour le bouddhisme très jeune, ses envies de voyage encore plus jeune et finalement son enfance pas très heureuse.
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J'avais laissé Alexandra en bien mauvaise posture à la fin du premier tome et je la retrouve toujours aussi changeante mais dans ce deuxième opus on aborde les derniers instants de sa vie jusqu'à sa mort. On découvre l'enfant qu'elle était, le non-amour de sa mère, ses fugues et espiègleries et comment elle en est venu à s'intéresser à ce qui fut ses  grandes passions : le Tibet, et le bouddhisme.

C'est un opus beaucoup plus sombre car une fin de vie n'est jamais très gaie mais aussi parce que Marie-Madeleine se retrouve seule dans cette grande bâtisse, elle prend conscience de l'attachement qui la liait à l'écrivaine mais elle a diverses missions à accomplir. Elle va aller de découvertes en découvertes en particulier avec un pan de la personnalité d'Alexandra qu'elle ne connaissait pas, la correspondance qu'a entretenue le couple Néel pendant des années.

Comme j'avais beaucoup aimé le premier tome d'Une vie avec Alexandra David-Néel, je me suis précipitée pour découvrir la suite de la biographie en bande dessinée de cette prodigieuse et surprenante aventurière au caractère bien trempé, parfois désagréable mais aussi l'histoire de celle qui l'accompagna pendant ses dix dernières années, Marie-Madeleine Peyronnet, la narratrice.

Toujours aussi richement documenté, toujours avec une qualité d'illustrations qui reflètent parfaitement à la fois les deux temporalités : le passé d'Alexandra David-Néel et le quotidien à Samtem Pzong, la maison de Digne où elle vécut avec Marie-Madeline, à la fois sa garde malade, gouvernante, secrétaire, souffre-douleur etc.... D'un côté des couleurs vives, lumineuses et de l'autre, un dégradé de couleurs plus sombres reflétant l'humeur de cette voyageuse désormais immobilisée.

Toujours aussi passionnant, toujours aussi richement documenté avec les informations de fin d'ouvrage et en particulier la découverte du Musée  des Arts Asiatiques - Guimet à Paris dans lequel on peut découvrir des objets ramenés par Alexandra David-Néel de ses voyages et qu'elle a légués.
Lien : https://mumudanslebocag.word..
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