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sur 12278 notes
Je vais me faire lyncher, mais... désolée, je n'aime pas Camus!
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Une ville, hantée par une terrible maladie, et des hommes, qui se débattent pour soigner des vies, survivre aussi. Ils révèlent, au travers des épreuves traversées, tout leur courage et leur humanité.

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Un autre incontournable.
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Chacun a entendu ce constat que l'on rencontre assez peu d'idées qui viennent en personne vous serrer la main.
Camus veut résoudre ce souci en incarnant ses idées par ses personnages. Vaste programme.

Lien : http://www.roman-intime-et-g..
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Le récit commence avec l'apparition soudaine d'une épidémie de peste qui isole la ville d'Oran du reste du monde. Les autorités réagissent en imposant des mesures strictes pour contenir la maladie, et la ville devient un lieu de souffrance et de mort. Camus utilise cette situation comme une métaphore de l'absurdité de la condition humaine, soulignant comment la vie peut être imprévisible et dépourvue de sens. le personnage principal, le Docteur Bernard Rieux, devient le témoin direct de la montée de la peste et de ses conséquences dévastatrices. Tout au long du roman, Rieux incarne la résistance et la solidarité. Son engagement envers la lutte contre la maladie reflète la lutte existentielle contre l'absurde et la recherche d'un sens dans des circonstances difficiles. L'une des images les plus mémorables du livre est celle des rats morts qui envahissent les rues d'Oran, symbolisant la propagation rapide et incontrôlable de la maladie. Cette image sert également de métaphore pour les maux sociaux qui peuvent infecter une communauté, qu'ils soient physiques ou métaphoriques. Camus explore également la nature humaine à travers différents personnages, montrant comment ils réagissent face à la catastrophe imminente. Certains choisissent de fuir la réalité, tandis que d'autres s'engagent dans des actes de désespoir ou de résistance. Ces réactions variées soulignent la diversité des expériences humaines face à l'adversité.
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Imaginons, soyons fou, une épidémie semblable à la peste, qui assaille une ville et bloque les habitants dans un confinement autant physique que psychologique. Mais heureusement, ce n'est que de la fiction ! Camus aurait-il été une sorte de visionnaire ? Où a-t-il seulement compris que l'humanité porte en elle sa propre contamination ?

Je ne pense pas que j'aurais lu cet ouvrage de la même façon sans la pandémie. Malgré un style un peu compliqué par moment, les personnages font écho à notre vécu, et le narrateur entraîne le lecteur dans une découverte, plus ou moins objective, de cette période d'inquiétude et de mort. Qu'on l'appelle la peste, le coronavirus, ou le chmilblik, Camus montre que la maladie n'est pas une erreur de la nature, mais qu'elle fait partie de la vie.
Entre les cris des mourants, les pleurs des proches, les angoisses des gens extérieurs, nous voilà (re)plongé dans un univers de détresses, de peurs, de joies et de retrouvailles. Rappelons nous cette période, les liens qui se sont désunis aux morts, et qui se sont tissés avec les vivants. Rappelons nous le combat de nos professionnels de santé, nos forces de l'ordre, et le désarroi des supérieurs. L'homme fait des erreurs, mais face à l'incontrôlable défi de la vie, peut-on lui en tenir rigueur ?
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Sûrement le livre le plus dur et moins intéressant à lire de toute ma vie.
Les personnages sont inintéressants, l'histoire est morne et plate.
Je n'ai pas pour habitude de ne pas finir un livre donc je me suis forcée à le terminer… en ayant dû faire des pauses et persévérer chapitre par chapitre.
Je le ne conseil pas.
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La peste d'Albert Camus est présentée en apparence acyclique qui se veut impartiale et sans
camou�age. Elle présente une évolution logique et rationnelle de la propagation de l'épidémie de la
peste parmi la ville d'Oran. Mais ce roman est l'oeuvre d'un philosophe d'une rébellion et cet
épidémie n'est qu'un subterfuge pour l'épanouissement d'une pensée plus absconse . Car ce récitretrace une lutte; celle de l'humain pour la survie , celle de l'humain à la quête de son humanité.
Cette créature qui se veut humaine. Un peu plus qu'un saint! c'est l'agonie et le desespoire collectif.
Ce partage de sentiment de similitudes, cette crainte et ce désir d'euphorie qui ne peut être
personnelle mais unanime, tout cela a pu changer ces habitants d'Oran en être humain.
Celle de l'allégorie de la montée du nazisme à travers l'Europe. Pour moi, La peste est un ouvrage
universel et intemporel . Cet ouvrage a su décrire la situation humanitaire de chacun de nous
pendant l'épidémie du Coronavirus et les mesures prophylactiques qui sont presque les mêmes
dans tous les pays du monde. La peste qui est publiée dans les années 40 nous parle directement
dans notre gloire et faiblesse, notre grandeur et petitesse.
Merci de m'avoir lu.
Jafari hanie
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J'ai beaucoup aimé cette lecture, la plume singulière de l'auteur à su m'emporter dans le récit. J'ai bien aimé ça façon de dépeindre les évènements. C'est une lecture qui a su me captivé, même si j'aurai aimé que les personnages soient un peu plus détaillés
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